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La Grenade Légion

 

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Sujet: Punis.  (Lu 445 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !


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Punis.
« le: Mars 24, 2007, 01:14:36 »

 


Homages à ceux que je n'ai jamais connu, et d'ont j'essaie humblement de raconter un peu de leurs souffrances oubliées un peu trop vite par certains. Je sait que je suis encore lointaint de pouvoir raconté ce qu'ils ont réelement vécu; mais peut être  que si un brin de réalité à existés, alors je sais que quelque part je participe à ce que l'on n'oublie pas ce qu'ils ont soufferts. C'est hommes abandonnés, mérites notre respects.


" Un jour un zorro ma dit. t'en à pas mare de parler de c'est conneries, rien à foutre de ses types. Je lui et sourit; en partant j'ai renversé son verre " accidentellement " il gueulait, mon pantalon est dégueulase. Je lui dit tout simplement, " rien à foutre de t"on froc ta rien dedans, rien à foutre de t'est couilles si' t'en a réelement, c''est pas de la bierre renversée, non c'est elles qui viennent de pleuré parce que pour elles tu n'existe pas. On as jamais revu le type.


Punis.
L’eau coulait en déluge, dans ce trou à rats, humide chaude elle nous collait à la peau. Rien à mangé, l’eau de pluie nous, nourrissait, tiède insipide à force d’en goûter ou en manger, nous n’avions plus goûts.  Nous puons de la sueur des rats nos compagnons, même pas comestible. Un des nôtres tombait nous devions supporter son odeur pestilentielle pourtant c’est notre frère, ce pauvre mort. Notre horizon des bois en croix, des arbres à grandes feuilles je ne sait plus, mais du casque comme une assiette accompagnée d’un citron dedans nous rappelait que nous avions faim, celle des punis pour rien dans ce camp maudit. Ce matin on as sortit notre camarade, on la jeter dans un trou ou d’autres y étaient déjà, les rats ce battaient les lambeaux de chair meurtris dans cette boue puante, je fut mordu par l’un deux, ma peau pendait en loque, je ne sentit point la douleur, cela me réchauffait un peu tout simplement , mais le peu de déplacements que d’avoir jeter ce pauvre gars qui dans sa mort ma rendu service, me nourris d’espoir de survivre un peu. Mon dieu je divague, que m’arrive t’il de dire c’est choses, comme jeter, quel horreur de ma part de le dire de cette façon, lui ce pauvre gars que je ne connaît même pas, non, je refuse dans un moment d’une petite lueur de clarté d’esprit de dire cela, non je l’et enterré c’est sûrement cela la vérité.  Ils nous on remis dans ce trou, ou la mort récente ce ressentait encore, pauvre de moi, je souhaiterai tellement en finir, croire que cette humidité chaude peut être ! sois une couverture douillette que ma mère me mais ma mère sur mes épaules, et m’endormir doucement. Dans ce trou on nous à mis, pour une banalité je pense ?

 

Je crois que je nous n’avons pas reconnus un de nos gradés, alors un petit bonhomme avec une étoile rouge sur son assiette remplie de cervelle ramollie, ce mis à hurler que nous étions des dégénérés qui ne savions pas obiers,  des ramassis de d’esclaves du capitalisme, que les conseils du père du petit peuple l’oncle Ho, nous apprenait la sagesse de l’obéissance, contraire de l’esclavage capitaliste ou nous étions nés. Je ne comprenait rien, je ne sait même pas si je me répète ou répétait, quelle importance je ne sait plus ou je suis et qui je suis ! mais je sait par moment que j’ai refusé un ordre, le quelle je m’en fou, il n’avait pas l’accent d’un de mes amis. Encore une fois on nous à jeter du riz bouilli dans notre trou à rats , les boules de riz explosait au contact de tout ce dispersant même sur nous, on s’en foutait le riz, n’avait plus de goût.

 

 Un jour on nous dit que la punition était finie, ont pouvaient rejoindre les débris de notre armé, que la prochaine fois, nous serions traité pire que des rats que nous sommes, si nous ne plions pas à la clémence du peuple du noble Vietnam, je ne devait plus me rappelez qui c’était ce peuple, pourtant dans ma tête meurtrie de temps de réalité absurde présente une chose me tenait plus ou moins lucide, je me prenait pour un gladiateur de la grande Rome antique, je vivait dans un monde ou la lumière de mon cœur me guidait dans l’obscurité des couloirs de cette espoir, le quel, je ne sait plus, mais cette espoir est tellement brûlant que je ne ressent plus la douleur à ma main. Quand nous rejoignons nos camarades, nos yeux ce mirent a pleuré de pitié de les voir squelettiques, mon dieu, je me suis dit, mes pauvres amis qu’es ce que vous avez du souffrires en notre absence. Plus tard, bien plus tard, je ne sait plus quand, temps le temps avait passé, mais je me rappel d’une chose, un homme devant moi, me dit, tu à meilleurs mine que quand je t’ai vu sortir de ce trou, on aurait dit un rat. Je ne sait pas ce qui me pris, je dit à cet homme devant moi, doit je demander pardon de n’avoir pas obéis aux ordres reçus.


La voix résonna, ce n’est pas un de nous qui ta donner c’est ordres, c’est un ennemi, tu n’avais pas à les exécutés, tu à donc obéis aux ordres de notre armé, refusé d’être un prisonnier, je ne peu te donner l’ordre d’oublier ce calvaire, et je ne peu non plus te donner l’ordre de désobéir à te t’elles ordres, non car tu à fait t’on devoir, je ne peu même pas te donner l’ordre de continué à agir de continué dans t’on choix que tu à choisis, car jamais faillis. Le seul ordre que je peu te donné c’est celui de montré l’exemple, mais encore une fois, je pense que c’est inutile. Oui ; nom colonel c’est bien inutile, mais je serait toujours présent à vos ordres quel qu’ils soient ! Sa je le sait. Moi aussi !


La pluie ce mis à tombée, mais cette fois la chaleur de celle si était plus douce, et ne brûlait plus ma main non pas par la morsure d’un rat, mais d’un coup de stick tenus par une face de rat, parce que je n’avait pas déposé assez vite dans la fosse d’un frère d’arme que je ne connaissait pas.  Pour eux, nous étions pour eux des rats, mais c’est nous qui les avons dressés dans l’honneur que nous n’avions jamais perdu, nous, nous sentions pas punis.

P'tit Sapeur !

 

« Dernière édition: Novembre 16, 2008, 12:54:15 par P'tit Sapeur »

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Veritas - Fidelitas

kata
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Re : Punis.
« Répondre #1 le: Mars 24, 2007, 02:40:57 »

 


Et oui,

Tout cela grace a nos bons cocos qui ont si bien trahi l'Armee Francaise en Indo...

Nous si nous donnions une baffe a l'un des leurs tout les cocos de France se seraient revoltes contre nos Soldats comme ils l'ont fait des centaine de fois...

Mais nos soldats tortures et traite pire que des rats c'etaiit normal dans leur esprit...

C'est comme maintenant les Muslims peuvent decapiter des personne sur L'internet  et cela est bien mais si un Americain le frappe un peu...il go en taule...

c'est la vie

amitiees

Kata

 

 

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Les Lions deviennent des Agneaux

Kalimera
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Re : Punis.
« Répondre #2 le: Mars 24, 2007, 08:28:24 »

 


Ils "crient " aussi au scandale quand on pend quelqu'un qui  a massacré ou fait massacrer des innocents ou des gens qui n' étaient pas pour eux .

 

 

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koufra
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Re : Punis.
« Répondre #3 le: Mars 24, 2007, 11:26:35 »

 


Pourquoi la France accueille-t-elle des personnages sordides comme Bokassa, Papa Doc, Khomeini (même si il est mort maintenant) etc...............


Amitiés  Angry

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Punis.
« Répondre #4 le: Mars 24, 2007, 11:53:20 »

 


Il parait que le capitalisme n'existe pas à gauche, Marchais devait être d'extrème droite dans l'extrème gauche.
Le Clochard de Renaud qui décrit un Légionnaire, comme un concierge facho, il roule en deux cheveaux peut-être ?
La ségolène aussi, elle sent de l'égo d"haleine du peuple aussi, mais non, domage pour les Royalistes, qu'elle s'appèle Royal.
C'est pas mieux en Belgique, le Flawau, va envoyer des troupes au Congo démocratique, dans les coins les plus chauds pour protèger les Belges " Fauchés, hum " dans le quartier ou ils habites. Le problème c'est que nos Paras ne le savent pas, dans le même quartier habite certainement la maîtresse de ce fameux ministre, qui s'en défend.
Encore un qui crie " Baionette au canon, sortez vos capottes "
La preuve qui il y à des ministrelles qui savent bouré un con; même en noir !


Et bien mon cochon, un brave ce con.



* cochon hamburger.gif (4.51 KB, 90x60 - vu 81 fois.)

 

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