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La Grenade Légion

 

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Sujet: Un massacre inutile !  (Lu 138 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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Un massacre inutile !
« le: Mars 23, 2006, 08:47:46 »

 


Le petit bois.

Hier j’était encore dans ma tranchée me demandant si ce soir je vivrait encore ?
Je me rappel le lieutenant ne donnant les d’ordres d’un air indifférent, blasé. Allons les gars ont remet cela, m’étés vos baïonnettes ont n’y retournes encore une fois, toujours ce bois comme d’habitude derrière celui ci un carrefour stratégique. Ce matin un régiment de tabor a presque réussit une trouée, le trois quart y est resté. Les pauvres types ils venaient de loin pour crever ici. Alors vous voyez ce qui nous attend ont compte sur nous. Le matin on était sur le flanc gauche, maintenant ont n’est a la place de ces Tabors ont doit prendre ce bois au centre. Le lieutenant nous a dit qu’au quartier général ont a dit au colon « Duriez » c’est pour la légion. L’artillerie y met le paquet comme si cela dérangeaient ceux d’en face ils sont terrés comme nous, ils nous attendent. Nous voilà sur les échelles prêt. Devant moi un jeune gars, je l’encourage il me répond. Sa va aller mon vieux c’est mon troisième assaut et je m’en suis sortit. Je regarde ce visage mon dieu c’est le P’tit Julien je l’avais pas reconnu il a vieillit en un rien de temps et dire qu’il n’a que 20 ans, ont lui en donnerai quarante. Je passe a l’échelle suivante le gars a le visage dur son frère a été tué hier un obus dans la tranchée il a été enterré vivant. Je m’arrête a une échelle vide c’est la mienne honneur aux sous officiers de sortir les premiers avec notre officier. L’artillerie cesse le feu cela va être notre tour les sifflets retentissent, comme si ceux d ‘en face ne savent pas que l’ont va arriver !


En avant, a l’assaut l’ennemi ne tire pas que ce passe t’il ? Pourtant devant nous les barbelés, nous savons qu’ils sont la sinon les Tabors n’auraient pas été massacré ce matin !  Rien pas une ombre pas un soldat nous avançons sa sent la mort il y a des mouches partout les cadavres des Tabors sont encore la quel épreuve il a fait tellement chaud que les pauvres gars sont en décompositions et les mouches pullulent l’odeur est épouvantable. Nous avançons par bonds nous arrivons aux barbelés. Nous les passons alors l’enfer ce déchaîne venant des bois les salauds ils ont reculés leurs nids de mitrailleuses a lisière du bois et nous voilà empêtrés dans les barbelés. J’entend des voies criés a terre balançons leur des grenades planqué vous dans les trous, d’autres voies cries ils nous aurons pas comme ces pauvres Tabors. Les ordres passe rester a l’abris ils ne tiendrons pas avec les grenades foutons le feu au bois mon lieutenant sinon ont va rester cloués ici, ont sait plus avancer ni reculer. Mon lieutenant établissons une ligne de feu il va faire soir et la nuit nous pourrons établires une de grenadiers sous ce feu l’ennemi aura du mal a nous empêcher de jeter des torches même si elles n’atteigne que la lisière nos tires les empêcherons de pouvoir les éteindre. C’est impensable mais ont n’a pas le choix, faut essayer ! Le feu c’est arrêter, les caporaux ont relevés les pertes. 8 morts 2 blessés cet un miracle !

 

Toute la nuit les Allemands narguai les Français apparemment ils pensaient avoir a faire a des réguliers comme eux c’était courant dans cette guerre. Rien n’empêchais que bien des hommes de valeurs étaient morts pour rien dans des assauts inutiles, les réguliers payais un lourd tribus dans ce merdier. Mais cette fois c’est la légion et sauf contres ordres elle tiendra ce qu’elle a déjà pris, le bois suivra, puis le carrefour elle le prendra coûte que coûte question d’heure. Cabéra a réussi a passer pour transmettre le rapport Sergent ? Certainement mon Lieutenant, il reviendra aussi croyez moi ! Bien même si l’ennemi tire aucunes ripostes ont attend mes ordres pas de sifflet ont agira par surprise je donnerai un coup de feu a ce moment feu a volonté.  A vos ordres mon lieutenant je fait passer. La nuit passa a crée des torches ont n’a rien d’autres, certains accroches leur torche au manche des grenades, ils sont fou je me dit mais après tout sa peut marcher. Le poids de la grenade va sans doute envoyer les torches plus loin du au poids de celle ci, par l’explosion va peut être propager le feu, il n’y aura une chance de passer mais faudra faire vite si l’ont veut pas rester coincer entre les lignes. Mon lieutenant nous pouvons passer a coter du bois, l’ennemi ne s’y attendra pas, ils serons surpris s’attendant a ce que l’ont s’accroche aux bois.   


Tu a raison sergent Cabéra n’est pas encore revenu donc pour nous les ordres change pas, qu’importe la façon nous aurons ce Putain  de carrefour, ont se déplace sur notre droite avec les Sections. La 1er reste ici balance les grenades torches les grenadiers choisi seront appuyer par toutes les mitrailleuses de la compagnies n’avertissons pas les autres sans le faire express il vont nous appuyer en feu. Si c’est pas un système décamarade toi j’y comprend plus rien mon lieutenant, si nous, nous infiltrons restera a espérer que le régiment suivra, si ont rate notre coup ont va ce faire chauffer les oreilles. Ont n’aura l’excuse d’avoir essayer sergent. Vous avez raison après tout. Allez ont ce prépare profitons de la nuit pour s’approcher des lignes chaque trous doit être boucher par nous en avant. La 1er section pour distraire les Allemands leur répondent ne me demander pas de vous dire ce qu’ils s’envoient comme mots d’oiseaux. Pendant ce temps nous avons la nuit est noir nous passons les barbelés les Allemands ne doivent pas ce douter de ce qui ce passe. Il est 2 h00 du matin tout est calme le lieutenant fait passer le mot a la 1er section le coup de sifflet résonne. Les grenades et torches sont jeter les mitrailleuses ce déchaîne l’ennemi est surpris quand à nous ont n’est déjà dans les lignes ou les allemands lève les bras ce demandant ce qui arrive, le bois brûle les allemands surpris de nous voir en sortant du bois lève aussi les bras toussant crachant leurs poumons les yeux doivent bien piquer. 3e sections occuper vous des prisonniers. 5e sections protéger notre flanc droit. 2e et 4e sections avec moi au carrefour a chaque fois un « A vos ordres mon lieutenant » il est 2h20 et les voilà aux carrefour sa alors une simple croisée de chemin de terre dans les champs je rêve mon Lieutenant, ont n’a fait tout cela pour cela ! Et oui mon vieux.


Une voix sortit de derrière. Non de dieu qui ma foutu un bordel pareil me réveiller avec un t’elle boucan, c’était le colon qui arrivait.
Nous avons suivit les ordres mon Colonel prendre le carrefour a tout prix de plus ils viennent de vous et de plus haut je suppose ! Dans c’est conditions bravo mes gaillards mais p….n tout cela pour cela ils sont fou la haut.

A ce moment Cabréra arrive avec des ordres du même Colonel « Prendre l’objectif a tout prix » Je m’excuse d’être en retard mais un obus ma envoyer dans les barbelés et j’ai eu du mal a en sortir. L’histoire fini dans un grand fou rire.
Les ordres arrivèrent le lendemain retour sur les anciennes positions le carrefour n’étant pas considéré assez stratégique. Encore une de c’est histoire a plus d’un million et demis de morts inutiles.   


Coup de Poker pffff
Mauvaise donne sa oui.



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Re : Un massacre inutile !
« Répondre #1 le: Mars 23, 2006, 06:13:57 »

 


Si j'écrit, ces petites histoires imaginaires, aveec des phrases coupées, ou comme parlant des barbelés passé, alors que je dit qu'ils sont encore empétrés dedans, c'est uniquement considéré l'étendue de la vague d'assaut, de l'avant a l'arrière, la personne qui " à écrit cela" la fait quand il en revenu; nuls personnes ne peu exactement d'écrire un combat t'elle qu'il c'est réelement passé, c'est toujours contradicires, pour ma part ce n'est qu'un simple homages a te t'elles hommes.

Exemple.
Je courrait tellement vite, mes camarades a mes cotés, les gradés devant, que quand les la poussière et les gravats ont fini de tomber, que je me retrouvait seul, avec un ennemi devant moi, aussi seul que moi, nous, nous sommes retournés dépités retrouvés nos amis couchés. Cette fois la nous avons du penser tout les deux, aurevoir mon garsn c'est pas pour cette fois, la prochaine sans doute. Alors la lourdeur de mon fusil au bout de mon bras ballant, me fit sentir, l'écoeurement de ne pas être patron boucher, mais d'en être devenu la viande a propos.
P'tit Sapeur.

 

« Dernière édition: Mars 23, 2006, 07:36:45 par P'tit Sapeur »

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