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Histoire
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« le: Janvier 27, 2006, 06:30:24 »
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En Hommage
aux civils des convois de toutes les guerres. Soldats sans armes et pour
certains d'eux objecteurs de consciences. Homage au courage !
Le convoi.
En ce mois de mais 1942 le convoi Xcw 123 ce traîne lentement depuis le
départ de New York le convoi avait perdu 3 navires non par la faute des
sous marins allemands mais distancés par leur trop longue lenteur un par
ennuis mécaniques ils vont étires une proie facile malgré qu’un escorteur
les accompagnes.
3. Destroyers 4 corvettes 2 gardes cotes américains.
4 Destroyers. 6 Dragueurs de mines Anglais.
3. Corvettes Australiennes.
1.Corvette. 1 Dragueur de mines Français.
24 navires de protection pour un convoi de 79 navires plus les 3 en
arrière.
A Bord du cargo « Tyl van Damme » de nationalité belge Jean et Victor
sont de quart vigie Jean ce trouve a tribord il n’a rien qui lui bouche
la vue les navires du convoi sont a Bâbord. Jean est a son 2e quart de la
journée sa fait deux ans qu’il fait les convois il a déjà coulé avec un
navire français le « le ville de Lille » récupéré par ce navire il est
rester a bord depuis et puis n’est il pas belge le cargo transporte des
pièces pour les véhicules. L’horizon est clair mais le soleil fait
énormément de reflets cela fatigue les yeux l’atmosphère est lourde. Les
escorteurs montes et remonte le convoi qui s’étire sur bâbord légèrement
en arrière un pétrolier américain d’autres navires 4 aux total font la
largeur.
Emile
vient le relevé enfin il avait faim. Descendu au mess il avale son
assiette froide de viandes légumes et pommes de terre. Il a 8 de repos
avant de reprendre son quart de vigie quatre quarts de 2 heures c’est
long 8 heures de travaille diverses le change de la routine. La vie a
bord est faite de partie de cartes de jeu de dames ou échecs d’autres
discutent. Jean a fait son quart de nuit rien a signaler il est dans
celui de 4 h 00-6 h 00. Il est 4 h 30 la lune est encore la les allemands
adore attaquer la nuit ils sont moins visible un pressentiment le
tenaille depuis sont quart 10/12 son instinct lui dit que le danger est
la depuis 1939 c’est son 11e convois.
Ils le sent ils sont la repéré
certainement par un qui a rappeler les autres leur service de
renseignement aussi efficace dans ce cas ils ont le temps de se rassemblé
il n’est pas rare de voir une meute de 7 a 8 U Boots parfois moins ou
légèrement plus. La lune est a bâbord c’est mauvais Jean n’aime pas sa.
Brusquement une explosion puis deux trois quatre sur son arrière ils
attaquent les plus lent ils sont quatre pour l’instant il s’agit d’ouvrir
l’œil le pétrolier touché est une véritable torche une aubaine pour ces
loups encore deux explosion sur l’avant encore une il sont 7 sa va barder
les escortes cherches dans tout les sens comme paniqué ou sont ces U
Boots ils ont déjà certainement changer de cap ou partis ils reviendrons
ces allemands connaisses leur boulot.
Encore
deux explosions en plein centre déjà 6 pétroliers flambe le reste ce sont
des cargo. Non de dieu torpilles par tribord Jean voie les deux sillons
arriver sur lui il transpire son œil habitué voit que les sillons sont
profond il a compris les torpilles sont pas pour son cargo mais pour le
pétrolier a bâbord il le signale a ce moment les torpilles passent en
dessous de la coque les pauvres gars ce dit il y a toujours très peu de
survivants sur des navires pareils le « Vieux fait mettre en panne
préparé les canots il est comme sa le vieux il a été a l’eau deux fois
avant de monter a ce bord il connaît les risques mais les lois de la mer
aussi personnes ne discutera les ordres. L’explosion est terrifiante une
brusque forte chaleur une boule de feu monte dans le ciel sur son avant
un navire de passager prend une torpille de plein fouet une autre
frappe un autre sur son avant par bâbord avant sans doute une perdue
c’est un carnage dans le convoi. C’est l’enfer les barques ramasses le
maximum de personnes d’autres navires ont mis d’autres chaloupes a la mer
malgré tout une pagaille.
La
mer brûle sa sent l’essence le mazout aussi la chair brûler monte aux
narines c’est atroce malgré l’habitude aucuns vétérans ne si fait. Les
attaquent sembles terminés il y a bien encore des explosions les
chaudières au contact de l’eau il n’y a jamais beaucoup de survivant
ayant droit aux torpilles en priorité il ne voient jamais la mort arrivé.
L’air était étouffant les cris venait de partout Emile avait pris sa
place de vigie il ne se faisait pas a ces malheureux de toute façon il
fallait une vigie lui un autre ! Les escorteurs protégeait les sauvetages
les dragueurs de mines cherchaient ont entendait les explosions au loin.
Jean levait les filets car le vieux avait eu l’idée d’utilisé les filets
tendus entre les deux grues pour monter les rescapés des marins du bord
et des autres non blésés aidait a couché les blessés une fois plein il
les fit remonter d’autres montais par l’échelle de coupé, des échelles de
corde étaient contre les deux bords. Les visages des hommes montant a
bord portait encore la stupeur ou l’effroi de ce qu’ils leur arrivait
certains parlent mais ces inaudible d’autre remerciaient le ciel en
priant ceux des pétroliers étaient les plus mal en point les brûlés
surtout le restant de la nuit ce passe ainsi en suite il faut rejoindre
les autres et reformé le convoi.
Il y
avait des hommes partout des médecins des bateaux qui n’avait pas de
blésés et ceux des militaires avaient été dispersés sur les navires qui
en avait le plus besoin. Les morts furent mis a la mer avec les services
religieux et les honneurs du sifflet. Sur les navires militaires ou
civils avait pris leur cornemuses cela rendait l’atmosphère étrange et
démesuré sous ce soleil chaud. Bientôt les cotes d’Ecosse apparaisse
d’autres navires de guerre sont apparus maintenant Jean ce sentait en
sécurité. Une fois a quai la solidarité continua jusqu’au dernier blésé
évacué en suite le vieux fit apporté des bouteilles d’alcool assis avec
eux ils buvaient en silence parler de ce qui venait de ce passé portait
malheur demain ont connaîtra les pertes.
Rapport des pertes du convoi Xcw 123.
En ce mois de mai 1942 le convoi était composé de 82 navires marchands et
24 unités de défense les pertes s’élève a.
3 cargos resté en arrière le navires escorteur ayant récupéré les
survivants a rejoint le convoi.
Le lendemain vers 4 h 30 une attaque par des U Boots c’est relevé être
dévastatrice et meurtrière en effet il sait avéré que cette attaque a
principalement visé les pétroliers et transports de troupes.
Les pertes total s’élève a 21 navires coulé.
Les U Boots ont attaqués a plusieurs endroits en même temps manœuvrant
rapidement il est a comprendre qu’une première flottille envoya leur
torpilles puis s’enfuirent pour ce déplacer vers l’avant du convoi du
moins c’est ce que nous avons cru mais une seconde meute attendait de
l’autre bord ou une fois les escorteurs partis a la chasse des autres ils
purent tranquillement torpillé les navires qu’ils voulaient en suite ils
partirent tout aussi tranquillement comme ils étaient venus. Aucunes
trace de U Boots coulés. Il est a signalé que le navire escorteur avait
avertit le convoi.
Brest.
Mai 42.
En ce jour de mai une flottille de 9 U Boots s’étant rallié dans
l’Atlantique nord ce sont attaqué a un gros convoi 3 U Boots ont porté
une attaque sur tribord ayant le temps de rechargé les tubes une deuxième
fois et de partir et s’enfuir sans pertes l’énnemi les cherchant en vain.
Une fois les navires de guerre tombé dans le piège les 6 autres U Boots
attaque a leur tour causant de grosse pertes au convoi. A nouveau les U
Boots sont parus sans pertes.
A noter la veille 3 cargos furent coulé l’escorteur fut épargné pour
qu’il mette en état d’alerte l’escorte ennemie ce coup d’audace réussit
puisqu’il crurent a une attaque rapide par un petit nombre de nos U
Boots. Les pertes ennemie s’élève a 21 Navires.
Kk Karl Haupman. U Boot ?.
Cargo alliès coulé.
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