P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Un
fond de placard.
« le: Juillet 03, 2008, 10:03:47 »
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Un fond de placard !
Il est à penser que dans de vieux placards, aussi vieux que le temps il y
à de vielles boites en cartons en bois ou en métal ! Dans les un ou les
autres biens des souvenirs. Dans les greniers ou caves dorment de vieux
passés. Cartes ou photos jaunies. Couleurs jonquille séchée dans le noir
de l’oubli, réveillée par la lumière pâlotte Dune lampe, éclairant la
poussière envolée, dessus le couvercle aussi vieux que la boite s’entent
la bonne odeur naturel de ce vieux passé. Que de fois pourrait je dire
vieux ou vielles, je ne sait pas tant sont les mots justes ! Merveilles
de trésor ressuscitant les morts figés sur ces papiers haut en couleurs
rustiques.
Jaune pâle défiant les années ou elles furent cachées ; tout comme ces
veilles femmes, nos grands-mères, aux visages radieux, de montrer un coin
de payasage, lieux enchantés ou meurtriers, endroits ou la paix régnait
ou tantôt la guerre passait. Photos ou cartes chargés de bonheurs ou de
malheurs. Images d’un passé ou le papy, sourire aux lèvres, mort dans son
lit , après l’enfer vécu, ou images d’un de ceux le même sourire mais qui
c’est éteint la bas quelque part sur le sol de la patrie défendues !
Parfois ou souvent accompagnant un livret brouillon comptant une épitaphe
; un dialogue devenus légende d’une image oubliées et revenues à la vie
par une main innocente, ouvrant cette boite magique d’histoires de
personnages parfois ou très souvent inconnus. Une voie innocente disant «
Papy, il y à des gens dans la boite » et le papy, de dire apporte mon
gamin, on va regarder ensembles. Allors un passé et un futur passé
regardes de leur quatre yeux brillants d’émerveillement un plus lointain
passé apparus sortis de l’oubli.
Cet aussi l’apprentissage pour
eux de savoir qu’un de leur papy conjoints étais un brave garçon rentrés
engagés conscrits involontaires partit à la guerre, d’une mamy devenue
par force des choses un instrument à l’effort de guerre ! En tombant sur
une boite d’un fond de placard, d’un coffre de grenier voir de cave, il
avait ses deux générations découvert un petit bout d’histoire les
fendants complices de trésors d’histoires devenues immortelles car ce re
surgissement des images ou écrits sentant bon le vieux papier lui aussi
jauni reflètera un renouveau dans un album galerie des vieux souvenirs et
documents ayant pris place dans une bibliothèque aux livres de mémoire
pour retrouver un semblant de jeunesse malgré leur vieillesses ! Il aura
fallu, qu’un placard oublié ouvert par une inocence juvénile découvre ce
qui deviendra pour lui un comte d’ abord qui lui rappellera un jour ou il
sera papy lui-même, que les trésors qui était restés cachés si longtemps
aux yeux de leurs descendances avait eu un second souffle, il dira alors
à son petit fils assis sur ses genoux l’album ouvert, dira comme dans un
comte « un jour mon papy que tu voit la sur une photo qui n’est pas
jaunie et moi regardions aussi ce que nous regardons ensembles. L’enfant
coupa son grand pére, en llui demandant « Pourquoi ce papy, n’est pas sur
une image jaunie ? » Mon garçon c’est parce que lui est rentré dans un
nouveau passé que tu ne pourra jamais oublié !
Ecrit ce jour par P'tit Sapeur, en homage aux vieilles dames images ou
photos, soeurs des vieux documents.
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