P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5257
Mon devoir, la mémoire !
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Rêve
ou prémonition ?
« le: Juillet 13, 2008, 12:26:25 »
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Rêve
ou prémonition ?
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Un matin du moins je le croit, je me sui réveillé dans une grande
lumière. Je ne ressentait aucunes fatigues, non une sensation de planer
légèrement touchant à peine le sol, sur ce chemin remplis de cailloux
blancs, sur les bas cotés des calvaires imagés d’une vie bien remplie,
cet en les regardant que je me rendit compte, que je venait de passer la
grande barrière de l’au de la.
Tout
étais calme et devenu en soleillé. Me retournant je vit les miens en
pleurs, pourtant je leur et dit, que ce n’étais qu’un au revoir, je
partait il est vrais de cette terre, mais si peu de temps, car
l’éternelle est si long, devant le bref séjour ai près d’eux, ceux à qui
j’ai donné la vie, et qui l’ont transmises avec mon sang et celui de nos
aïeux dans ce qui s’appel le mouvement perpétuel des sens. Les calvaires
me racontent ma vie passée sur terre. Au fur est à mesure que j’avance
des paysages ce dessines, le bruit clair d’une rivière me rassure dans ce
monde inconnu, le chant des oiseaux de même.
Dans
l’eau ou je me penche ma jeunesse retrouvée, celle de mes vingt ans ! Un
képi blanc sur ma tête. Me retournant à nouveau, derrières moi la grande
barrière, et derrière elle ma famille me saluant de la main, sourire au
lèvres, ils ont compris que notre séparations n’est que provisoire.
Reprenant mon chemin au bout d’un certain temps une grande place, à
multiples chemins ou des hommes en tenue Légionnaire, attendent le visage
radieux, une fois réunis la place est pleine. Puis un ordre, au son
de voix si particulier à la Légion « Légionnaires, en colonne par quatre
» Des officiers jeunes nous encadrent accompagnés de sous officiers. « En
avant marche » une voix ce met à chanter « La Légion marche… » nos voix
suivent aux pas retrouvé de 88 pas minutes.
Devant
nous des murs blancs, une entrée grillagé, une sentinelle présentant les
armes en souriant. Au dessus une inscription « Legio Patria Nostra
» . Arrivé sur le paraground, les ordres fusent, après un « compagnie
halte, demi tour à droite, droite, à vos rangs fixes ». Nous, nous
retrouvons face à un homme dont le visage n’a jamais changé, mais
respirant la jeunesse, nous regardent, le temps n’existe plus. D’une voie
douce, notre père, s’adresse à nous « vous me connaissez tous, je suit le
général Rollet, et je vous souhaite à tous un bon retour à nos sources,
Sidi Bel Abbès, même à ceux qui ne l’ont pas connus, mais qui y
appartiennent de par leur âme, vous êtes ici, pour l’éternité, plus de
souffrances,, plus de misères, la fraternité est retrouvée à jamais,
soyons fier d’appartenir à notre grande famille, la Légion étrangère, ici
vivent ce qu’en bas ont appelles les morts, mais ici les éternels, dans
ses murs de nuages nos cantonnements retrouvés, derrières la nos
familles, ainsi Légionnaires, Légion et famille de Légion sont unis car
vous reverrez vos proches laissez un laps de temps sur terre, je vous
laisses mes enfants avec vos frères d’armes présent, et passé, ils
sont tous la depuis 1931, car nous avons une page d’histoire nouvelle »
un cour silence puis une autre voix, celle si à une main de bois,
ciel le capitaine Danjou « Légionnaires, sous officiers et
officiers, je m’adresse à vous car en bas chaque 30 avril, ils commémores
« Camerone », notre devoir est de les assistés par l’esprit,
en rangs nous défilerons avec eux, ils ne nous verront pas, mais saurons
que nous sommes présent à leur cotés, ils ne nous oublient pas, nous n’on
plus ».
Une
dernière fois une voix forte, d’un colosse appeler Colonel Jean-Pierre,
« Légionnaires, bienvenus, rejoignez vos quartiers vous êtes
dorénavant chez vous, rompez ». Déjà un autre contingent
arrivait. Un grand soleil m’éblouis, et une petite voix, celle de
mon p’tit fils me dit « Papy, ta fait dodo » il ne pensait pas si bien
dire, ta rêver Papy ? » je lui répondit, oui mon garçon, mais on me
prendra pour un fou, de raconter la victoire de la mort, dans mon dernier
combat dans la vie terrestre, mais es ce une défaite ? L’innocence d’un
enfant me disant « Temps pire Papy, que l’on te croit ou pas ou que l’on
te prennent pour un fou ou non ; personnes ne pourra te prendre pour
menteur, puisque personnes ne reviendras pour te contredire ». Et
voila, je vous raconte un rêve, ou prémonition, à vous de choisir ! En ce
qui me concerne cet un rêve vrais ou imaginaire, je l’aime bien.
Ecrit par P'tit Sapeur.
Biblio royal bellge. mars 2002.
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