P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
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0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Mexique,
la perte française.
« le: Mai 19, 2007, 09:29:51 »
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Mexique,
la perte française.
Mexique de 1822 à 1867.
Le Mexique obtint son indépendance en 1822, s’affranchissant ainsi de
l’Espagne. Depuis les évènements graves s’ensuivit, destruction des 2 partis
uniques libéral et conservateur, l’exécution du dernier empereur
Iturbide, partout l’anarchie régnait.
En
1856, le nouveau partis libéral triomphe et revient à l’avant scène du
pays. Tout d’abord une république est installée, une constitution adoptée,
ainsi qu’une représentation nationale crée, basée sur le suffrage
universel, et enfin les biens nationaux furent sécularisé.
Un danger cependant subsistait sur c’est faits nouveaux, contre toute
attente le battu dans l’affaire sommeillait, ce réveillant
brusquement revanchard le parti conservateur reprend le pouvoir en 1858,
obligeant alors à l’époque le général Comonfort, président du pays à
démissionné. Ceci s’effectue celons les accords de la nouvelle
constitution établie justement par les libéraux. Le président de la
cour suprême prend alors la présidence du pays par intérim.
Cet
homme Benito Juarez est à un solide passé derrière lui, ancien
séminariste il est donc proche de l’église très conservatrice. Cet homme,
est un indien de la race des Zapoteca, il à gravit bien des échelons de
la société, domestique, puis sémi,ariste ( on la vu ) avocat, professeur
de physique, député au congres, gouverneur de l’état de Oaxaca, il sera
exilé, puis revient dans le gouvernement libéral, comme conseiller d’état
et ministre de la justice, et enfin président par intérimaire.
Obligé de s’échapper de Mexico, ou il y avait des heurts sanglant, à
nouveau exilé il ne revient qu’en janvier 1861.
A son
retour la situation du pays est grave, pourvue notamment de plusieurs
guerre civils. Mais la situation financière est toute aussi lamentable,
en effets les emprunts fait à l’Angleterre, en France et à l’Espagne fait
par le gouvernement libéral de 1856, n’a pas étés remboursé et les dettes
ce sont accumulées lourdement, de plus de lourds reliquats de dettes
c’était jointes pour les réparations causés par les guerres civils contre
les nombreux « résidents » étrangers. La France, était
la plus importante créancière car elle avait en plus à charge la somme de
75.000.000 de bons impayés d’un emprunt émis, sous la garantie Mexicaine,
par un banquier de nationalité Suisse Mr Jecker.
Une
fois rentré dans la capitale, Benito Juarez, accepte intelligemment en
signant tout simplement une simple signature sur une convention de
remboursement des dettes que le Mexique, devait aux nationaux français.
Juarez, ne s’arrête pas la, au mépris de cette signature et de la France,
il fait voter par le congres, les remboursements des dettes pour un
délais de deux ans à toutes les puissances étrangères concernés. Ce
qui à pour effet immédiat d’une vrais banqueroute, mais aussi un non
respect à la parole donnée. Les trois pays concernés la France,
l’Angleterre et l’Espagne, vont alors signé une convention s’engagent à
envoyer des forces terrestres mais aussi de maritimes, avec missions de
prendre les forteresses, ainsi que les points stratégiques militaires sur
les cotes, les éléments militaires devrons être conséquent pour cela.
C’est la convention de Londres, du 31 octobre 1831, qui la décidé.
Le
déclenchements d’une guerre pour la France, elle même est
inévitable. En effet Napoléon III, avait un rêve ambitieux,
concevoir par de la les mers, un empire, en 1856, il y pensait déjà, le
Mexique lui en donnait l’occasion, mais tombait dans le piège politique
de Juarez, car ce dernier s’il gagnait sa révolution, non seulement il
devenait i, dépendant et les dettes s’arrêterait la puisque les vaincus
devraient payer des dettes de guerres provoqués. L’Angleterre et
l’Espagne le comprirent et préfèrent « oublier » les dettes
et la jouent diplomatiquement ent en faisant un blocus qui s’avéra payant
plus tard après la défaite de la France, qui s’avéra pour finir la grande
perdante dans cette histoire.
A son
tour la France, oublia une parole donné à l’Autriche et à la Belgique ;
de ne pas abandonné Maximilien Ier, et sa femme la princesse Charlotte de
Belgique, fille de Léopold Ier, roi des Belges. La mort pae
fusillade en 1867, de Maximilien, par les troupes de Juarez ;
entraînerons une guerre européenne qui malgré quelques victoires
importantes entraîne la chute de Napoléon III, et celle de
l’Empire, la république fut restauré.
La Belgique n’entra pas en guerre contre Napoléon III, car il était de
descendance royal, du coté de Marie-Louise d’Orléans, femme de Léopold
Ier, et mère de Joséphine, femme de Maximilien ; devenue folle, par la
perte de son maris, mais aussi du temps passé en captivité dans les
prisons de Juarez, ou elle n’était que la femme d’un Tyran.
La
Belgique par sa diplomatie réussit à la sauver, mais elle n’oublias pas
ce lâche abandons. Ce fut le 1er ministre belge, Charles Rogier, qui
contribua le plus à la perte de Napoléon III, que le roi, lui même.
La loi, de neutralité belge, fut joué, encore une fois la diplomatie, battait
la France. Maximilien était vengé; pour l'Autriche.
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