P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
   
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Mon devoir, la mémoire !

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Narvik
( Fin )
« le: Mars 22, 2006, 10:33:04 »
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Narvik (
Fin )
A moi la Légion !
A terre contre attaque et essaye de rejeter les Légionnaires a la mer
pour s ‘y employer l’état major Allemand jette contre eux les
parachutistes, les chasseurs de montagne et les fusiliers marins, ces
derniers on un moment d’hésitation, Guillaud le voit et s’élance en
criant « A moi la Légion » l’ennemi recule. Encore une fois un coup dur
les frappe Guillaud est tué a tête de la 2e Cie, 60 gradés et
Légionnaires soit plus du tiers des effectfs.
Le bataillon Ponthieu arrive en soutien du bataillon Boyer-Ressès.
Malgrés les bombardements aériens ou terrestres et surtout les retards de
toutes sortes, le désordre régnant, les Légionnaires de la seconde vague
débarquent a 5 heures, quand à la totalité des effectifs Légion sur
presqu’île de l’autre coté du fjord ne s’effectuera cas 11 heure du
matin. Les officiers tombent tout comme les Légionnaires effectuant leur
devoir a l’unisson, la Légion perd un autre officier sur la plage
d’Ornset , ce dernier le Comandant Paris, chef d’état major de la
Division, il venait de débarquer pour effectué la liaison avec le
Lieutenant Colonel Magrin-Vernerey.
L’aviation britannique fini par intervenir. Enfin les Légionnaires
peuvent avancer vers Narvik a 18 h 00 ils enlèvent la cote 457. Les
Légionnaires laissent a leurs frères d’armes du moment les Norvégiens
l’entrée en premiers dans la ville, honneur que ceux si n’oublierons pas
dans les années a venir, a la tête de ces derniers qui sera porter en
triomphe jusqu'à la boulangerie de ces parents un soldat originaire de la
ville. Le bataillon Ponthieu lui contourne la ville par l’ouest, le
bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression vers l’Est, longeant
les voies ferrées le long du Fjord. Le peloton motocycliste du lieutenant
Lefort est toujours en tête, il est suivit du lieutenant colonel
Magrain-Vernerey qui a pris place dans un véhicule réquisitionné. Leurs
avancent dans la presqu’île avançant vers le sud ouest pour attaquer Belsfjord,
ou la 13 rejoint le bataillon polonais. A minuit les postions
sont conquise, a 6h00 du matin le Magrin-Vernerey est revenu d’une longue
patrouille, et comble de tout s’est endormi protégé par un prisonnier
allemand, il sera réveiller par le général Béthouart qui lui vient
d’Oijord ou il a passer quelques heures fêtant avec les Norvégiens la
libération de la ville, avant de rejoindre son chef de l’autre coté du
Fjord. Le bataillon Boyer-Ressès lui continue sa progression en direction
de Sildvik en longeant la voie ferrée qui va a la frontière Suedoise.
Rapidement il occupe la cote 103, continuant sa route, un troisième
char vient l’appuyer ce dernier va par remorquage dés enlisé un confrère.
Ub des trois char devenu inutilisable va rester t’elle un monument des
souvenirs de ces jours sur place doute la durée de la guerre. Pourtant
aucunes de ces victoires locales ou autres ne peu empêcher
immanquablement l’ordre d’évacuation. Les Légionnaires le savent et ne
veulent pas partir sans laisser savoir aux allemands que c’est à la
Légion qu’ils ont affaires, rageusement ils les repousses jusqu'à la
frontière Suédoise. Mais voilà les allemands ne le ferons pas le haut
commandement alliès donne l’ordre fatal pour le 7 juin c’est
irrémédiable. C’est la fin des victoires, Magrin-Vernerey reçoit des
mains du maire de la ville un fanion brodé par sa femme, cadeau a la
13. A 22h00 la Légion quitte la ville.
Tout va s’enchaîner très vite. Destructions du matériels, le peloton
cycliste rentre a pied, Lefort et ses hommes formerons l’arrière
garde les Pionniers aussi. Les pionniers détruirons 300 mètres de voie
ferrée, dans la foulée détruise aussi un tunel de la route du fer. La
Légion embarque en dernier sur un destroyer britannique, Béthouart et
Magrin-Vernerey les accompagnent, officiers et Légionnaires comme a leurs
habitudes unis dans les joies et la souffrance.
La Légion pour cette mission de sacrifice paye un tribu de 150 tués et
blessés, mais elle a donner a donner a la France au dela du cercle
polaire, sa seule victoire dans cette triste année de défaites 1940. La
France et les Français s’en souviennent encore maintenant 66 ans
après. « La Légion marche vers le front… »
Fin.
Le fameux beret Légion de l'époque
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