P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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La
vraie origine de la Légion ( 10 )
« le: Mai 30, 2006, 11:00:52 »
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La
vraie origine de la Légion. ( 10 )
Enfin une métamorphose commence !
La légion manifeste à l’époque une net désapprobation sévère pour les
intellectuels, préférant des personnes moins doués pour la critique, ce
qui pour elle amènes divers problèmes vu si haut notamment. Il
n’est donc pas fautes de ses Légionnaires, mais bien des officiers
quelques soit son grade que tout est bordel, sait la venue d’officiers
plus motivés et ayant un esprit plus proche de la troupe que cela va
changer, mais voyons les antécédents de ces années de gloire à venir !
Bien sur la troupe possède une centaines de mauvais soldats, Savary le
signale dans ses rapports, écrivant de même qu’il fallait exercer une
étroite surveillance voir à les verser dans la régulière afin de mieux
les contrôlés, hors la Légion sert justement à cela, nous sommes en
route vers la création des régiments disciplinaires. La Légion à reçu son
premier drapeau, ordonné par le décret du 9 novembre 1831, mais ce fait
non plus n’avait motivé ces hommes sans expériences et mal commandés,
mais les faits positifs vont ce précises à petites allures, en effet la
Légion est portée a sept bataillons et ce retrouvent dispersés dans des
endroits parfois les plus malsains et oublier de dieu, la solidarité va
naître, mais avant cela les missions inutiles voire futiles ne font pas
le bon moral. Savary, revient encore une fois sur les officiers «
un chef, qui sait comment manier ces hommes peut bientôt créer un esprit
de corps » Tout comme ce brave Stoffel, Savary travaille à leurs façons
dans le bon sens de par le fait de leurs critiques et observations, sait
dernières sont souvent judicieuses et positives pour les Légionnaires,
déclarant « que leurs bons vouloirs pourrait être motivés par un
bon encadrements qui manques, avec des officiers compétents, et
s’intéresses à eux un amour propre de ces hommes ferait effet positif ,
ces officiers, devraient leurs attentionné du temps, plus de justice,
plus de discipline, s’identifiés à eux, de même pour les sous officiers.
Savary relève aussi que nulles corps d’armée de l’armée régulière n’a
besoin d’autant de discipline que justement cette Légion ! Un cadre
de discipline façon Anglaise, Allemande, serait impératif et
justiciables. Le recrutement reste pourtant encore difficile, la
dissolution des des régiments de la garde royale en 1830, emmène une
pénurie d’officiers en effet les troupes d’élites en avaient besoin en
Algérie, mais le besoin de ces troupes dans les colonies vont devenir
profitable à la Légion. Et voilà qu’arrivent un défenseur des troupes
légères, prend le commandement de la Légion étrangère, il à pour nom et
grade, Colonel Michel Combe, cet officier à contribué à la création des
chasseurs à pieds. Il sait aussi que des officiers étrangers cherchent à
s’engager, tout comme c’est 277 polonais de 1834 réfugiés à
Londres.
La
Légion compte maintenant quelques officier compétents, mais d’inégales
valeurs. Le général Voirol se plaignait en 1833 que des officiers
Français dans la Légion employaient souvent des sarcasmes ou « des
expressions dédaigneuses ou injurieuses » qui poussaient les Légionnaires
à « la résistance et à l’insubordination ». Il est pénible que les étudiants
allemands en étaient particulièrement offensés et qu’ils le montraient .
L’attitude négative ce trop d’officiers était dévastatrice pour le moral.
Le 1er janvier 1834, Voirol constate que nulle fierté n’existe au
régiment, que l’alcoolisme y règne, de plus après les trois années de
contrat personnes ne ce rengageaient ». Mais le mauvais moral ne sait pas
étendu seulement à la Légion, sait tout le corps expéditionnaire que cela
sait étendu, l’affaire du dey d’Alger qui souffle avec un chasse mouche
le consul de France, provoque des troubles à Paris, la mauvaise volonté
de certains, officiers désirant rentrer en Métropole, sont pas pour aidez
la troupe, la situation en arrive à un manque de sécurité, aussi Savary
fait construirent des Blockhaus sur les principaux axes d’approche
d’Alger pour donner de l’air à la ville, ces mesures posaient aussi des
problèmes aux petits postes le service y étaient pénibles, aux pire était
fatal en tout genres. Dans ce capharnaüm il faut reconnaître le
comportement honorable des Légionnaires, dans leurs premiers
combats. Le premier combat à lieu le 7 avril 1832, ou deux compagnies. Le
23 mai de la même année, vingt sept Légionnaires et vingt cinq Chasseurs
d’Afrique que commande le Commandant Salomon de Musis sont attaqués près
de Maison-Carrée, qui protège à l’Est la ville d’Alger. Le commandant
mais en marche forcé ses Légionnaires, lui et sa cavalerie part chercher
des renforts, ce dernier à laisser le commandement au lieutenant Cham qui
est d’origine Suisse. Les débuts ce présente mal peu habituer à la guerre
en Afrique, tirent une première fois sur les Arabes, puis courres en
complet désordre vers un petit bois ce trouvant la. Cette situation fatal
ne peut plus leurs permettes de tirer en salves, ce qui était leurs
seules chance de ce sauver, la situation empire car ils sont rapidement
abattus ou capturés. Les prisonniers dont le lieutenant Cham, premier
officier de la Légion à mourir au combat, sont massacrés les un après les
autres car ils refusent de ce rendrent mais surtout le fait est qu’ils
refusent de devenir musulman. Les premiers traîtres à la Légion est le
Légionnaire Wagner un Saxon, qui accepte de servir ses nouveaux maîtres,
il fut épargné, et servit avec cinq autres déserteurs Légionnaires comme
esclaves, les cinq furent tués alors qu’ils fuyaient vers Alger un peu
plus tard.
Wagner lui réussi plus tard à s’évader, erra une dizaine de jours seul
dans le désert, pour enfin repris par la Légion à Maison-Carrée, ou il du
servir d’exemple devant tout le bataillon réunis, ou il du s’expliquer de
son acte et les effets d’êtres réduit en temps que prisonnier a la dure
loi de l’esclavage, ce fait de désertion allais changer aussi la
mentalité des Légionnaires, mieux vaut mourir dans l’honneur que bafoués.
Le pauvre Salomon de Mussis subit les faits de cette désertion il fut
sanctionné disciplinairement la sanction fut sa mutation dans
l’infanterie légère d’Afrique ou il meurt dignement dans une embuscade en
1836, la Légion perdait son premier officier muté dans une autre
unité, disons sont premier officier supérieure digne d’elle !
A suivre…. ( 11 ) Un autre ennemi
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