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P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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La
légende oubliée des 4 Légionnaires.
« le: Février 04, 2009, 08:32:42 »
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Bonjour
La légende oubliée des 4 Légionnaires.
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Voici une petite histoire vraie ou fausse précise t’on, mais qui fait
partie des petites légendes de la Légion, qui faisait sourires dans
les cantines, mais qui dénote aussi certains Légionnaires débrouillards.
Je tien cette histoire certainement pas officialisé dans le carnet de
marche du régiment étranger, d’un Légionnaire complice, ils furent 4 dans
le coup au total. Ce légionnaire qui raconte est en
réalité le sergent « Berthier » avec 12 ans de service et ami du
Sergent Sclheiser 12 ans de service, les deux autres sont les caporaux
Caparelli et Polacec 10 ans de service et engagé ensembles. Je ne
pense pas que les noms soient vrais, car aucuns lieux ou unités ne sont
mentionnées, mais par contre l’histoire emmène quand même a
quelques doutes que ce ne soit pas vraie, car avec un Légionnaire tout
est possible même l’impossible. Aussi je classe cette histoire dans
histoires imaginaires. Attention le caporal précise que cela
ne concerne qu’un seul recruteur et non tous les recruteurs de la
régulière. 2 femmes de compagnies furent aussi mises dans l’affaire
avec l’accord de leur patronne « la m ère Renée ? »
L’histoire.
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Elle ce passe en 1870 en pleine guerre en France.
Caserné avant de partir au front le régiment étranger est en attende,
devant la caserne des cafés et commerces de charmes. Et une
histoire qui part d’un pari, ce faire passé pour un démobilisé,
chose stupide pour le naïf recruteur qui va ce faire avoir, ne
devais pas connaitre le règlement Légion car sans doute n’a jamais
étés en Afrique, un recruteur coloniale ne ce serait fait avoir, il ne
devais pas non plus savoir que jamais un Légionnaire était démobilisé
ailleurs qu’a
Sidi-bel-Abbèsl. L’idée vient aussi que ce recruteur usent de
malhonnêtetés pour recrutés des jeunes illettrés ou désemparés et
très naïfs ce réveillant soldat souvent engagés contre leur
goût Mais le pire c’est que c’est jeunes recrues ne voyais pas la
prime et nulle dans le contrat elle était stipulée.
Mais comment faire, un L légionnaire ne peu quitter le casernement en
civil, mais l’idée est vite trouvée faire passé des affaires civils par
dessus le mur et c’est une fille de « la mère Renée « qui
s’en chargea, et retournerons d’où ils viennent par le même
endroit, cet encre par la que le sergent Sclheiser qui est volontaire
passera et reviendra. Il s’habillera directement et partira avec la fille
qui ce fera passé pour sa petite amie du moment, quand il reviendra ces
complices ferons à nouveau le guet il ce changera en légionnaire et irons
dormir innocemment.
Une autre fille interviendra plus tard. L’affaire est très risquées s’il
ce fait attrapé en civil cela lui coûtera cher come punition, mais la
complicité légion sa fonctionne le pire aucuns secrets existes et
pourtant on les laissera faires sans bouger le plus petit sourcil, du bas
de l’échelon à au dessus de l’échelons régimentaire mais doivent en être
inconscient apparemment. Avant cela passons à l’histoire.
Berthier, Caparelli et Polacec sont chargés de faire savoir que le
sergent Sclheiser était démobilisable d’un moment à l’autre,
le recruteur entendit cela et sauta sur l’aubaine et ce mis a payer des
verres à Caparelli, vite rejoint par les 2 autres complices. Ils
firent croire que le L légionnaire Hans Ghunter allais quitter
la Légion d’un moment à l’autre, Hans étais originaire de Hoffenbach en
Alsace, le recruteur mordit à l’hameçon, un rendez vous fut organisé pour
rencontré Hans, cela ce fit le lendemain, Hans « Sclheiser » en
uniforme rencontra le recruteur et arrangea un rendez vous pour
signer le lendemain dans la nuit car la journée il la passerai avec
son amie. Le tour est jouer il n’attendra pas devant la grille.
Le lendemain comme prévu, il arriva avec suzy, qui joua
parfaitement son rôle. Trois conditions était requise à sa signature
direct la 1er il rejoindrai sa nouvelle dans 3 jours garderai son grade
et recevait immédiatement sa prime, accordé dit le gars, a ce moment la
christ entra en jeu, elle sera chargée de distraire le recruteur pour
qu’il ne sorte pas, pendant que Sclheiser rentrai au
cantonnement. Ils ce quittèrent bons amis, le retour ce fit
sans problèmes.
Le recruteur ne vit pas arriver le Hans Gunther au régiment il fut placer
déserteur et renseigné à la gendarmerie. Mais l’affaire s’arrête pas la,
il retourna à la caserne et stupéfait il vit Sclheiser qui était
justement de garde à la grille il couru chercher les gendarmes qui
ne comprenait rien à rien. Le colonel fut appeler, ce dernier fit
appeler les Légionnaires de la chambrée du sergent qui nia l’absence
du sergent l’autre fois.
Sclheiser dit avec sang froid, un sosie sans doute
sergent recruteur ? Dépités il s’en allas on ne le revit jamais
dans la ville.
Le colonel dit à Sclheiser , vous avez de la chance sergent
d’avoir utilisés l’argent afin de dédommagés certaines
recrues bernés par ce trou d.. Oui vraiment sergent, vous avez de
la chance. Le sergent sourit et l’affaire s’arrêta la
Quand je vous disais que tout ce sait dans la Légion !
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