P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Protagonistes
de Verdun.
« le: Mai 22, 2008, 08:57:11 »
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Avé
Voici la 1er partie de Verdun.
Concernant la Légion dans ce secteur vous avez déjà un long article sur
Auberives, ainsi que des liens.
Ce qui ne veut pas dire; qu'il n'y en aura pas d'autres ! Concernant Le
Maréchal Pétain; en bas de page; les opinions sont les miennes et j'en
assume seul la responsabilité de mes écrits sur certains qui l'on condamnés.
Mes opinions sont et resteront toujours les même envers ce grand Soldat,
pas vrais Mitterand le résistant " aux affaires juives "
Amen; A peiiiieee
Verdun de, février à mai 1916.
Partie 1. Coté Allemand.
Les événements de départ.
1 million de morts plus les, disparus et blessés dans les deux camps.
21 février 1916 début de l’offensive Von Falkeneyem.
Les offensives pourtant fructueuses dans la Somme ; sont arrêtées à la
grande colère des généraux Ludendorf Hidenburg. En prenant la
décision de choisir l’offensive contre Verdun, l’Allemagne vient de
perdre la guerre définitivement.
Von Falkenayem sera déchu, envoyer en poste il
échouera à nouveau.
Il mourra ruiné, et seul en 1922.
Le 1er protagoniste.
Erich von Falkenhayn, est né le 11 septembre 1861 à Burg Belchau
Décède le 8 avril 1922 à Potsdam.
Le Général Von Falkenaym ; un aristocrate prussien désargenté, arrogant,
hais de ses hommes. Cet officier à pourtant gravis les échelons de la
hiérarchie militaire dans les grades d’officiers, en 1900 il est en Chine
et le Kaiser le remarque pour son courage, c’est l’assenions
rapide. Il arrive à convaincre en janvier 1916, le Kaiser
d’opéré une grande offensive dans les Ardennes française, contre Verdun
exactement. Début 1916 ; Verdun, est une zone calme ; au trois quart
désarmés, ou les soldats français et allemands s’ennuie,
philosophiquement ils disent « tant mieux pour nous, si l’orage est
ailleurs ». Verdun, est un peu aussi la victoire de Vauban, siècles
interposés.
La ville est fortifiées, des petits forts ceinture la ville, il y à la
perle de ceux si, Douaumont, mais reste deux canons de 155 et 175, plus 3
mitrailleuses lourde.
Il y à un lieutenant colonel appelé Emile Drian, commandant les 56e et
59e R.I, qui n’arrête pas d’avertir les autorités supérieures du danger.
Une commission est enfin e envoyées, le résultat est l’envois d’un peu
d’artillerie et de deux divisions d’infanteries. Arrivées au front, les
hommes sans grande convictions commences les défenses, les tranchées sont
peu profondes de l’habituel par exemple, cela va coûter cher en vie
humaine chez les français les premiers jours. A l’encontre les allemands
sous l’imputions de son général creuses des tranchées profondes ; des
bunkers, 1220 canons de toutes pièces d’artilleries, principalement
lourdes vont dévastés 13 klms de positions jours et nuits a partir du
début de l’offensive, aidant ainsi son infanterie à poussé jusqu'à 5 klms
de trouées le premier jour. Les allemands on établit aussi tout un réseau
de boyaux reliés entres eux, tout est enstérés profondément et surtout
bétonnés, des postes de secours sont établis avec premiers soins avant
évacuation vers les hôpitaux derrière les lignes, des postes radios sont
échelonnés, l’état major est en continuels contacts avec le front. Une
ligne de chemin de fer est établie derrières les lignes, ravitaillant
continuellement en matériels, armes, munitions, nourritures, le tout à
l’insu des français, sauf de Drian, qui n’est pas dupe. Cette offensive à
pour but d’attiré le maximum de troupes françaises dans le secteur et les
anéantir, cela réussis, au début, mais ! il y à un mais que nous verrons
plus tard. Les français manquant de troupes on négligés les hauteurs,
avec l’arrivée des 2 divisions ne changeront rien pour les négligences,
les allemands y installerons leur artillerie les dégâts serons désastreux.
Sur sont flanc droit la Ve armées commandé par le Kromprinz ; fils du
Kaiser ; il déteste et ne sans cache pas supérieur, c’est réciproque, les
conséquences ce ferons sentir plus tard.
Le 2e protagoniste.
Général, Philippe Pétain.
Le général futur vainqueur de Verdun ; est connu par les officiers le
considère comme un farfelu. Ce dernier n’a jamais commandé qu’un
seul régiment le 118e de ligne, mais à étés officier enseignant à l’école
supérieure des armées. Son cheval de bataille dont tous rigoles est un
appui d’artillerie pour l’offensive et de même pour le retrait éventuel
;il le dit haut et fort « toutes assauts, ou retraits de l’infanterie,
doit êtres soutenus aussi par l’artillerie, afin de minimisés nos pertes
et en infligés aux contraire des pertes conséquentes à l’ennemis » il
préconise l’avance des pièces d’artillerie afin d’appuyer un point
capturé ce qui empêcherais toutes contre attaques possible ou du moins
causé le plus de pertes possibles à l’ennemi, il s’oppose aussi à dés
attaques massives et inutiles. C’est moqueries vont vite s’estompés après
Verdun qui lui donnera raison dans l’avenir, ce que ne tiendrons point
compte certains zorros comme George Nivelle et son copain surnommé par
ses hommes « Le Boucher » Charles Mangin, qui remplacerons le G
général Pétain, à la tête de la 2e armées dans la somme, aussi
bizarre que cela est ce n’est pas Joffre le vainqueur de la somme c’est
Von Falkeneym qui donne la victoire aux alliés en empêchant à
Ludendorf et Hindenburg leur offensives qui ce portaient êtres
fructueuses, les français perdant pieds et moral, mais cela est une autre
histoire. C’est deux bouchers par leur ingérences notoire, amènerons
les mutineries de 1917, et le massacré des fusiliers soit disant
déserteurs, objecteurs de conscience, ou ces « gradés » fusilles à
outrances par sadisme certainement mais imbécillité humaine
certainement.. Pétain, est de ces généraux, proche de ses hommes ; il est
avec eux sous le feu de l’ennemi ; sa 2e armées est celle qui à le plus
de moral et qui résiste le mieux sur la Somme ; mais il n’a pas les mains
libres, pour faire ce qu’il veut. Cet à Verdun, que ce révélera le
général de génie qu’il est.
Arrivé à Verdun, le 26 février, il trouve une armée battue sans moral, il
réalise la stupidité du plant allemand, celle de s’êtres arrêter en
pleine offensive, alors que la route de Paris, leur étais ouverte, il est
le premier à comprendre que son homologue d’en face veut fixé l’armée
française, et faire venir des renforts afin de les anéantir, les pertes
françaises sont sévères beaucoup de Poilus sont enterrés vivants par
l’artillerie. Les soldats pour la plupart déjà sur place avant l’arrivée
des deux premières division, n’on pas reçu de permissions depuis des
mois, et beaucoup n’en aurons plus, la nourriture ils la connaissent
depuis des mois, elle est toujours avariées, les vêtement aussi ils les
portent depuis des lustres, rien ne fonctionnes. Cette une armée battue
et abattue dont il prend le commandement.
Sa première choses est de visité tout le front, et de remédier à tout
cela ; les 1er troupes fraîches arrivées avec lui, remplaces les «
anciens ». Pétain, fera dés ce moment la des rotations régulières des
troupes, les permissions sont rétablies, la nourriture c’est largement
améliorées ; les soldats peuvent enfin mangés sain et chaud, tout le
charroi habillements et équipements sont changés ; la route qui va
s’appeler ‘ « La Voie sacrée » connaitra une effervescence quelle n’a jamais
et ne connaitra plus jamais. Pétain, demande, Pétain, reçoit. Des
renforts abondes vers cette ville symbole déjà depuis 400 ans de
résistances et de courage, en 14, elle à enrayé l’offensive
allemande, complexité de l’histoire, cet elle que Pétain, fera le symbole
de l’incontestable victoire de la France du 11 novembre 1918.
Pétain, fait venir l’artillerie en place elle ce met en
batterie et sans relâches jours et nuits elle arroses les allemands ; les
empêchant de ripostés sur les français ; qui enfin moral revenu
s’enterres enfin profondément. Le moral est revenu, toutes les 14
secondes les camions montes et descentes ka voie sacrée, la victoire est
proche. Après Verdun, Pétain, est nommé Maréchal de France. En 17,
on le rappel, il rétablira l’ordre comme à Verdun, il enrayera les
désertions, finis les fusillés inutiles, sa présence rétablit la
confiance et le moral. En 40 ; les lâches de 14, le feront revenir, le «
Vieux soldat » répond présent ; en suite il tombera dans le piège des
colabos.
Ils est certains, que ceux qui le condamnerons à mort après la guerre,
étais des colabos, car toute la Justice française du nord au sud «
obéissait » à Berlin.
Quant à De Gaulle qui le gracie si gentiment sous prétextes qu’il à
servit sous ordres est de la pure hypocrisie d’un fuyard de 14 et de 40.
Le gouvernement étais malades de sa lâcheté de 40. Que l’on ais
fusillés les vrais colabos, c’est logique, mais salir le « le vainqueur
de Verdun et 14/18 » est purement égueulasse, il n’a pas fuit lui au
moins et subits avec dignités les dédains des hypocrites.
Ce grand soldat est...
Né le 24 mai 1856 à Cauchy-la-Tour (Pas-de-Calais),
Détenu à perpétuité à l'île d'Yeu il yl meurt le 29 juin 1951.
Membre de l'Académie française en 1929, il est radié en 1945. Ceux
la toute aussi « blanc » que le gouvernement, je suis même certains qu’il
ce sont enfermés dans leur académie pour ne pas donnez la main, ou manger
à leur table chez Maxim’s, avec les allemands, quel belle époque que la
resistance en dentelles de 40/45 . Ces dentellières de la rondelle
axe-&-cible à l’occupation ; furent nombreux à condamnés
Pétain ; mais ils salirent aussi la mémoire des vrais résistants..
« Ainsi que la mémoire des Poilus de la Der des Der "
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