P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
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0rdre de Louis Philippe !
   
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Mon devoir, la mémoire !

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Re :
Le monument de la Légion Etrangère Henry Farnsworth à Souain
« Répondre #1 le: Décembre 08, 2006,
01:48:16 »
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Une
fleur de sang !
Gouttes à gouttes il ce vide,
De son sang, les yeux fixant le sol
Yeux voyant un tapis de fleurs blanc
Perce neige est son nom, sur tapis de neige,
La vie le quitte, son sang nourrissant le sol,
La chaleur de son corps s’éteint, la vigueur
Le quitte, son cœur balbuties quelques battement
Rythmant une vie jeune, sacrifiante de liberté et
D’amour pour un pays qui n’est point le sien,
Mais qui de par ce sang devenu nourricier,
Le fixera à jamais dans cette terre, une vie, morte
Fixée, par une pierre, stèle ou nuls religions ce bat,
Immortalisé par la foi d’une croyance juste et pur,
Celle que l’ont appel « France » d’ou peut-être un jour
« France d’abord » sur des véhicules en chemin,
n’on plus celui des dames, mais vers l’Allemagne,
symbole des âmes resucitantes pour la mémoire des disparus
bien avant, revenant soutenir la foi des vivants,
afin de montré la voie sacrée de la liberté, chemin
qui eux jadis ce sont arrêter en chemin, mais d’on
l’arrêt brusque d’un sang pétillant, donna l’exemple
de le poursuivre jusqu’au bout, dans l’honneur et la Fidélité
Un jour ils ont jetés leurs sac à terre débarquant
De tous les horizons, ils savent à présent ce que veut dire
Terre d’accueil, de part leur mort inconscients de la vérité
Qui pour eux s’avéra plus que pour d’autres !
Connaissant le droit comme tant d’autres soldats de France
Peuvent chantés en silence « que leur sang ont abreuvé les sillons »
Ironie pour les belges en Artois devenue sans étoiles,
Ironie pour les autres morts en champagne, soûlant de leur sang
Un sol charcuté devenu ingrat, n’on pour une patrie
Au quel il appartiens mais bien par l’ennemi persécuteur.
Sol de France, devenu riche ; par la chair des siens,
Ironie pour un pays aux premiers droits de l’homme,
Ou la tranché remplaça la guillotine !
Différence de deux mort, la première ou le sang
Coula à flot cote à cote, dans la deuxième le sang
Coula séparément, mais ou la tête fini dans le même panier.
Mais dans le fond de ma pensée, ils moururent tranché, de leur vie.
C’est yeux fixe regarde ce sol fleuri de perce neige, une tache rouge
C’est répandue, colorant, imprégnant, voici le pourquoi, peut-être
Tant de fleurs blanche et rouge, dans les cimetières militaires,
Accompagné de fleur jaunes, couleur de soleil réchauffant les cœurs
De ceux qui n’y sont pas resté, jaune chaleur d’un merci, à ceux qui
Sont partis, merci au sacrifice consentis, pour une liberté chèrement
payé.
Plus que quelques fleurs enjolivant les allées, voies des âmes errantes
ici.
Pierres, croix, monuments, symboles des vies enfouies !
Ici, pas de question, que fait tu ici ! Non des paroles n’on écrites
Simple de vérité venant des cœurs généreux de remerciements, parlant aux
générations qui viendrons !
« Mes enfants ici demeurent de grands résidents de France, emplacements
achetés durement par la peine, de leur parents, petites amies, amis, qui
eux ont tous perdus. Eux c’est résidents qui ont marqués l’histoire du
sol de France,
reposent ici dans le silence du souvenir, ayez une pensé pour eux ! »
France rappel toi, ici dorment des cœurs, âme des survivants, re
bâtisseurs de ta grandeur actuel !
Fleur de sang , serait tu aussi, coquelicot ?
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