P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5271
Mon devoir, la mémoire !
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Ils
auraient pus dirent !
« le: Juin 18, 2005, 12:12:50 »
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C'est
mon destin !
Né pour mourir, en passant par le tunnel de la vie. A peine marchant
j'étais soldat, jouant dans les bacs à sables. Je me suis perdu plus tard
dans les mers de sables. Je marchais et crevais prêt de mon mulet, je ne
regrettais pas les manèges aux beaux chevaux de bois, la poussière
m'aveuglait, je marche ou je creve je me dis; j'en ai fait du chemin de
Sidi Bel Abbès a casa, les djebels, les oasis et bien d'autres routes.
j'ai connu l'amour il ma brisé je me duis engagé, j'ai perdu un cœur, une
balle la aussi frapper, je repose en paix dans la mémoire des anciens.
Avec ceux de Camerone et de bien d'autres combats.
J'ai pris ma première cuite, J'ai signé, je me suis retrouver dans les
rizières, du Tonkin à Saigon parfois pas loin de Hanoi je me suis mouillé
sous les pluies tropicale et séché sur les RC qu'importe le numéro j'y ai
saigné parfois aussi y laissant misères et désolations de ma foutue vie
choisie mais dont je ne changerai dus y laisser la vie un jour la bas
tuer par un piège, que cela ne tienne un frère ne mourera pas de celui la
! du combattant; j'en suis un maintenant.
J’ai appris à rouler me voila dans les blindés, j'en ai vu des carcasses
rouillées ou encore fumantes, un jour peut-être je sentirai la chair
brûlante pour finir dans un cercueil de fer devenu rouillure ou fumantes
ou aussière de ma naissance repose. Sur le char pas de croix des mots
" Vivre ou mourir est mon devoir" épitaphe d'un frère qui ce
rappel le pourquoi je suis mort. C est la marque du souvenir.
j'ai fait l'école je me suis retrouver sapeur, hache a la main j'ai
démolit et construit; Pioche a la main j'ai casser des cailloux, pluies
et gravats en non coucher bien des notre, Ils construisaient un hôpital
les ennemis ne la pas comprit. J’ai creusé-leur tombes, j'ai pleurer mes
amis et frères. Mais déjà ont nous attend la bas.
J'ai fait du sport, j'ai sauté par-dessus les toits, par tous les temps
de jour ou de nuit, venant du ciel j'étais para. Combien parmis nous ne
sont arrivé en bas vivant, blanc linceul est leur corolle descendue trop
lentement au gré des vents, les balles étant trop rapides.
De ma vie de civil je n'ai rien compris par les années effacées de
l'armé ou je suis fière de servir avec Honneur et Fidélité. Vert est mon
béret couleur des champs, rouge est mon sang couleur de nos
meurtrissures, brilles nos képis Blancs nous sommes des Légionnaires.
En mémoire des oublies jeunes et Anciens réunis dans la fatalité de la
mort, le diable rit de la mort; qui a de drôles parias sur la conscience.
De la vie à la mort Légionnaire est mon Destin. Légionnaires d’un jour
Légionnaire toujours !
Legio Patria nostra. Mes frères.
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