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Jean
Pax Méfret, chantre de la Légion
« le: Mai 12, 2008, 03:36:50 »
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Jean-Pax
Méfret, histoire d’un Pied-noir devenu Journaliste
Plus jeune détenu des combats pour l’Algérie française (16 ans), Jean-Pax
Méfret sera simultanément journaliste, grand reporter (France-horizon,
Aurore et Figaro Magazine), chansonnier et écrivain.
Pendant de nombreuses années, on le connaîtra en effet pour ses chansons,
nostalgiques parfois, engagées toujours. Il célébrera ainsi Camerone et
Kolwezi (les batailles de la Légion Etrangère), Les oies sauvages et Le
loup de guerre (en hommage aux mercenaires, dont nombreux étaient issus
de l’armée française, emprisonnés ou en fuite après le putsch d’Alger),
Le béret amarante (en souvenir des « paras » français tombés lors de
l’attentat du Drakkar), et enfin, il prendra position contre l’Union
Soviétique (Ni rouge ni mort, Professeur Müller, Veronika ou encore
Solidarité).
Le «Chanteur de l’Occident», comme on le surnommait (il s’agit d’un de
ses « tubes »), exercera toujours avec l’histoire en toile de fond. Il
est ainsi le parolier et interprète d’albums célébrant la Vendée
Militaire, et l’auteur de 2 livres concernant les combats d’Algérie :
Bastien-Thiry, jusqu’au bout de l’Algérie française et plus récemment,
1962, l’été du malheur. Des événements qui sont le cœur de son œuvre : Un
Noel à Alger, Le pain de la misère, Le pays qui n’existe plus, ou encore
et bien sûr, La prière des Pieds-noirs.
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Journalisée
