P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Punis.
« le: Mars 24, 2007, 01:14:36 »
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Homages
à ceux que je n'ai jamais connu, et d'ont j'essaie humblement de raconter
un peu de leurs souffrances oubliées un peu trop vite par certains. Je
sait que je suis encore lointaint de pouvoir raconté ce qu'ils ont
réelement vécu; mais peut être que si un brin de réalité à existés,
alors je sais que quelque part je participe à ce que l'on n'oublie pas ce
qu'ils ont soufferts. C'est hommes abandonnés, mérites notre respects.
" Un jour un zorro ma dit. t'en à pas mare de parler de c'est
conneries, rien à foutre de ses types. Je lui et sourit; en partant j'ai
renversé son verre " accidentellement " il gueulait, mon
pantalon est dégueulase. Je lui dit tout simplement, " rien à foutre
de t"on froc ta rien dedans, rien à foutre de t'est couilles si'
t'en a réelement, c''est pas de la bierre renversée, non c'est elles qui
viennent de pleuré parce que pour elles tu n'existe pas. On as jamais
revu le type.
Punis.
L’eau coulait en déluge, dans ce trou à rats, humide chaude elle nous
collait à la peau. Rien à mangé, l’eau de pluie nous, nourrissait, tiède
insipide à force d’en goûter ou en manger, nous n’avions plus
goûts. Nous puons de la sueur des rats nos compagnons, même pas
comestible. Un des nôtres tombait nous devions supporter son odeur
pestilentielle pourtant c’est notre frère, ce pauvre mort. Notre horizon
des bois en croix, des arbres à grandes feuilles je ne sait plus, mais du
casque comme une assiette accompagnée d’un citron dedans nous rappelait
que nous avions faim, celle des punis pour rien dans ce camp maudit. Ce
matin on as sortit notre camarade, on la jeter dans un trou ou d’autres y
étaient déjà, les rats ce battaient les lambeaux de chair meurtris dans
cette boue puante, je fut mordu par l’un deux, ma peau pendait en loque,
je ne sentit point la douleur, cela me réchauffait un peu tout simplement
, mais le peu de déplacements que d’avoir jeter ce pauvre gars qui dans
sa mort ma rendu service, me nourris d’espoir de survivre un peu. Mon
dieu je divague, que m’arrive t’il de dire c’est choses, comme jeter,
quel horreur de ma part de le dire de cette façon, lui ce pauvre gars que
je ne connaît même pas, non, je refuse dans un moment d’une petite lueur
de clarté d’esprit de dire cela, non je l’et enterré c’est sûrement cela
la vérité. Ils nous on remis dans ce trou, ou la mort récente ce
ressentait encore, pauvre de moi, je souhaiterai tellement en finir,
croire que cette humidité chaude peut être ! sois une couverture
douillette que ma mère me mais ma mère sur mes épaules, et m’endormir
doucement. Dans ce trou on nous à mis, pour une banalité je pense ?
Je
crois que je nous n’avons pas reconnus un de nos gradés, alors un petit
bonhomme avec une étoile rouge sur son assiette remplie de cervelle
ramollie, ce mis à hurler que nous étions des dégénérés qui ne savions
pas obiers, des ramassis de d’esclaves du capitalisme, que les
conseils du père du petit peuple l’oncle Ho, nous apprenait la sagesse de
l’obéissance, contraire de l’esclavage capitaliste ou nous étions nés. Je
ne comprenait rien, je ne sait même pas si je me répète ou répétait,
quelle importance je ne sait plus ou je suis et qui je suis ! mais je
sait par moment que j’ai refusé un ordre, le quelle je m’en fou, il
n’avait pas l’accent d’un de mes amis. Encore une fois on nous à jeter du
riz bouilli dans notre trou à rats , les boules de riz explosait au
contact de tout ce dispersant même sur nous, on s’en foutait le riz,
n’avait plus de goût.
Un jour on nous dit que la punition
était finie, ont pouvaient rejoindre les débris de notre armé, que la
prochaine fois, nous serions traité pire que des rats que nous sommes, si
nous ne plions pas à la clémence du peuple du noble Vietnam, je ne devait
plus me rappelez qui c’était ce peuple, pourtant dans ma tête meurtrie de
temps de réalité absurde présente une chose me tenait plus ou moins
lucide, je me prenait pour un gladiateur de la grande Rome antique, je
vivait dans un monde ou la lumière de mon cœur me guidait dans
l’obscurité des couloirs de cette espoir, le quel, je ne sait plus, mais
cette espoir est tellement brûlant que je ne ressent plus la douleur à ma
main. Quand nous rejoignons nos camarades, nos yeux ce mirent a pleuré de
pitié de les voir squelettiques, mon dieu, je me suis dit, mes pauvres
amis qu’es ce que vous avez du souffrires en notre absence. Plus tard,
bien plus tard, je ne sait plus quand, temps le temps avait passé, mais
je me rappel d’une chose, un homme devant moi, me dit, tu à meilleurs
mine que quand je t’ai vu sortir de ce trou, on aurait dit un rat. Je ne
sait pas ce qui me pris, je dit à cet homme devant moi, doit je demander
pardon de n’avoir pas obéis aux ordres reçus.
La voix résonna, ce n’est pas un de nous qui ta donner c’est ordres,
c’est un ennemi, tu n’avais pas à les exécutés, tu à donc obéis aux
ordres de notre armé, refusé d’être un prisonnier, je ne peu te donner
l’ordre d’oublier ce calvaire, et je ne peu non plus te donner l’ordre de
désobéir à te t’elles ordres, non car tu à fait t’on devoir, je ne peu
même pas te donner l’ordre de continué à agir de continué dans t’on choix
que tu à choisis, car jamais faillis. Le seul ordre que je peu te donné
c’est celui de montré l’exemple, mais encore une fois, je pense que c’est
inutile. Oui ; nom colonel c’est bien inutile, mais je serait toujours
présent à vos ordres quel qu’ils soient ! Sa je le sait. Moi aussi !
La pluie ce mis à tombée, mais cette fois la chaleur de celle si était
plus douce, et ne brûlait plus ma main non pas par la morsure d’un rat,
mais d’un coup de stick tenus par une face de rat, parce que je n’avait
pas déposé assez vite dans la fosse d’un frère d’arme que je ne
connaissait pas. Pour eux, nous étions pour eux des rats, mais
c’est nous qui les avons dressés dans l’honneur que nous n’avions jamais
perdu, nous, nous sentions pas punis.
P'tit Sapeur !
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