P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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A propos des aventuriers « Mac Orlan »
« Répondre #2 »
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Suite notre rencontre entre Mac Orlan et moi le13 avril dernier,
je me décidais de le re-contacté, un mot hantais ma cervelle
« aventuriers » que voulait il dire par ce mot, qui pour moi
signifiais rien au niveau de l’armée, ne voyant pas nom plus ce en quoi
une guerre étais une jolie aventure, donc j’espérais que Mac Orlan
pourrait éclairer ma lanterne ? Je me trouvais normalement en
congé mais à peine arrivé d’Oran par bateau, que déjà une démangeaison me
prenait, contacté Mac Orlan, qui je savait êtres à Paris mais, mais bien
vite le mot congé s’effaçai de ma tête, je me dit de prendre la chose
comme une curiosité plutôt que de pensé au travaille, ce mot me
tracassait de trop.
Je pris la décision de lui téléphoné, j’eu la chance de l’avoir il
était présent à son domicile, rendez vous fut pris au café « Saint
Germain » à Paris, à 11h 30 pour l’apéritif m’avait il demandé. A
11h 30, précis comme une horloge, entrait Mac Orlan, je me fit la
réflexion, que ce devait êtres l’heure militaire qui devait êtres la plus
précise du monde. Après les préliminaires des bonjours, nous voila devant
un Pastis, parlant de tout et de rien, brusquement avec un petit sourire,
il me dit « appelez moi Pierre et je vous rappellerais Albert, es ce
que cella vous va ? J’étais un peu gêner ; n’ayant pas
l’habitude de t’elle demande en temps que journaliste, mais avec cet
homme, assis devant moi tout paraissais clair, je lui répondis par
l’affirmative, ce qui avait l’air de l’enchanté. Après quelques seconde
de silence dans un air distrait, il ce lança dans ce que j’appellerais
plus tard, « l’aventure des mots » lisons le à présent.
Mon cher Albert, je vais vous expliqué ma version personnelle de
ce mot aventuriers aux pluriels et singuliers. Ces derniers sont des
irréguliers en marge de la société. La différence aussi entre un
aventurier civil et militaire on bien des différences, le premier s’il
n’est pas un aventurier a proprement dit, créeras des héros illégaux en
quête de sensations forte, et cella sans sortir des pages de son livres,
toutes en voyageant dans un univers imaginaires et voir souvent tortueux.
L’aventure militaire elle bien réel, à ses aventuriers mais disons dans
un monde plus étroit, étant une causse honorable, ce mot s’associant avec
le mot honneur social qui n’est en aucuns cas fantaisiste. Un type que je
pourrais dire parfait de la représentation dite « aventuriers
militaires est le Légionnaire. » Pourquoi, le Légionnaire mon cher
Albert ! Il est tout simplement l’incarnation de la grandeur ainsi
que l’image de la servitude militaire, il en connaît toutes les ficèles,
devenant ainsi indépendant des autres unités militaires, je pourrai à ce
sujet dire qu’il est également la contrepartie du mot vertu au pluriel,
étant son Fidel gardien. Beaucoup trop de gens ne comprenne cette raison,
de ce fait ils s’en feront une idée archaïque et trop stricte de ce
qu’est un soldat devenu Légionnaire. Pour preuve les films récents
« dans les années 30 » parlant de l’aventure Légion, sans en
connaître le fond des vérités de la vraie vie d’un Légionnaire, tout
comme les livres qui on étés écrits par ceux qui n’on jamais franchit la
porte d’un bureau d’engagement dans justement cette Légion étrangère
française qui est notre, ils ne peuvent donc pas savoir ce que ces mots
représentes pour un Légionnaires, cet une vie à par entière d’aventures
bien à eux et qui les caractérisent à toutes autres soldats et
aventuriers écrivains. Mais une chose est à précisé est qu’un film
concernant la Légion, lui est bénéfique, sans qu’elle le demande, en
effets, malgré les erreurs de détails, d’une fausse idée raconté
n’importe comment sur leur vie réels, le cinéma ne sera pas moins
que le meilleurs bureau de propagande ce qui n fait le meilleur recruteur
pour la Légion. S’engager dans la Légion, n’est pas pour ceux qui
pensent travailler comme une mule, est un plaisir facile, tout en
gagnant à ses débuts 0,25 centimes par jour, ils sont à coter de la
vérité.
Non cet autre chose tout à fait différente, s’engager dans ce
monde d’aventuriers, ces pour des raisons du à la renomme du
farouche soldat qu’il deviendra, il y à de même cette poésie du
personnage qu’il créera de lui-même bien souvent inquiétant pour des
personnes extérieure. Ces hommes qui se façonne selon sont désir secret
devient incontestablement un aventurier aguerris se qui fait que il
devient plus puissant que l’intérêt estimé sellons les lois de la vie
civile. L’aventurier Légionnaire n’existe pas à travers un film, un
livre, même d’un article qui n’a pas étés écrit par une personne qui n’à
pas eu un d’entretien avec un aventurier ou ancien aventurier de la
Légion, ou qui n’y à pas appartenus lui-même à cette élite, écrira du
fictif à sa façon, surtout dans son ignorance des faits néanmoins il
sera un excellent recruteur sans le vouloir. La vraie vie de ces
aventuriers militaires ce passent dans les colonies, ou plutôt qu’un
rhume bénin pour eux, ils savent qu’un moustique d’Algérie ou du Tonkin
leur filerons le paludisme. Ils savent aussi que la mort les attend à
chaque instant, ou derrière un tournant de route, ce qui fait d’eux des
innovateurs du vrais mot solidarité, conduisant de ce fait de crée ce qui
devient une vraie famille unie pour le meilleur et pour le pire, et son
sacerdoce. La vraie patrie d’un de ces aventuriers Légionnaire, n’est pas
la France, qu’il sert pourtant avec honneur et fidélité, non monsieur
Albert, c’est la Légion qui est sa patrie et sa famille, ce qui les rend
comme je vous le disais plus haut, de véritables farouches
aventuriers. J’espère Albert, que j’ai étés assez explicites à vous
définir ce mot qui vous torturais les méninges !
En effet je saisissais mieux ce mot, et me sentais mieux, j’avais
apprécié sa délicatesse de s’êtres rattrapé sur les journalistes et leurs
articles romancés de certain de mes confrères, j’en terminerai avec cette
petite anecdote, comme le temps passait nous avions commandés un repas
des plus succulent, vient le moment de nous séparés, quant il me serra de
sa main franche, il me posa une question. Mon cher Albert comment
avez-vous trouvez ce repas ? Excellent, lui et je répondu. Sur ce il
me dit, voyez vous le temps de repas nous étions dans les vertus civiles
d’une bonne assiette, ce qui est différent bien sur des gamelles que nous
avons vidées dans le désert Africain, n’es ce pas ? Je lui
répondis pourquoi ce nous ? Et bien vous n’êtes pas un de ses
journalistes végétant dans un bureau racontant n’importe quoi, non bien
que je sait que vous aller modifiés mes paroles pour que les non
Légionnaires connaissent mon point de vue, je sais d’avance que cella
suivra la vérité de mes dirent ou écrits, qui bien que transformés ne
serons pas déformés. Je sentais la cerise sur le gâteau arrivé, en effet
elle ne tarda pas. Comme vous le savez puisque vous en avez fait
l’expérience, c’est que la gamelle du Légionnaire est aussi une vertu
qu’il assaisonne en pensant peut êtres que cet un plat d’un
lointain, mais il s’y habituera plus vite même assaisonné de jurons,
qu’un civil qui devrais ne fus que faire son service obligatoire, ce
n’est pas la même aventure militaire, vous comprenez ? Une
dernière chose, ne vous fâchez pas si l’on dit de vous que vous êtes un
narrateur, ce n’est pas donner à tous de savoir le faire, l’histoire de
la Légion est rigoureuse il est vrais, mais elle passe mieux raconter
narrativement qu’avec un casque à pointe sur la tête cet un autre
aventurier que celui la. Je dirais que c’est le libre choix
de raconté l’histoire d’une manière ou l’autre, pour autant qu’elle reste
vérités.
Une fois qu’il fut partis je me fit servirent un café et
cognac, je compris ou étais la cerise, c’étais la différence entre le
monde Légionnaire et le mien, mais il me reconnaissait comme un
journaliste capable de la comprendre et de reconnaître que je ne faisait
pas partie des végétaux de bureau, nous sommes appelés à nous revoir, ma
t’il dit, tant mieux, mais la dessus je vous quitte et prend congé.
A bientôt.
Albert Ath.
Pour le Chroniqueur de la Grenade Légion.
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