Bienvenu a tous

 

Demander la revue ICI

 

AccueilAideRechercherAdminProfilDéconnexion

La Grenade Légion

 

ß---- RETOUR -----                                                                                                                                                                      ----à ENVOYER NOUVEAU SUJET ----

 

Auteur

Sujet: Le vieil homme et l’orpheline.  (Lu 424 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
****
Messages: 5257


Mon devoir, la mémoire !


WWW

Le vieil homme et l’orpheline.
« le: Juin 13, 2005, 07:40:00 »

 


Le vieil homme et l’orpheline.

Une petite fille vient d'arriver à l'orphelinat a 10 ans c'est dur d'être seule.
Les jours passe les fêtés de  Noël approche et la petite fille est toujours seule, sans ami(e)s !
La vie est dure ici Maman, Papa pourquoi m'avoir abandonner ? Une route glissante tu roulais vite Papa, Maintenant au détour de la vie vous m'avez laissée avec mes larmes.
A l'orphelinat on ne fêtait pas Noël a quoi bon il n'y a pas assez d'argent une simple prière suffira. Les années passent ainsi monotones et sans fêtes. Pourtant un Noël alors q'au bord du désespoir elle ce retrouve sur le toit de la maison voulant en terminer avec la vie. Un vieux monsieur avec une très longue barbe s'assois près d'elle s'étais le concierge. Allons, allons mon enfant tu n'a plus l'age de faire une bêtise pareille pense à tous les enfants que tu va aider plus tard ils te manquent déjà tu verra tu les rendras tous heureux. Comment savez vous tous cela monsieur ? 


Je suis un vieil homme qui a beaucoup voyagé, connu bien des misères mais aussi bien des joies.
Tirant une main de derrière le dos une Rose blanche apparue par miracle. Les yeux de la fille étais émerveillés. C'est pour toi, pour moi dit-elle tout en se saisissant de la rose? Aie, elle pique sa main saignait légèrement mais rien n'y fessait son coeur bondissait de joie du plus beau cadeau du monde. Le vieil lui raconte que lui aussi il a perdu sa famille très jeune il a vécu dans un pays lointain. Un jour il est venu dans ce pays plein d'espoirs, ne trouvant rien non plus il se trouvait devant un fort qui s'appèle saint Nicolas. Je venais de trouver ma famille la Légion étrangère ! J'y suis resté 20 ans, voici 20 ans que je suis ici comme concierge cette année est la dernière ici  je vais habiter pas très loin. On se reverra promis mais maintenant on descend. Le reste de l'année s'écoule seul la joie des personnes extérieure fait qu'elle sait ce que c'est les fêtes maintenant.  Pour eux quelques morceaux de viande bouillie dans de la soupe et des biscuits durs comme dessert, il ne fait pas chaud non plus. La petite fille ne voit plus le vieux monsieur mais elle a trouvé le moyen de sécher la rose le soir quelques-unes de s'est larmes arrose la rose. Une année ce passe.


23 Décembre : 1910.
 Mademoiselle vous devez aller chez le directeur. Bien Madame. Arrivé chez le directeur une surprise l'attend le vieux Monsieur est présent. Elle lui saute dans les bras allons petite dit le directeur vous connaissez Monsieur Noël il a décidé de vous adoptée vous irez don chez lui voici donc les papiers à signer, en suite vous serez en ordre. Les formalités finies ils partent. Dehors une voiture avec un chauffeur attendait ce dernier ouvre la porte dans la voiture une dame voici ma soeur Madame Noël. Monter ma chère enfant mon frère ma tellement parler de vous, que j'avais hâte de vous connaître, tous d'abord faisons les magasins de vêtements. La petite fille n'est plus orpheline la petite fille bien qu'heureuse étai triste  pour s'est amis  ex compagnons d'infortune. Le vieil homme le compris. Elle ne pouvait les blâmer de l'avoir ignorée, elle m'est sa sur le compte de leurs malheurs. Tous les ans une fête sera organisée j'y veillerai moi même qu'ils reçoivent une nourriture décente tous les jours tu vois petite tu fais déjà des heureux pour commencer ta vie. Oui il a raison ma petite ont va bien s'entendre tout les trois.       


Un jour le vieil homme fît venir sa soeur et la petite il est dans son lit.
Il lui explique que le voilà près pour le grand voyage il lui raconte que fils de riche il a demande de tenter de faire sa vie seule le père l'autorise a une condition pour ne pas perdre son héritage faire quelque chose d'utile dans sa vie. Le fait d'avoir fait 20 ans de Légion a satisfait mon père d'où notre richesse qui va devenir tienne et dont je sais que tu en feras bon usage ! Le jour venu la jeune femme dépose dans le cercueil une rose séchée mais arroser une dernière fois de larmes les siennes en disant que ce que tu ma donner un jour qui ma rendit l'espoir t'accompagne arroser de mes larmes de t'avoir perdu adieu papa bon route déjà je te vois et ressent ton sourire dans mon coeur. Jamais plus les enfants ne furent malheureux ou elle passait. L'orphelinat changea de nom et devint.
«  Noël de la Rose Blanche. »
La neige se mis à tomber Noël sera aussi blanc ses flocons de neige qui sait si ce sont pas les larmes de joie de Monsieur Noël ? Et qui sait si ce ne sont point les pétales de la rose blanche ressuscitant éternellement tous les ans ?


Ex. Légionnaire Trousson Yves.
Bibliothèque Royal Belge.
Février 2002.

 

 

 

Auteur

Sujet: Une vie perdue.  (Lu 164 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
****
Messages: 5257


Mon devoir, la mémoire !


WWW

Une vie perdue.
« le: Novembre 06, 2005, 10:33:18 »

 


Une vie perdue.
-------------------------

Le ciel était gris, il pleuvait, Louis revoyait son Nord natal. Des larmes tièdes coulaient par intermittence aux coins de ses yeux, la pluie froide ruisselait sur lui, coucher sur le dos il sentait la boue l’entouré ses doigts la sentait la gauche sur son ventre il était chaud par moment il avait l’impression que la vie s’échappait par son nombril qu’il ne sentait plus cela ne devait n’être qu’une impression il voyait le ciel alors tout allait bien, la veille il avait eu comme certains de ses camarades des coliques il m’était donc son mal de ventre sur ce compte la. Sa main droite serrait la terre il la connaissais bien ici elle était mole, grise avec une odeur de pourriture. Des images lui venait a la tête il se voyait jouer avec son jeune frère et sa sœur, il voyait son père rentré le soir noir et fatigué dans la famille ont n’était mineur de père en fils quoi faire d’autres dans les corons. Son grand père rentra un jour en toussant, il ce mis a cracher du sang noir, puis un jour il s’endormis comme lui avait dit sa mère il n’avait plus mal a présent. A dix ans il ne connaissait pas l’école ce n’était pas comme les enfants de monsieur Charles, toujours bien habillé et qui les regardaient même pas ignorance total d’un monde meilleur.

 

Non pas d’école pour louis les chariots a pousser sa oui pour quelques sous. O ! oui il la connaissait ses entrailles pour y avoir travailler 10 ans, c’est la guerre qui l’en sortit. Cela faisait deux ans qu’il voyaient des frères d’armes partir et ne pas revenir. Son ventre le tiraillait la faim ce dit il ! Il voyait la famille a table son père disait le bénédicités, sur la table l’éternel soupe avec des pommes de terres ou du pains, parfois un morceau de viande que le père coupait équitablement, nous regardions avec impatience pensa t’il, puis ils mastiquait chaque petits morceaux lentement savourant ce bonheur rare. Tout était calme a présent il n’y avait plus de bruits qui lui rappelait le fond de la mine. Devant dans le ciel gris il vit une tête celle de son père qu’il avait perdu a 16 ans dans un coup de Grisou, debout devant lui son père lui tendit la main en lui disant vient fils ont rentre. Louis n’entendit pas une autre voix qui lui tenait la main en disant, s’en ai fini pour lui il a quitter cette bonne vieille terre. Louis regardait l’horizon les yeux ouvert il s’était endormis.

Cahier d'un Légionnaire.
Bibliothèque Royal Belge.
Trousson Yves. 
   
                   


Image: Trousson Yves.
Entre la Vie et la Mort.



* Vie et Mort !.jpg (1.09 KB, 97x73 - vu 43 fois.)

« Dernière édition: Août 13, 2008, 07:41:29 par P'tit Sapeur »

Journalisée


Veritas - Fidelitas

Coeur de Chouan.
Eclaireur
**
Messages: 37


Re: Une vie perdue.
« Répondre #1 le: Décembre 18, 2005, 01:27:05 »

 


Belle histoire elle à certainement réelement existée même si vous la dite imaginaire !

 

 

Journalisée

Grognard
Sentinelle.
***
Messages: 53


Re: Une vie perdue.
« Répondre #2 le: Décembre 31, 2005, 10:22:17 »

 


Triste histoire mais combien réel.

 

 

 

ß---- RETOUR -----                                                                                                                                                                      ----à ENVOYER NOUVEAU SUJET ----