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La Grenade Légion

 

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Sujet: Etrange Histoire !  (Lu 148 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
****
Messages: 5257


Mon devoir, la mémoire !


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Etrange Histoire !
« le: Janvier 03, 2007, 02:40:00 »

 


Etrange Histoire !

La neige était souillée, de cadavres frais, mais déjà surgelés, la terre sous la neige, ce soûlait du sang des autres, étrangers de France, sol de Russie, impie et vampire, la sainte ne priait pas pour eux, trop foulée du pas de c’est vainqueurs d’un passé révolus. Non, elle ce gave de ce liquide chaud symbole de l’envahisseur, quelle punis à sa façon, attendant l’hiver fini, pour les dégustés à sa manière, sans mots, mais avec des vers. Pour l’instant les moujiks, elle le sait n’a pas le temps de les enterrés, ho, pas eux, non les prisonniers qui une fois le travaille achevé, finirons dans cette tranchée bouche ouvertes pour l’infortune de c’est malheureux, soldats de la Bérésina et de l’Aigle à nouveau vaincu, qui pourtant foula les pavés de Moscou, dérisoire victoire, avènement de la défaite qui ne devait être ! Les cosaques les ont achevés, croyant sans doute, que le général hiver les conserveraient vivants pris d’une subite compassion que l’humain ne possédait plus depuis longtemps.

 

La colonne c’est effacée laissant derrière elle sont lot de morts qui auparavant était des soldats de France et d’autres à son service. Des femmes allongées près des hommes, fidèles compagnes jusque dans la mort, raides non pas d’amour, mais dans l’amour qu’elle avait pour lui, violence d’un cœur qui ne voulait ce séparé de l’âme sœur, du moins c’est ce qui est à supposé pensé. Ou alors est tout simplement un homme ou une femme qui ne voulait pas mourir seule. Un peut plus loin une femme, couchée sur un soldat ce prenant sans doute pour un Saint Bernard ignorante de la mort qui l’attendait, pensant réchauffée ce soldat devenu moribond, qu’importe ils sont morts cœur contre cœur image dont cette terre s’en fou, attendant son lot de nourriture humaine quelle désolation sous ce vent glacé, devenu meurtriers et complice.

 

Complice de ce ventre qui deviendra repue de c’est chairs humaines,  mais jamais assouvie. Contre un arbre un grognard assis barbe grise gelée, semble dormir du sommeil du juste, son fusil dans ses bras croisés font de lui une sentinelle de la mort, contre lui un vieux chien endormis de froid, signe désuet pour certains, mais signe de temps de fidélité envers ce maître son ami, son fidèle compagnon, a les voir ils en on fait du chemin, Arcole, iena, Austerlitz, et bizn d’autres, peu importe l’ordre des ans de c’est batailles, ici tout est désordre! De toute façon pour eux toute est fini à travers leurs yeux devenus transparents comme cette neige devenue d’un bleu glacé ! 

 

 Les années ont passé c’est l’été des hommes marche à nouveau vers Moscou devenue la rouge sans doute de tant versé de pauvre gars qui on crus à la liberté promise par des futurs tyrans. Les soldats au son gutturaux à remplacés ceux des soldats du passé aux accents du nord au midi d’une France, maintenant allié de ceux qui jadis les achevaient dans c’est steppes, ironie maudite du sort  jeter sur c’est âmes errantes regardant en silence ceux qu’ils savent à l’avance, que beaucoup d’entres eux partagerons l’hiver venu le même sort qu’eux plus de cent ans plus tôt.  Ils ce sont arrêter et ce reposes, un éclat brillant attirent un des soldats, la près d’un arbre quelque chose est la, curieux l’homme s’en approcha, regardant de plus près il trouva un Aigle couleur argenté, étrange son pays avait aussi un Aigle comme emblème,  un régiment qu’il ne connaissait pas, il le mis dans sa poche de veste coter cœur, et repartis avec c’est amis eux aussi soldats.

 

Le temps passa le soldat connu bien des combats, il ne rentra jamais dans Moscou, et comme les soldats d’antan connu les amères défaites et la grande retraite. Un jour il ce retrouva exactement au même endroit ou il trouva cet Aigle a coter de l’arbre, fatigué, geler il s’asseye à la même place que la ou s’endormi le vieux grognard, il en avait assez de cette guerre dans les froids des Steppes, il vit des soldats à l’étrange uniforme, il ne les connaissaient pas, un vieux soldat pipe à la bouche, accompagné d’un vieux chien bâtard, s’approcha de lui, il ne semblait pas le voir lui pourtant bien voyant, le soldat s’assied et ce mis ses jambes allongées exactement dans la même position dans la quelle il était, une chaleur l’envahis, douce légère, il pensait devenir fou, une ombre grande et brune couvert d’une peau ce trouva devant lui, menaçante un fusil en joue,


Il sentit un coup contre sa jambe, puis un choc au cœur, puis plus rien, un goût de sang dans la bouche, c’est yeux bleu regardait ras le sol.
Un éclair d’or le réveilla, le soleil d’hiver pourtant si froid, le réchauffait, et un vieux chien sans races le léchait. Regardant autour de lui, des cadavres mais ils étaient Allemand. Ce tâtonnant il sentit qu’il avait des cotres qui lui faisaient mal, c’était cela sans doute le goût du sang dans sa bouche ce qui  l’avait sauver de ce soldat Russe, qui pensait l’avoir achevé. Mettant sa main à la poche de sa veste, il en sortit l’aigle, il l’avait sauver, l’arrière était bosselée légérement, une mauvaise balle peut-être, mais qui l’aurait certainement tué !


Il ne comprenait pas, la neige était présente, le temps n’était plus au gèle, le chien gambadait autour de lui, puis lui pris le bas de son pantalon le tirant, semblant dire, vient, suis moi, je connaît le chemin ! alors, sans plus de questions il ce mis en route, tantôt ce cachant avertis par ce chien bizarre, tantôt avançant comme si une force le poussait, en bouche une pipe sans tabac, une vieille pipe qu’il avait trouvé en dessous de lui, l’ors ce qu’il c’était lever, elle lui avait fait mal aux cotes sans doute cela l’avait réveillé aussi !  Combien de jours il marcha il ne le su que bien tard, arrivé accompagné de ce chien devenu fidèle ami. Des soldats dont il reconnu la voix, lui dire d’arrêté, l’homme en guenille reconnu l’accent Français, il ce rendit compte avant de s’évanouir qu’il était sauver ! Après un séjour à l’hôpital, il fut emmené devant un officier Français à s’est un coter un homme avec un képi blanc, servit de traducteur. L’officier ne sourcilla pas à l’écoute de l’histoire.  A la fin de cette histoire étrange, il sortis l’Aigle et la pipe c’est à vous, prenez les, mais savez vous ce que sait ? L’officier étonné du non de l’homme, lui raconta l’histoire de la retraite de Russie, et l’origine de cet Aigle dorée !


L’Allemand compris que ce vieux soldat de la vieille garde, c’était servit de lui pour ramené quelque chose de lui en France, mais aussi, que l’on sache malgré les ans passés qu’il ne faisait pas partie des disparus ! L’officier avait retourné l’Aigle, son pouce frottait celle si, tout en demandant ce que ce soldat prévoyait dans l’avenir ! Rien dit il , j’ai toujours été soldat, après les Hitlerjungds. Quand le traducteur lui dit, que si il avait réussi à survivre seul dans sa grande retraite de Russie, alors il survivrait aux guerres dans l’avenir et dans la Légion, acceptais t’il rentré ? Alors celui qui avait évité d’être dévoré par cette terre barbare dit oui à l’engagement.


L’ officier lui son nom exacte, pourtant il le connaissait de par ses papiers trouvé sur lui.  Sa voix  raisonna sonore, Feldwebel Viktor Gérarst, Panzer Grenadier, l’officier le coupa, suffit soldat, regardant de nouveau la boucle, il dit à nouveau « c’est étrange tout s’assembles.
Viktor Gérarst = Vieille Garde.
Panzer Grenadiers = Grenadiers d’élites, comme la Garde Napoléonienne.
Feldwebel = Sergent.
Le grognard à fait une partie de la retraite de Russie, avant de mourir, et ce soldat allemand lui est en est revenu seul !
Une dernière question le subjuguait, il la posa, êtes vous de pur race Allemande ? Non, répondit il, ma famille est originaire d’Alsace et de Strasbourg, mais mes ancêtres ont émigrés en Allemagne pour travaillé en Basse Saxe !


L’officier dit alors, vous serez le Légionnaire Victor Gérard, et quand vous quitterez un jour la Légion, habiter Strasbourg, vous verrez c’est une belle ville, peut être y trouverez des souvenirs ?
Si vous le dite, monsieur l’officier, c’est que vous avez une bonne raison ? Oui, je vous l’expliquerait plus tard après l’instruction, quand je vous rendrait c’est objets !
Une question Capitaine c’est sa monsieur ? Oui, le chien qui était avec moi, que va t’il devenir ?
Quel chien, vous étiez seul ! vous pouvez disposé. Le nouveau futur Légionnaire sortis accompagné du traducteur, il stoppa net une fois dehors, un vieux grognard, une pipe en bouche, accompagné d’un vieux chien lui souriait, et dans le murmure du vent léger, il entendit une voix gutturale étrange accent pour un français, qui de plus parlait pratiquement comme un Allemand,
« Merci, mon p’tit gars, tu ma ramenez chez moi, à mon tour de t’aider, je te protégerait jusqu'à t’on dernier jour, et sache que bientôt pourquoi, je t’ai choisi, au revoir, à bientôt, allez Grognard, on y va on as encore une longue route à faire pour l’instant ont rentre.
Un jour à la fin de l’instruction, le Capitaine l’appela, pour lui parler, Légionnaire Gérard, prenez cette Aigle et regardez ce qui est gravé finement, chose au quel vous n’avez jamais certainement fait attention ! le Légionnaire lu, Sergent Grenadier Victor Gérard, Vieille Garde. Originaire Strasbourg, Alsace.


Sa alors, s’exclama t’il, je comprend pas ! C’est simple Légionnaire, c’est votre arrière grand père, restez en Alsace, engagé dans l’armée du Rhin, avec Kléber, puis sous Napoléon, dans la vieille garde, j’ai fait faire des recherches, et voici c’est états de services, bonne chance mon gars !
Depuis les Légionnaires d’antan ce racontait l’histoire du vieux Grognard et de son chien !
Victor Gérard, quitta la Légion, adjudant chef, et 30 ans de Légion, le jour de son départ, on le vit quitter le poste de garde accompagné d’un vieux grognard et d’un vieux cabot ! Ce qui commenças par un hommage à la vieille garde fini, en une légende de la Légion, ou vous n’en trouverez nuls traces, car ce que je raconte dans mes histoires imaginaires ou lettres imaginaires, ne sont que fictions. Mais qui dit que toutes c’est légendes racontées ne me sont pas insufflées, et qui résonnes dans ma tête ne sont pas faites pour que nos anciens, me les fassent racontés, parce que cela ne peut être raconté que de cette façon, qui sait ? Suis je un fou, un simple conteur,  qu’importe qui suis je, le principale c’est votre propre croyance aux histoires ou lettre imaginaire ! Le hasard ou j’ai faillis perdre la vie, ma ouvert les yeux et l’esprit, sur un chemin au quel je n’aurait jamais pensé, celui de ne jamais faire oublier, après tout ma façon de raconté à t’elle de l’importance à vous de savoir ! La Légion à bien d’étranges histoires, alors pourquoi pas les miennes, ou celles de mes amis qui font de même ??

P'tit Sapeur ! 
 

 

 

Journalisée


Veritas - Fidelitas

 

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