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La Grenade Légion

 

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Sujet: Un cousin éloigné !  (Lu 195 fois)

 

 

P'tit Sapeur
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Un cousin éloigné !
« le: Septembre 29, 2007, 03:36:56 »

 


Et oui mes amis, je vous presente un Normand cousin éloigné !
Commandant la 3e région. 19/12/24 général de brigade.

TROUSSON (Eugène-Gervais) (1872-1938): Commandeur, Chef d'état-major de l'armée française du Rhin. 27/04/29 général de division.

 

« Dernière édition: Novembre 16, 2008, 09:34:42 par P'tit Sapeur »

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dwnvg
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Re : Un cousin éloigné !
« Répondre #1 le: Septembre 30, 2007, 08:11:01 »

 


Bonjours a tous
Voila ce que j'ai trouvé
Eugène TROUSSON :                                   
Né à Béthune en 1872.
Décédé à ?
Général.
Ancien élève de l'Ecole Supérieure Militaire de Saint-Cyr, il intégre l'armée coloniale et participe aux campagnes de Tunisie, d'Algérie et du Maroc avant de revenir en France pour la Grande Guerre.
En 1919, il commande en Crimée et organise la défense de Sébastopol.
En 1926, il est appellé au cabinet du général Guillaumat, ministre de la guerre dans le gouvernement Poincaré du 23 juin au 19 juillet 1926.
Amitiés Légio More majorum
Daniel

 

« Dernière édition: Septembre 30, 2007, 08:13:36 par dwnvg »

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koufra
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Re : Un cousin éloigné !
« Répondre #2 le: Octobre 14, 2007, 08:29:12 »

 


Pfuiiiiiiii

Ben mon vieux! comment faut-il donc appeler notre ami Yves maintenant. Je me pose la question, je vous pose la question!

Avec un pédigree pareil, faut marcher sur la pointe des pieds et les essuyer avant d'entrer sur le forum Grin

Mes respects cher monsieur! par la présente et après nous être réuni, moi et moi, avons décidé en vertu des pouvoirs qui me sont "confédérés", décrète qu'à partir de ce jour et jusqu'à dorénavant je frapperai avant de poster!  Grintirerai mon bonnet, arrangerai ma tenue, cirerai mes pompes et crierai haut et fort!

VIVE LA ..................COLO

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Un cousin éloigné !
« Répondre #3 le: Octobre 14, 2007, 11:27:07 »

 


Mais non cher ami je suis un homme simple, rien de plus, Mon cousin " direct celui la " à même trouver un Major-Medrcin Trousson, en 14/18; dans les cimetières militaires frontaliers, ont trouve des Trousson; morts pour la France !!! Toute famille à une histoire il suffit de chercher !!!

Ma famille possède des Armoiries, quant mon scaner sera réparé, je le placerait ici !
Voici une phrase qu'un membre de notre famille à écrit

" Toutes hommes qui ne se retourne pas sur ses raçines, est un homme perdu "

 

 

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Sujet: La France décore 9 Belges.  (Lu 68 fois)

 

 

P'tit Sapeur
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La France décore 9 Belges.
« le: Novembre 24, 2008, 10:55:57 »

 


Bonjour à tous !

Merci à la France de remercié la Belgique, à travers ces 9 Belges, en les faisants " Chevaliers de la Légion D'Honeur ".
Dans l'article si dessous vous lirez et comprendrez certainement que l'on fait allusiion aux amicales Légion; et autres, ce qui en soit est normale tant il y en as ! Et puis a quoi bon que ce ministre parle des Légionnaires, ces derniers sont tous décorés en france ou dans les " ex " colonnies ! Mais il falait l'écrire cette reconnaissance, même s'il vaus mieux tard que jamais !
Il est loin le temps ou un con du parti socialiste qui en 1940, nous appela " Les Bôches du nord " ! La preuve est faites que nous en étions pas, depuis longtemps; et cette remise de médaille en est une preuves. Encore merci la France ! Sait mon père qui devrais êtres content car jamais de son vivant il n'a pardoner a cet " zorro " comme il disait de Paul Raynaud " cette phrase ! Sait p'tet pour démentirs ce con aussi, que quelque part au fond d'eux même beaucoup s'engagèrent " Pour la durée de la guerre " Mais aussi parce que nous les Belges, on aimes bien la france et les français et françaises !
Amitiès Legio !


http://www.ambafrance-be.org/article.php3?id_article=1740

 

 

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Sujet: Un Héros Franco - Belge  (Lu 18 fois)

 

 

Frédy
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Un Héros Franco - Belge
« le: Janvier 22, 2009, 12:03:27 »

 


Bonjour,où aurais-je dus placer cet article ?

Sujet: l'HISTOIRE D'UN RESISTANT FRANCO-BELGE   Mer 29 Oct - 12:50:42   

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FELTESSE Lucien
Bruxelles 1898 - Fargues de Landon 1968






Lucien Feltesse voit le jour à Bruxelles le 13 août 1898. Il mène une scolarité normale mais qui est interrompue par le déclenchement de la Grande Guerre.

A seize ans il s'engage comme volontaire dans l'armée royale belge. Il combat dès l'année 1914 dans la région de l'Yser. Affecté dans un régiment de ligne, il occupe pendant un temps le rôle peu enviable d'estafette, filant de tranchée en tranchée pour amener et transmettre les consignes des officiers supérieurs. De 1914 à 1918, il est blessé à trois reprises, dont une fois assez grièvement. Comme tant d'autres il subit des attaques aux gaz et souffre des effets secondaires. Son courage et son abnégation lui valent d'être cité à l'Ordre de l'Armée. Il est titulaire de la Croix du Feu et de la Croix de Guerre belge. Feltesse est aussi décoré de la médaille commémorative de la bataille de l'Yser ainsi que de l'Ordre de la Couronne. Ayant combattu dans le cadre d'opérations combinées avec l'armée française, il reçoit la Croix de Guerre française et de la Légion d'Honneur.

Rescapé de la boucherie de 1914-18, Lucien Feltesse retourne à la vie civile.

Durant l'entre deux guerres, Feltesse reprend ses études et s'oriente vers le domaine commercial. Marié, il intègre le service consulaire belge et se voit muté à Paris, ville pour laquelle il a une affection toute particulière. A la fin des années trente il constitue une société de négoce et s'installe place Vendôme à Paris. Citoyen belge, il reste à Paris lors de la drôle de guerre et assiste impuissant à la débâcle des armées françaises pendant les mois de mai et juin 1940. Homme d'affaires, Lucien Feltesse fréquente énormément de gens. Il compte parmi ses relations un certain Maurice Duclos, gaulliste de la première heure et résistant connu sous le pseudonyme de "Saint Jacques".

Dès la fin de l'année 1940, Feltesse intègre le B.C.R.A sous les ordres du Colonel Passy et prend comme nom d'emprunt "Boulard". Dès lors Feltesse contribue activement à la constitution du réseau Saint Jacques en recrutant des agents et en collectant des renseignements. Il conserve ses entrées dans les milieux diplomatiques et en profite pour récupérer des documents importants. En 1941 "Boulard" met en place avec l'accord de Londres son propre réseau de résistants, malheureusement le 08 août 1941, trahi par l'un de ses hommes, il es arrêté par la Gestapo et mis en prison à Fresnes. En captivité il résiste aux interrogatoires souvent "musclés" et prône sa totale innocence.

A force de courage et de persévérance, il parvient à convaincre ses geôliers qu'il n'est qu'un simple homme d'affaire uniquement préoccupé par ses seuls intérêts financiers. Il recouvre finalement la liberté en 1942, après plusieurs mois de captivité. Dès sa libération, il reprend contact avec les réseaux de résistants gaullistes. Feltesse reçoit pour nouvelle mission la mise en place d'une collaboration plus étroite entre les réseaux du Nord de la France et le réseau belge "Marc". Il fournit de nombreuses informations et aide à la fabrication de faux-papiers. Il dérobe régulièrement des cachets et tampons officiels dans les consulats et ambassades lors des soirées mondaines qui y sont données !

En 1943 puis 1944, il entre en relation avec le célèbre colonel Renaud-Roulier dit "Rémy" et le colonel Fourcaud.

Nommé commandant de la France Libre, Lucien Feltesse participe à la libération de Paris, n'hésitant pas à faire le coup de feu contre les hommes de Choltiz. Après la guerre, il retrouve le milieu civil et le monde des affaires. En parallèle il devient vice-président de l'association des Français Libres. Il décède au mois d'octobre 1968 et est inhumé en Gironde, région où il s'était retiré.
_________________
...Y a des cailloux sur toutes les routes ...

       

 

« Dernière édition: Janvier 22, 2009, 07:09:58 par P'tit Sapeur »

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P'tit Sapeur
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Re : Un Héros Franco - Belge
« Répondre #1 le: Janvier 22, 2009, 07:14:40 »

 


voila cher ami

Tous ce qui n'est pas Légion, comme personnages celèbres, quelque soit sa nationalité, vient dans personnages celebres.
Mais ne t'inquiete pas je le ferais si besoin est.
Veritas-Fidelitas.

 

 

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Sujet: De la Légion Belge à l'Armée secrète  (Lu 3 fois)

 

Frédy
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De la Légion Belge à l'Armée secrète
« le: Aujourd'hui à 11:50:20 »

 


La Résistance
De la Légion belge à l’ Armée secrète
 

Le Directoire de la Légion belge
Le capitaine-commandant Charles Claser


Charles Claser est né le 27juillet 1901 à Alost où son père est lieutenant à l’Ecole des Pupilles. Ses études sont contrariées par le déclenchement du premier conflit mondial; sa famille s'étant réfugiée en France il y poursuit ses études; sa vive intelligence lui permet de décrocher son baccalauréat avec la plus grande distinction.

De retour en Belgique, il entre, en 1919, à l’Ecole des Cadets de Namur et, l'année suivante, est admis à l’Ecole Militaire avec la 66ème promotion infanterie-cavalerie qui compte parmi ses membres, le prince Léopold; il en sort en 1922, sous-lieutenant d'infanterie. Il servira d'abord au 3ème régiment de Ligne; en 1928, il suit les cours de la 54ème session de l'Ecole de Guerre d'où il sort breveté d'état-major en 1930. Il sera promu successivement capitaine et capitaine-commandant en juin et décembre 1939. Avant d'être, fin 1939, affecté à l'état-major de la 1ière Division d'infanterie, il effectue différents stages à l'artillerie et à l'aéronautique où il acquiert son brevet de pilote-observateur.
Il se distingue, pendant la campagne des dix-huit jours, en ralliant de force des fuyards d'une unité, prenant leur commandement et réussissant une contre-attaque au cours de laquelle il est blessé. Il noue des contacts avec des hommes qui devien-dront comme lui, les pionniers de la Légion belge: Van der Putten, Boereboom, Franckx, Thomas, etc.

Dès l'été de 1940, ce géant chauve parcourt la Belgique, sous le pseudonyme de Van Nieuwenhove, en vue de jeter les bases de ce qui deviendra la Légion belge et le restera après la fusion, un an plus tard, avec l'Armée belge reconstituée du colonel Lentz. Il souffre du manque de contacts avec Londres; cette lacune est, espère-t-on, comblée par la mission Cassart, mais on sait ce qu'il en advint. ( la mission échoua ) Aussi, en mars 1942, décide-t-il de gagner la Grande-Bretagne où il arrive en juillet, sous le pseudonyme de Monsieur Rose. Il verra diverses personnalités belges dont P.H. Spaak, faisant fonction de Premier ministre et Henri Rolin sous-secrétaire d'Etat à la Défense nationale ainsi que les officiers de la 2ème section du Ministère de la Défense nationale et leurs collègues du Special Operations Executive. Ces derniers mettent conjointement au point l'Ordre de mission militaire pour Monsieur Rose sur lequel Claser se basera pour créer, dès son retour en Belgique fin août, son Corps franc belge d'Action militaire. Soulignons que cette mission à Lon-dres n'a pas été couronnée de succès puisqu'elle n'a pas réussi à vaincre la suspi-cion qui pesait sur la Légion belge.

En l'absence de nouvelles de Londres (il ignore les remaniements opérés après son départ), Claser décide de reprendre le chemin de la Grande-Bretagne, cette fois en compagnie d'un de ses adjoints, Richard Defroyennes. Lés deux hommes sont arrêtés en France au franchissement de la ligne de démarcation; ils transitent successivement par les prisons de Champagnol, Besançon et Dôle; c'est dans cette dernière que la secrétaire de Claser, Julie Delwiche, réussit à contacter les deux prisonniers pour arranger leur évasion. Pour leur malheur, l'agent belge de l'Abwehr; De Zitter, qui a réussi à infiltrer le Corps belge d'Action militaire sait que Claser et Servais, l'homme le plus recherché de Belgique ne sont qu'une seule et même personne; il réussit à convaincre le successeur de Claser qu'il se faisait fort de le faire libérer de la prison de Saint-Gilles où, entre-temps, il a été transféré avec son compagnon. Cette fois, Claser sera arrêté définitivement puisque les Allemands savent qui il est.
Incarcéré tout d'abord à la prison d'Etterbeek, il sera mis au secret à Saint-Gilles puis, fin décembre 1943 transféré à Forest avant d'être, en février 1944, emmené en Allemagne vers le camp d'Esterwegen avec de nombreux compagnons de la Légion belge, tous '' Nacht und Nebel ''

Le 15 mars, il est transféré à la forteresse de Gross-Strehlitz; c'est là que, suivant le docteur André, compagnon de capti-vité, Claser aurait rédigé des documents, transcrits en caractères microscopiques par Frans Bodart et qui, malheureusement, ne furent jamais retrouvés.
Les prisonniers, déjà affaiblis par les épreuves endurées, seront évacués, le 1er octobre 1944, sur le camp d'extermination de Gross-Rosen en Silésie; ils y seront soumis au régime inhumain qu'ont connu tant de détenus politiques. Début décem-bre, Claser squelettique, entre à l'infirmerie du camp où il rejoint le docteur André, pionniers de la Légion belge, puis membre du Corps franc belge d'Action militaire; il s'éteindra le 12 décembre.

'' Quand '', dira le docteur André, ''angoissé de voir s'éteindre ce grand Belge, qui était devenu mon ami intime, je le vis emmené vers le crématoire, j'eus l'impression que notre Patrie perdait le meilleur de ses enfants''.
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