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La Grenade Légion

 

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Sujet: Vers le Mexique.  (Lu 939 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !


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Vers le Mexique.
« le: Juillet 05, 2005, 05:04:19 »

 


Vers le Mexique.
9 février 1863.

Enfin le régiment étranger toujours sous les ordres du Colonel Jeannigros embarque a bord de deux anciens navire mixte de ligne d’ailleurs  profitant des changements effectués a bord en transport de troupe le «  Bucentaure » deviendra le «  Wagram ». Les tourelles des canons sont vidées de leurs contenus elles servirons de logement aux officiers subalternes et Légionnaires de tous grades un entre pont a aussi été emménagé, le plus étonnant c’est que de la simple toile fixé au plafond va séparé c’est hommes.


Le Wagram est un navire qui a l’époque a 20 ans d’age « 1843 » Le St Louis lui est plus jeune il date de 1848. Un troisième navire les accompagne le « Finistère » Ce dernier transporte mules ét matériels. En toute logique les navires devaient être plus ou moins confortable mais un surplus d’hommes en effet  va intervenir voici en toutes logique ce que les deux navires auraient du comporter équipage compris prenons simplement le « St Louis » . 

Tout d’abord la vie a bord pratiquement invivable en hygiène aurait été impossible ¼ de litre d’eau par personne et par jour pour ce laver vous démontre la précarité de la propreté si la personne arrive a temps a la distribution la demi chance est donc que l’équipage est réduis a 431 hommes au lieus de 800.  Les Officiers Légion 35 les Légionnaires 797 donc un total de 1228 personnes. A cela vient s’ajouter 61 Chasseurs d’Afrique et 203 Zouaves ce qui donne un total de 1492 personnes de plus le navire dans c’est cales une grande quantités des vivres et matériels  imaginés vous avec les malades du mal de mer ce que cela pouvait donner pendant la durée du voyage avec une seul escale ou seul les officiers ont pus descendre a terre. 

 Le Saint lui stoppa les machines a Funchal ( Madère  15 févtier) le Wagram et Finistère eux continue leur route il fut organisé un tour de rôle pour que les hommes puissent monter sur le pont.  Le 5 Mars la Martinique les hommes malades sont débarqués mais le 10 tous le monde repart le Saint Louis a rejoint la Martinique le 6 Mars deviner la joie de cette aubaine de 3 jours a terre. Le 11 Mars a trois heure et demis les navires quittent fort de France pour sa dernière étape Vera Cruz Mexique ou ils arriverons le 26 Mars a 5 h 35 heure précisé par le méticuleux Lieutenant Campion. Le Lieutenant Diesbach est rester a terre car très malade. En ce 26 Mars la Légion en entrant dans la campagne du Mexique va immortalisé un petit bourg ou appeler « Carmaron » qui deviendra ce qu’est et serra toujours la Légion l’esprit du courage et du sacrifice. Bien sur la Légion a eu avant ce 30 Avril 1863 bien d’autres faits de ce distingués.

 

 

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Veritas - Fidelitas

SOS
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Courriel

Re: Vers le Mexique.
« Répondre #1 le: Août 12, 2005, 08:10:36 »

 


Coment tu fait pour raconter c'est histoire ? Je supose que tu les transforme grace a des livres ? Mais chapeau ?

 

 

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Lone Star
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Re: Vers le Mexique.
« Répondre #2 le: Décembre 28, 2005, 09:39:30 »

 


La vie a bord pendant le voyage devait pas être toute rose ?

 

 

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Thor
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Re: Vers le Mexique.
« Répondre #3 le: Janvier 01, 2006, 10:05:29 »

 


C'est pas terrible le confort a bord vu les films anciens.  Embarrassed

 

 

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Coeur de Chouan.
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Re: Vers le Mexique.
« Répondre #4 le: Janvier 19, 2006, 12:49:42 »

 


Et l'odeur ? Mais Légionnaires ou non certains on du vomir ! Quel nétoyage ? Je pourait pas suporter sa !  Cry

 

 

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Mustang
Observateur.
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Re : Vers le Mexique.
« Répondre #5 le: Février 25, 2006, 10:23:47 »

 


J'ai vu encore de c'est vieux navires en 65 le long des cotes d'Amérique du sud, pas aussi vieux certainement mais l'hygiene cela devait pas être sa.  Huh

 

 

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Kalimera
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Re : Vers le Mexique.
« Répondre #6 le: Janvier 08, 2007, 03:44:59 »

 


e Régiment étranger au Mexique (1863)

Le Régiment étranger n’avait toujours pas été envoyé au Mexique. Le 15 août 1862, les légionnaires fêtaient la Saint Napoléon. Les soldats avaient décoré la caserne de Siddi Bel Abbès de feuillages et de guirlandes, et ils attendaient maintenant, chantant et buvant, que le colonel de la caserne vint boire un verre à la santé de l’Empereur, avant de passer à table, comme le voulait la tradition. C’est le sous- lieutenant de Diesbach qui nous décrit la scène. Fiers de leurs multiples combats, de nombreuses pancartes étaient accrochées aux fenêtres, portant comme inscriptions les faits d’armes et les campagnes du régiment : l’Algérie, la Crimée, l’Espagne, etc. Une seule de ces pancartes était restée vierge. Le colonel Pierre Jeanningros, entouré de ses officiers, demanda pourquoi rien n’était inscrit sur cette pancarte.

Un de ses hommes lui répondit :

« c’est pour y inscrire la campagne du Mexique ! »


Alors, un cri retentit dans la caserne :

« partons pour le Mexique! »

L’enthousiasme de ces légionnaires était parfaitement compréhensible. Tous étaient volontaires, s’ils avaient signé un engagement, c’était pour se battre ! La légion aspirait donc naturellement à participer à ce conflit qui avait de surcroît mal débuté pour les forces françaises.

Cependant, le gouvernement français n’avait toujours pas fait appel à son corps d’élite, alors que le conflit avait commencé depuis la fin de l’année dernière. Les légionnaires décidèrent donc de transmettre à l’Empereur une pétition, lui rappelant ainsi leur goût du combat (cette démarche était considérée à l’époque comme fort peu respectueuse.). Le Régiment fût entendu, bien que certains officiers fussent punis pour leur arrogance. Le colonel Jeanningros, commandant la Légion à cette époque, reçut l’ordre de départ en janvier 1863. 2 000 légionnaires seulement partiraient pour le Mexique. Le 9 février au matin, le Régiment embarquait pour le nouveau monde.


La mission du Régiment étranger

Le colonel Jeanningros reçut rapidement ses ordres : assurer la voie de communication allant de La Tejeria à Chiquihuite.

Les officiers, Jeanningros y compris, étaient déçus de la mission qu’on leur confiait. Ces derniers se voyaient déjà à Puebla, prêtant main- forte aux troupes du général Forey. La déception était d’autant plus grande que la ville de Puebla, située sur le plateau de l’Anahuac (haut de 2000 mètres) , était à l’abri des ravages causés par le vomito negro, car localisée dans les Tierras templadas (ou terres tempérées.). A contrario, les légionnaires devraient opérer en plein dans les Tierras calientes, les terres chaudes.

Le Mexique est un pays situé en zone tropicale. Cependant, le pays étant très nivelé, le climat change selon l’altitude du terrain. Les terres ayant une altitude comprise entre 0 et 700 mètres étaient appelées Tierras calientes. Cette zone est humide, la température y est constamment élevée. Les marécages, alimentés par les pluies torrentielles, amènent quantité de miasmes, qui eux même apportent les pires maladies. Ce territoire, dont la surveillance avait été confiée au Régiment étranger, est insalubre pour les Européens. Au delà viennent les terres ayant une altitude comprise entre 700 et 1 600 mètres ; les Tierras templadas. Le climat est sain et la température reste toujours comprise entre 20 et 25 degrés. Viennent ensuite les Tierras frias, les terres froides, d’une altitude comprise entre 1 600 et 3 200 mètres. Enfin, les terres gelées sont situées à plus de 3 200 mètres du niveau de la mer.



Les légionnaires se divisèrent pour occuper les points importants de la route ; Vera Cruz, La Soledad, Paso del Macho, Chiquihuite. Mais à Puebla, l’armée de Forey était encore tenue en échec par les rebelles mexicains. Ce n’est que le 29 avril que le colonel Jeanningros apprit qu’un important convoi de munitions à destination de Puebla était parti de La Soledad le 14 avril. Ce convoi, composé de 60 voitures et de 50 Mulets, était à 50 kilomètres de Chiquihuite. Comme nous l’avons vu, il transportait des pièces de sièges, des munitions, des vivres, ainsi que quatre millions en pièces d’or. Il y avait donc de grandes chances pour qu’il soit attaqué.

Quelle attitude Jeanningros devait il prendre ? Partir de Chiquihuite était impossible, la place étant d’une importance stratégique trop grande. Laisser le convoi sous la protection des deux compagnies venues l’escorter depuis La Soledad était insuffisant, bien qu’une troisième compagnie était disponible à Paso del Macho. Jeanningros décida d’envoyer une compagnie en reconnaissance ; c’était au tour de la 3° compagnie de marcher. Cependant, cette dernière, à cause du climat des tierras calientes ne pouvait plus aligner que 62 hommes. De plus, le capitaine de cette compagnie, le capitaine Cazes, n’était pas disponible (il commandait le poste de Medellin.). Le seul officier restant de cette compagnie était le lieutenant Gans, qui était malade. Le capitaine Danjou se porta volontaire pour prendre le commandement, accompagné des sous-lieutenants Clément Maudet (porte- drapeau.) et Jean Vilain.

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Vers le Mexique.
« Répondre #7 le: Mai 13, 2007, 09:33:20 »

 


D'après certaines sources, cetait une aubaine pour le capitaine Danjou; qui de part sa main de bois; n'avait que des commandemants de casernes, administratif. Si un seul officier ce serait trouver la, Danjou, ne partait pas, il savait aussi, qu'en ce portant volontaire, la colonne pouvait partir immédiatement, sans devoir ce mettre en retard d'attendre un autre officier.
Cela dit cela n'enleve en aucuns cas les grands mérites ce Capitaine courageux.

 

 

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