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La Grenade Légion

 

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Sujet: A propos des aventuriers « Mac Orlan »

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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Mon devoir, la mémoire !

A propos des aventuriers « Mac Orlan »
« Répondre #1 »

 


A propos de deux mots dans les années 30.
Rencontre avec Mc Orlan..
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Pierre Mac Orlan. Nous définis les mots «  Aventure et Mystère »
1er partie.

En fait je vous fais un résumé transformé mais de phrases écrites bien réels  de la longue préface de son livre « La Légion étrangère »

Pour Mc Orlan, qui nous à aimablement acceulis  nous donnent des explication sur l’origine de l’aventure qui pour lui’est le mystère existant, laissons le donc parler.
Un bois ou peut ce cacher un ennemi  éventuel, deviendrait une aventure. Tout peut êtres aventures donc mystères pour un soldat.  En temps de guerre, tout le devient une rase campagne, une ferme délabrée ou non ? Dans chaque endroits la nature s’entoure de mystère ; n’importe quoi vous tombant dans la vue, dans une plaine devient un auras de mystère, car toutes endroits contient l’élément le plus émouvant de l’aventure pour ceux qui ceux qui ont pour mission d’y constater une présence ennemie.  Au départ d’une patrouille, une effervescence de l’imagination  apparait et personnes ne peut pas dire qu’elle n’existe pas.   Un autre cas de mystère ce trouve dans la guerre des tranchées, mais du  fait que cella arrive pratiquement toujours au même endroit, le mystère s’en trouve atténué fortement.  Je laisse parler  Mc Orlan, qui semble intarissable sur ces mots mystère et Myst ère, toute fois je lui pose une double  question.

Mr Mc Orlan, svp,  vous me parler de ces mots qui reviennent souvent dans votre bouche, l’aventure militaire n’est toute fois pas des plus pittoresque ou parties  de plaisirs  tout de même , pourriez vous me l’expliqué ?

Certainement monsieur Ath, voici un exemple un exemple des plus terrible pouvant le mot aventure. En 1974, les tranchées du moins certainement la première servit à enterrés les pittoresques de ce qu’étais l’armée en mouvements. Il vous faudra pour comprendre, associer l’angoisse devenue pro créatrice , de l’aventure, comme nous les aimons retrouver dans les bouquins, avec les faits pittoresques de l’exotisme et de la guerre réduite à ses plus primitifs de donner la mort. Par contre voici un autre exemple le mot aventure prend une autre connotation dans une compagnie saharienne légionnaire ou de tirailleurs. Vous pouvez avoir aussi une aventure lyrique dans un avion par exemple,  alors dans ce cas de lyrisme le mot aventure atteint une qualité pour ceux qui savent la rencontrer.  Ce mot aventure, peut ce terminé par une mort brusque mais surtout dans le mot inattendue de la couleur de celle si, qui de plus servira à excité l’énergie ainsi que les ruses pour y aboutirent par des hommes lancer dans cette aventure militaire.   Monsieur Ath, si vous le désirez nous en parlerons une autre fois, de ces aventuriers de notre époque qui pour la plupart sont des personnes devenues des irréguliers en marge de la société.  A bientôt cher monsieur !

Nous, nous séparons très amicalement avec promesse de ce revoir prochainement. Comme beaucoup de mes collègues du journal, face à ses hommes de la Légion,  nous ne pouvons que ressentir une tendresse des choses humaines,  presque indéfinissable cachée par une fausse rudesse pourtant elle bien visible.  Nous en reparlerons aussi  dans un autre article si vous le désirez ?
 
Albert Ath.
Pour le Chroniqueur de la Grenade Légion.

 

 

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A propos des aventuriers « Mac Orlan »
« Répondre #2 »

 


Suite notre rencontre entre Mac Orlan et moi le13 avril dernier, je me décidais de le re-contacté, un mot hantais ma cervelle « aventuriers » que voulait il dire par ce mot, qui pour moi signifiais rien au niveau de l’armée, ne voyant pas nom plus ce en quoi une guerre étais une jolie aventure, donc j’espérais que Mac Orlan pourrait éclairer ma lanterne ?  Je me trouvais normalement en congé mais à peine arrivé d’Oran par bateau, que déjà une démangeaison me prenait, contacté Mac Orlan, qui je savait êtres à Paris mais, mais bien vite le mot congé s’effaçai de ma tête, je me dit de prendre la chose comme une curiosité plutôt que de pensé au travaille, ce mot me tracassait de trop.  

 

Je pris la décision de lui téléphoné, j’eu la chance de l’avoir il était présent à son domicile, rendez vous fut pris au café «  Saint Germain » à Paris, à 11h 30 pour l’apéritif m’avait il demandé. A 11h 30, précis comme une horloge, entrait Mac Orlan, je me fit la réflexion, que ce devait êtres l’heure militaire qui devait êtres la plus précise du monde. Après les préliminaires des bonjours, nous voila devant un Pastis, parlant de tout et de rien, brusquement avec un petit sourire, il me dit « appelez moi Pierre et je vous rappellerais Albert, es ce que cella vous va ?  J’étais un peu gêner ; n’ayant pas l’habitude de t’elle demande en temps que journaliste, mais avec cet homme, assis devant moi tout paraissais clair, je lui répondis par l’affirmative, ce qui avait l’air de l’enchanté. Après quelques seconde de silence dans un air distrait, il ce lança dans ce que j’appellerais plus tard, « l’aventure des mots » lisons le à présent.

 

Mon cher Albert, je vais vous expliqué ma version personnelle de ce mot aventuriers aux pluriels et singuliers. Ces derniers sont des irréguliers en marge de la société. La différence aussi entre un aventurier civil et militaire on bien des différences, le premier s’il n’est pas un aventurier a proprement dit, créeras des héros illégaux en quête de sensations forte, et cella sans sortir des pages de son livres, toutes en voyageant dans un univers imaginaires et voir souvent tortueux. L’aventure militaire elle bien réel, à ses aventuriers mais disons dans un monde plus étroit, étant une causse honorable, ce mot s’associant avec le mot honneur social qui n’est en aucuns cas fantaisiste. Un type que je pourrais dire parfait de la représentation dite « aventuriers militaires est le Légionnaire. » Pourquoi, le Légionnaire mon cher Albert ! Il est tout simplement l’incarnation de la grandeur ainsi que l’image de la servitude militaire, il en connaît toutes les ficèles, devenant ainsi indépendant des autres unités militaires, je pourrai à ce sujet dire qu’il est également la contrepartie du mot vertu au pluriel, étant son Fidel gardien. Beaucoup trop de gens ne comprenne cette raison, de ce fait ils s’en feront une idée archaïque et trop stricte de ce qu’est un soldat devenu Légionnaire. Pour preuve les films récents « dans les années 30 » parlant de l’aventure Légion, sans en connaître le fond des vérités de la vraie vie d’un Légionnaire, tout comme les livres qui on étés écrits par ceux qui n’on jamais franchit la porte d’un bureau d’engagement dans justement cette Légion étrangère française qui est notre, ils ne peuvent donc pas savoir ce que ces mots représentes pour un Légionnaires, cet une vie à par entière d’aventures bien à eux et qui les caractérisent à toutes autres soldats et aventuriers écrivains. Mais une chose est à précisé est qu’un film concernant la Légion, lui est bénéfique, sans qu’elle le demande, en effets, malgré les erreurs de détails, d’une fausse idée raconté n’importe comment sur leur vie réels,  le cinéma ne sera pas moins que le meilleurs bureau de propagande ce qui n fait le meilleur recruteur pour la Légion. S’engager dans la Légion, n’est pas pour ceux qui pensent  travailler comme une mule, est un plaisir facile, tout en gagnant à ses débuts 0,25 centimes par jour, ils sont à coter de la vérité.

 

Non cet autre chose tout à fait différente, s’engager dans ce monde d’aventuriers, ces pour des raisons du à  la renomme du farouche soldat qu’il deviendra, il y à de même cette poésie du personnage qu’il créera de lui-même bien souvent inquiétant pour des personnes extérieure. Ces hommes qui se façonne selon sont désir secret devient incontestablement un aventurier aguerris se  qui fait que il devient plus puissant que l’intérêt estimé sellons les lois de la vie civile. L’aventurier Légionnaire n’existe pas à travers un film, un livre, même d’un article qui n’a pas étés écrit par une personne qui n’à pas eu un d’entretien avec un aventurier ou ancien aventurier de la Légion, ou qui n’y à pas appartenus lui-même à cette élite, écrira du fictif à sa façon, surtout dans son ignorance des faits néanmoins il  sera un excellent recruteur sans le vouloir. La vraie vie de ces aventuriers militaires ce passent dans les colonies, ou plutôt qu’un rhume bénin pour eux, ils savent qu’un moustique d’Algérie ou du Tonkin leur filerons le paludisme. Ils savent aussi que la mort les attend à chaque instant, ou derrière un tournant de route, ce qui fait d’eux des innovateurs du vrais mot solidarité, conduisant de ce fait de crée ce qui devient une vraie famille unie pour le meilleur et pour le pire, et son sacerdoce. La vraie patrie d’un de ces aventuriers Légionnaire, n’est pas la France, qu’il sert pourtant avec honneur et fidélité, non monsieur Albert, c’est la Légion qui est sa patrie et sa famille, ce qui les rend comme je vous le disais plus haut, de véritables farouches aventuriers.  J’espère Albert, que j’ai étés assez explicites à vous définir ce mot qui vous torturais les méninges !

 

En effet je saisissais mieux ce mot, et me sentais mieux, j’avais apprécié sa délicatesse de s’êtres rattrapé sur les journalistes et leurs articles romancés de certain de mes confrères, j’en terminerai avec cette petite anecdote, comme le temps passait nous avions commandés un repas des plus succulent, vient le moment de nous séparés, quant il me serra de sa main franche, il me posa une question. Mon cher Albert comment avez-vous trouvez ce repas ? Excellent, lui et je répondu. Sur ce il me dit, voyez vous le temps de repas nous étions dans les vertus civiles d’une bonne assiette, ce qui est différent bien sur des gamelles que nous avons vidées dans le désert Africain, n’es ce pas ?  Je lui répondis pourquoi ce nous ?  Et bien vous n’êtes pas un de ses journalistes végétant dans un bureau racontant n’importe quoi, non bien que je sait que vous aller modifiés mes paroles pour que les non Légionnaires connaissent mon point de vue, je sais d’avance que cella suivra la vérité de mes dirent ou écrits, qui bien que transformés ne serons pas déformés. Je sentais la cerise sur le gâteau arrivé, en effet elle ne tarda pas.  Comme vous le savez puisque vous en avez fait l’expérience, c’est que la gamelle du Légionnaire est aussi une vertu qu’il assaisonne en pensant peut êtres  que cet un plat d’un lointain, mais il s’y habituera plus vite même assaisonné de jurons, qu’un civil qui devrais ne fus que faire son service obligatoire, ce n’est pas la même aventure militaire, vous comprenez ?  Une dernière chose, ne vous fâchez pas si l’on dit de vous que vous êtes un narrateur, ce n’est pas donner à tous de savoir le faire, l’histoire de la Légion est rigoureuse il est vrais, mais elle passe mieux raconter narrativement qu’avec un casque à pointe sur la tête cet un autre aventurier que celui la.  Je dirais que  c’est le libre choix de raconté l’histoire d’une manière ou l’autre, pour autant qu’elle reste vérités.

 

Une fois qu’il  fut partis je me fit servirent un café et cognac, je compris ou étais la cerise, c’étais la différence entre le monde Légionnaire et le mien, mais il me reconnaissait comme un journaliste capable de la comprendre et de reconnaître que je ne faisait pas partie des végétaux de bureau, nous sommes appelés à nous revoir, ma t’il dit, tant mieux, mais la dessus je vous quitte et prend congé.  A bientôt.

Albert Ath.
Pour le Chroniqueur de la Grenade Légion.

 

 

 

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