P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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La
légende du fort marocain..
« le: Février 27, 2008, 09:12:57 »
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La légende du fort marocain..
Au retour d’une patrouille. Derrière des dunes un ancien fort, oublié. A
c’est cotés des pierres presque effacés par le temps sur celles ci
inscrit : ci gît ?. Des Légionnaires des hommes des héros devenus
légendent. Sur ses murs veillent encore les sentinelles fantômes d’un
passé pourtant pas si lointains. La troupe passe lentement les regards
posés sur ces murs encore debout. Que d’hommes y on vécus. Sur les murs
des silhouettes invisibles regardent les regardent sans un mots les
voient t’ils dans leur gardent éternelle, ou ne sont ils présent
témoignages d’un passé, rappels qu’ils étais aussi les sentinelles du
désert ! Les véhicules ce sont arrêtés laissant passé une de ces
patrouilles dentant équipés lourdement équipés et rentrant à pieds,
derrière nuls traces de pas, ils passent sans un regard pour eux. La
porte ce referme du fort ce referme derrière cette patrouille insolite.
Un clairon résonne son apporté par un vent doux, sur les murs un officier
raide les saluent, des hommes présentes les armes, l’officier du 2, rend
le salut, pendant que le clairon répond, puis des voix rugueuses sans
doutes le sable ou des accents d’émotions s’élèvent portant vers le fort,
un vieux chant légion, dont le refrain veut tout dire
Adieu, veille Europe,
Que le diable t’emporte
Adieu vieux pays
Pour le ciel si brûlant d’Algérie
Adieu souvenir, notre vie va finir
Il nous faut du soleil, de l’espace
Pour redorer nos carcasses.
Puis le silence lentement
revient, le fort s’efface, les Sahariens reprennent la route, laissant
derrière eux un fier passé de conquérants qui n’est jamais oublié. Au
soir un jeune légionnaire, au café des légionnaires, raconte l’histoire à
une fille de compagnie, qui l’écoute tous sourire.
L’histoire finie, cette dernière lui dit, allez mon gars on va ce
coucher, tous le monde ici connait la Légende du vieux fort, mais garde
toi bien de la raconté à n’importe qui, cela reste une veille légende
légion, dont on dit qu’un Saharien, le voit au moins une fois dans sa vie
un jour au même endroit la patrouille s’arrêta, on ne sait pourquoi un
journaliste les accompagnais. Un jeune légionnaire interpella le jeune
devenu depuis sergent. Sergent, regarder la bas, la colonne
s’arrêta, laisse passé mon garçon, le légionnaire, recula comme pour
laissé quelqu’un, après quelques minutes regardant dans le vide, des voix
rauques s’élevèrent, sidéré le journaliste en silence ne comprenait rien
de ce qui ce passais ! Quant la patrouille repris le chemin de retour, le
journaliste vient près du jeune, lui demandant « cas tu vu, pour
que tous le monde agissent ainsi ? ». Une fois forte, celle d'un sergent
s’élevas « Il n’a vu qu’un mirage, signe de fatigue donc de halte,
chantés est tradition à la légion, ne vous inquiété pas, ce soir ce
légionnaire, fabulera dans sa fatigue dans les bras d’une dame de
compagnie..
Soir venu, le journaliste,
racontait cette aventure à la vieille Simone, retraitée des bras des
légionnaires, qui lui souriait, je comprend pas, ils chantais dans le
vide tous le regard fixé sur ce qui semblais un point pour moi invisible,
et cet officier qui lui aussi saluait dans le vide, s’il y avait eu un
mirage collectif je l’aurait vu aussi, vous croyez pas ? La veille
Simone, lui répondit, j’ai jamais entendu parler de t’elle histoire, on
voit monsieur que comme beaucoup dans le désert quant vous êtes avec des
légionnaires, vous êtes victime de mirage, sans doute êtes vous aussi victime
du prestige de la légion étrangère, pour un peu avec votre journal si
vous raconté de t’elles propos, que vous arriveriez à faire croire qu’un
mirage est porteur de légende, mon pauvre monsieur, on vous prendra pour
un fou, et la légion s’en gaussera, oublier cela très vite, croyez moi..
Vous avez p’tet raison madame, je trouverai certainement un autre article
! Sa pour sure monsieur, sa pour sure, c’est pas ce qui manque sur ces
gars la, son regard croisait le regard vide du sergent qui avais tout entendu.
Plus loin à une autre table le jeune racontait son histoire à une jeune
dame qui remplacera peut-être madame Simone ? La seule variante de cette
histoire est celle de ce sergent. La voici, madame Simone s’ assit
à la table des deux jeunes, et leur dit Isabelle, comme nous toutes
connaissent cette légende qui doit rester propre à la légion et ne doit
pas en sortir, tu à compris mon garçon ! Certainement madame, j’ai appris
nos traditions à respectés, et puis le sergent me la rappelez. La bonne
Simone, lui dit alors, ne parle jamais à personnes de ce sergent, sauf à
des légionnaires ou à nous ! Ebahis, le jeune demandas pourquoi. Le
sergent B, à étés tué pas loin de cet endroit, il est le seul d’ailleurs,
une embuscade ou il sauva la vie àu de ton capitaine à l’époque, l’ennemi
s’enfuie très vite et notre ami, resta sur le carreau, il est enstéré
dans ici à Sidi, un jour aussi il ma raconté cette légende, et l’ont
raconte qu’il en est devenu le gardien, voila pourquoi tu la vu, et que
ceux présent à cet événement y ont participés témoins un jour eux aussi,
il y à des cas ou ils y en as plusieurs à le voir ce bon vieus fort, et
nous les filles à les écouter, pour le sergent que tu à vu c’est à moi
qu’il la raconté il y à bien longtemps, il fait toujours partie des
meubles si je puis dire, regardant la table à coté, ou il était
assis place habituel de son vivant..
La Légion à quitter l’Algérie,
Simone est enterrée à Sidi, avec sa légende dans le cimetière de Sidi, ou
le sergent dort en paix, le fort n’apparait plus, et le café des
légionnaires n’existe plus. Dans le vieux port de Marseille,
Isabelle tien un café, ou les anciens d’Afrique disparaissent mais dans
leur yeux la légende brille toujours, il y à même certains jours il la
raconte nostalgiquement aux jeunes, qui sans l’avoir vu, y croient aussi,
dur comme fer en suite, devenant gardiens de cette tradition de
garder cette mémoire légion. Si je vous et raconté cette vieille
histoire, c’est parce que un jour un vieux sergent sortis de nulle part à
une table me la raconté et me disant à la fin de vous la raconté, car il
en était l’heure l’Algérie finie, l’oubli pouvait survenir si les jeunes
ne savent plus ! Alors au risque d’êtres pris pour un fou, par certains,
c’est fait vous connaissez la légende du fort marocain, quelque part dans
le désert.
Isabelle, ma dit un jour, que les
meubles chez elle venais du café de Sidi, que ma table habituelle était
celle de ce fameux sergent, mort à vingt de service au Maroc. Au café
d’Isabelle, vient aussi un vieux journaliste toujours en quête de
vieilles histoires légion. Sachant que je pouvait le faire je lui
racontait cette histoire, une fois finie, il ce mis à rire de bon cœur,
en disant « Je le savait, que ce jeune légionnaire ma pris pour un con,
en me disant de m’adressé à un sergent qui n’existait pas, mais qui lui
avait dit de lui dire, je le savait qu’il y avait quelque chose qui ce
passait, et temps d’années pour enfin l’apprendre, bah, je garderait
cette histoire pour moi, je suis trop vieux pour que l’on me prenne pour
un fou » en partant je l’entend encore dire « Sacrée légion, sacrée
légion et ses légendes »
N’allez pas à Marseille le café d’Isabelle n’existe plus, partie
rejoindre son jeune légionnaire de maris décédé retraité légion et qui
repose maintenant auprès d’elle quelques part, mais ou ?
Il ne me reste plus cas vous laissez, en me posant la question
suivante « y à t’il parmi vous les anciens quelqu’un qui à entendus
cette histoire de légionnaires ? Sinon c'est encore un rêve et non
un mirage, n'ayant pas connu Sidi-Bel-Abbès, trop jeune j'était..
Ecrit par P'tit Sapeur.
Déposé à la bibliothèque Royal Belge
le 20 mars 2007..
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