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La Grenade Légion

 

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Sujet: De Porto-Novo à Abomney.  (Lu 260 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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De Porto-Novo à Abomney.
« le: Octobre 05, 2007, 05:35:14 »

 


De Porto-Novo à Abomney.

Le 19 septembre 1892, une ciolone française, ce trouvant dans le Dahomey, est brusquement attaquée, par trois fois plus de rebelles de l'armée de Behanzin. Précison, que la colonne est en bivouac à Dogba, et que c'est contre deux de ses faces que cela ce passe. Les lignes sont rapidement submergé, mais sous un feu intense et précis, tout aussi vite refoulés. Malgré les appels au raliement des chefs, hurlant leur promesses de bouffer au soir les français, rien y fait, mais cette folie meurtrière va durer 2 heures; puis va diminuer progresivement. Sur cette période la colonne perdra 45 tués et 60 blèsses, parmi les morts français, le commandant Faurax. Les Dahoméens laisserons 832 morts dans la défense des français. Les français, penses avoir refroidit les ardeurs des Dahomiens, pourtant c'est le contraire qui ce passe. Tout le long de la route que la colone à emprenté les attaques continues en véritables escarmouches, ils le fond avec un véritable mépris de la mort, n'on seulement le convoi est attaqué, mais les corvés le son aussi. Le 4 octobre à Poguessa, le sous lieutenant Amelot appartenant au bataillon Légion est blessé cinq autres officiers du même bataillon le seront aussi avant le 15 octobre.  Arrêtée pendant dix jours, pour réoganisations, la colonne reprend sa marche le 25, des renforts sont arrivés entre temps. Parmi ces guerriers fanatiques qui harceles sans  cesse ce trouve une terible unité si trouve, celles que l'on surnome « les Amazones » fanatiques et sans pitiés, ces femmes ne ce couches que pour mourir, pas la tête à draguer les légionnaires !
Enfin, le 17 novembre, la colonne atteint Abomney, Benazin, vaincu ce retire de sa capitale, qu'il laisse en flamme.  Partie de Porto-Novo avec 800 légionnaires la Légion, à la fin de cette campagne ces pertes comme ceci, 450 légionnaires valides, 350 tués, blesés ou morts de maladie sur cette piste et cela en cinq mois.  D'après le chef du corps expédionnaire le général Doods, la colonne avais fait preuve d'entrain et de bravoure, en rajoutant une mention que voici « Sans la Légion, troupe sur la quelle vous pouvez compter en toutes circonstances, je n'aurais jamais pu mener à bien l'expédition du Dahomey.  Dans la colonne un officier qui fera parler de lui et deviendra un exemple pour tous les officiers à venir dans la Légion, son nom Brunsaux ! Nous sommes en 1892. Il y à de cela 105 ans !


Le 27 Novembre 1893; Brundsaux qui continue à ce batre dans le nord du pays,est fait chevalier de la Légion d'honneur !

 

« Dernière édition: Octobre 05, 2007, 05:42:14 par P'tit Sapeur »

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koufra
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Re : De Porto-Novo à Abomney.
« Répondre #1 le: Octobre 05, 2007, 08:25:35 »

 


Belles histoires que ces combats en Afrique, surtout avec la légion étrangère! une armée avec laquelle il faut compter, mieux vaut être de son côté!!!!!

Amitiés  Grin

 

 

Journalisée

dwnvg
Invité


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Re : De Porto-Novo à Abomney.
« Répondre #2 le: Octobre 05, 2007, 08:35:59 »

 


Bonjours a tous
voici un résumé de ce Roi qui fut un térrible adversaire
Behanzin

Béhanzin ( Gbêhanzin ) né en 1844 et mort en 1906), ou Bédazin Boaijéré Honu Bowelé, est traditionnellement le douzième des douze rois du Dahomey. Il régna de 1890 à 1894) et lutta contre le processus d'expansion coloniale en son royaume. Il fut marié à 12 femmes et eu probablement plus de 50 enfants.

Il est couronné le 6 janvier 1890, après la mort de son père, le roi Da-Da Glélé Kini-Kini, le 30 décembre 1889, après 40 ans de règne. Son combat contre les troupes françaises commandées par le général Alfred Dodds (1892-1894) prend fin le 25 janvier 1894 lorsqu'il signe sa reddition.

Le 30 mars 1894, Béhanzin est déporté par les autorités françaises sur l'île de la Martinique où, avec sa famille et sa suite, il réside au Fort Tartenson. «Le Requin» quitte la Martinique en 1906 et meurt en Algérie, quelques mois plus tard. Sa dépouille retrouve le sol ancestral en 1928.

Le message marquant de son action anti-coloniale est représenté par sa statue, érigée sur la place Goho à Abomey au Bénin (anciennement Danhomè ou royaume du Dahomey) : cette statue représente Béhanzin, sa pipe à la bouche, drapé dans son pagne royal, la main tendue vers l'avant intimant l'arrêt. Ce monument se trouvant à l'entrée de la ville d'Abomey, représente la résistance face au colon ainsi que le refus de laisser sa patrie aux mains de l'étranger. Sa détermination et son message-testament à l'endroit des Béninois d'aujourd'hui est symbolisé par cette sentence qu'on lui attribue : "Le Requin [image symbole de Bénhanzin] se rend. Mais, les fils du Requin ne trahiront pas".
Amitiés légio more majorum
Daniel



* chef9.jpg (58.81 KB, 768x492 - vu 37 fois.)

 

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Kalimera
Invité


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Re : De Porto-Novo à Abomney.
« Répondre #3 le: Octobre 05, 2007, 06:06:08 »

 


 il était surnommé  "Bec en zinc"

 

 

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Re : De Porto-Novo à Abomney.
« Répondre #4 le: Octobre 05, 2007, 06:52:17 »

 


Les campagnes de Brundsaux, ne sont pas terminées, je suis encore ocp; à abregés et modifiés les articles originaux, et tous cela dans 3 livres ! Heureusement que j'aime cela !
Au fait j'ai envoyer 3 de mes poèmes à Képi Blanc, On vera ce que cela donne !
1. priere à un caid.
2. Nous les morts.
3. Le petit poste.
Je sait pas si le choix est bon, il y en as telement ! Mais j'ai aussi signaler que je peu leur en envoyer par CD !!!
Aleas. Jacta. Est !

 

 

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