P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Un
massacre inutile !
« le: Mars 23, 2006, 08:47:46 »
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Le
petit bois.
Hier j’était encore dans ma tranchée me demandant si ce soir je vivrait
encore ?
Je me rappel le lieutenant ne donnant les d’ordres d’un air indifférent,
blasé. Allons les gars ont remet cela, m’étés vos baïonnettes ont n’y
retournes encore une fois, toujours ce bois comme d’habitude derrière
celui ci un carrefour stratégique. Ce matin un régiment de tabor a
presque réussit une trouée, le trois quart y est resté. Les pauvres types
ils venaient de loin pour crever ici. Alors vous voyez ce qui nous attend
ont compte sur nous. Le matin on était sur le flanc gauche, maintenant
ont n’est a la place de ces Tabors ont doit prendre ce bois au centre. Le
lieutenant nous a dit qu’au quartier général ont a dit au colon « Duriez
» c’est pour la légion. L’artillerie y met le paquet comme si cela
dérangeaient ceux d’en face ils sont terrés comme nous, ils nous
attendent. Nous voilà sur les échelles prêt. Devant moi un jeune gars, je
l’encourage il me répond. Sa va aller mon vieux c’est mon troisième
assaut et je m’en suis sortit. Je regarde ce visage mon dieu c’est le
P’tit Julien je l’avais pas reconnu il a vieillit en un rien de temps et
dire qu’il n’a que 20 ans, ont lui en donnerai quarante. Je passe a
l’échelle suivante le gars a le visage dur son frère a été tué hier un
obus dans la tranchée il a été enterré vivant. Je m’arrête a une échelle
vide c’est la mienne honneur aux sous officiers de sortir les premiers
avec notre officier. L’artillerie cesse le feu cela va être notre tour
les sifflets retentissent, comme si ceux d ‘en face ne savent pas que
l’ont va arriver !
En avant, a l’assaut l’ennemi ne tire pas que ce passe t’il ? Pourtant
devant nous les barbelés, nous savons qu’ils sont la sinon les Tabors
n’auraient pas été massacré ce matin ! Rien pas une ombre pas un
soldat nous avançons sa sent la mort il y a des mouches partout les
cadavres des Tabors sont encore la quel épreuve il a fait tellement chaud
que les pauvres gars sont en décompositions et les mouches pullulent
l’odeur est épouvantable. Nous avançons par bonds nous arrivons aux
barbelés. Nous les passons alors l’enfer ce déchaîne venant des bois les
salauds ils ont reculés leurs nids de mitrailleuses a lisière du bois et nous
voilà empêtrés dans les barbelés. J’entend des voies criés a terre
balançons leur des grenades planqué vous dans les trous, d’autres voies
cries ils nous aurons pas comme ces pauvres Tabors. Les ordres passe
rester a l’abris ils ne tiendrons pas avec les grenades foutons le feu au
bois mon lieutenant sinon ont va rester cloués ici, ont sait plus avancer
ni reculer. Mon lieutenant établissons une ligne de feu il va faire soir
et la nuit nous pourrons établires une de grenadiers sous ce feu l’ennemi
aura du mal a nous empêcher de jeter des torches même si elles n’atteigne
que la lisière nos tires les empêcherons de pouvoir les éteindre. C’est
impensable mais ont n’a pas le choix, faut essayer ! Le feu c’est
arrêter, les caporaux ont relevés les pertes. 8 morts 2 blessés cet un
miracle !
Toute
la nuit les Allemands narguai les Français apparemment ils pensaient
avoir a faire a des réguliers comme eux c’était courant dans cette
guerre. Rien n’empêchais que bien des hommes de valeurs étaient morts
pour rien dans des assauts inutiles, les réguliers payais un lourd tribus
dans ce merdier. Mais cette fois c’est la légion et sauf contres ordres
elle tiendra ce qu’elle a déjà pris, le bois suivra, puis le carrefour
elle le prendra coûte que coûte question d’heure. Cabéra a réussi a
passer pour transmettre le rapport Sergent ? Certainement mon Lieutenant,
il reviendra aussi croyez moi ! Bien même si l’ennemi tire aucunes
ripostes ont attend mes ordres pas de sifflet ont agira par surprise je
donnerai un coup de feu a ce moment feu a volonté. A vos ordres mon
lieutenant je fait passer. La nuit passa a crée des torches ont n’a rien
d’autres, certains accroches leur torche au manche des grenades, ils sont
fou je me dit mais après tout sa peut marcher. Le poids de la grenade va
sans doute envoyer les torches plus loin du au poids de celle ci, par
l’explosion va peut être propager le feu, il n’y aura une chance de
passer mais faudra faire vite si l’ont veut pas rester coincer entre les
lignes. Mon lieutenant nous pouvons passer a coter du bois, l’ennemi ne
s’y attendra pas, ils serons surpris s’attendant a ce que l’ont
s’accroche aux bois.
Tu a raison sergent Cabéra n’est pas encore revenu donc pour nous les
ordres change pas, qu’importe la façon nous aurons ce Putain de
carrefour, ont se déplace sur notre droite avec les Sections. La 1er
reste ici balance les grenades torches les grenadiers choisi seront
appuyer par toutes les mitrailleuses de la compagnies n’avertissons pas
les autres sans le faire express il vont nous appuyer en feu. Si c’est
pas un système décamarade toi j’y comprend plus rien mon lieutenant, si
nous, nous infiltrons restera a espérer que le régiment suivra, si ont
rate notre coup ont va ce faire chauffer les oreilles. Ont n’aura
l’excuse d’avoir essayer sergent. Vous avez raison après tout. Allez ont
ce prépare profitons de la nuit pour s’approcher des lignes chaque trous
doit être boucher par nous en avant. La 1er section pour distraire les
Allemands leur répondent ne me demander pas de vous dire ce qu’ils
s’envoient comme mots d’oiseaux. Pendant ce temps nous avons la nuit est
noir nous passons les barbelés les Allemands ne doivent pas ce douter de
ce qui ce passe. Il est 2 h00 du matin tout est calme le lieutenant fait
passer le mot a la 1er section le coup de sifflet résonne. Les grenades
et torches sont jeter les mitrailleuses ce déchaîne l’ennemi est surpris
quand à nous ont n’est déjà dans les lignes ou les allemands lève les
bras ce demandant ce qui arrive, le bois brûle les allemands surpris de
nous voir en sortant du bois lève aussi les bras toussant crachant leurs
poumons les yeux doivent bien piquer. 3e sections occuper vous des
prisonniers. 5e sections protéger notre flanc droit. 2e et 4e sections
avec moi au carrefour a chaque fois un « A vos ordres mon lieutenant » il
est 2h20 et les voilà aux carrefour sa alors une simple croisée de chemin
de terre dans les champs je rêve mon Lieutenant, ont n’a fait tout cela
pour cela ! Et oui mon vieux.
Une voix sortit de derrière. Non de dieu qui ma foutu un bordel pareil me
réveiller avec un t’elle boucan, c’était le colon qui arrivait.
Nous avons suivit les ordres mon Colonel prendre le carrefour a tout prix
de plus ils viennent de vous et de plus haut je suppose ! Dans c’est
conditions bravo mes gaillards mais p….n tout cela pour cela ils sont fou
la haut.
A ce
moment Cabréra arrive avec des ordres du même Colonel « Prendre
l’objectif a tout prix » Je m’excuse d’être en retard mais un obus ma
envoyer dans les barbelés et j’ai eu du mal a en sortir. L’histoire fini
dans un grand fou rire.
Les ordres arrivèrent le lendemain retour sur les anciennes positions le
carrefour n’étant pas considéré assez stratégique. Encore une de c’est
histoire a plus d’un million et demis de morts inutiles.
Coup de Poker pffff
Mauvaise donne sa oui.
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