P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Etrange
Histoire !
« le: Janvier 03, 2007, 02:40:00 »
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Etrange
Histoire !
La neige était souillée, de cadavres frais, mais déjà surgelés, la terre
sous la neige, ce soûlait du sang des autres, étrangers de France, sol de
Russie, impie et vampire, la sainte ne priait pas pour eux, trop foulée
du pas de c’est vainqueurs d’un passé révolus. Non, elle ce gave de ce
liquide chaud symbole de l’envahisseur, quelle punis à sa façon,
attendant l’hiver fini, pour les dégustés à sa manière, sans mots, mais
avec des vers. Pour l’instant les moujiks, elle le sait n’a pas le temps
de les enterrés, ho, pas eux, non les prisonniers qui une fois le
travaille achevé, finirons dans cette tranchée bouche ouvertes pour
l’infortune de c’est malheureux, soldats de la Bérésina et de l’Aigle à
nouveau vaincu, qui pourtant foula les pavés de Moscou, dérisoire
victoire, avènement de la défaite qui ne devait être ! Les cosaques les
ont achevés, croyant sans doute, que le général hiver les conserveraient
vivants pris d’une subite compassion que l’humain ne possédait plus
depuis longtemps.
La
colonne c’est effacée laissant derrière elle sont lot de morts qui
auparavant était des soldats de France et d’autres à son service. Des
femmes allongées près des hommes, fidèles compagnes jusque dans la mort,
raides non pas d’amour, mais dans l’amour qu’elle avait pour lui,
violence d’un cœur qui ne voulait ce séparé de l’âme sœur, du moins c’est
ce qui est à supposé pensé. Ou alors est tout simplement un homme ou une
femme qui ne voulait pas mourir seule. Un peut plus loin une femme,
couchée sur un soldat ce prenant sans doute pour un Saint Bernard
ignorante de la mort qui l’attendait, pensant réchauffée ce soldat devenu
moribond, qu’importe ils sont morts cœur contre cœur image dont cette
terre s’en fou, attendant son lot de nourriture humaine quelle désolation
sous ce vent glacé, devenu meurtriers et complice.
Complice
de ce ventre qui deviendra repue de c’est chairs humaines, mais
jamais assouvie. Contre un arbre un grognard assis barbe grise gelée,
semble dormir du sommeil du juste, son fusil dans ses bras croisés font
de lui une sentinelle de la mort, contre lui un vieux chien endormis de
froid, signe désuet pour certains, mais signe de temps de fidélité envers
ce maître son ami, son fidèle compagnon, a les voir ils en on fait du
chemin, Arcole, iena, Austerlitz, et bizn d’autres, peu importe l’ordre
des ans de c’est batailles, ici tout est désordre! De toute façon pour
eux toute est fini à travers leurs yeux devenus transparents comme cette
neige devenue d’un bleu glacé !
Les années ont passé c’est l’été des
hommes marche à nouveau vers Moscou devenue la rouge sans doute de tant
versé de pauvre gars qui on crus à la liberté promise par des futurs
tyrans. Les soldats au son gutturaux à remplacés ceux des soldats du
passé aux accents du nord au midi d’une France, maintenant allié de ceux
qui jadis les achevaient dans c’est steppes, ironie maudite du sort
jeter sur c’est âmes errantes regardant en silence ceux qu’ils savent à
l’avance, que beaucoup d’entres eux partagerons l’hiver venu le même sort
qu’eux plus de cent ans plus tôt. Ils ce sont arrêter et ce
reposes, un éclat brillant attirent un des soldats, la près d’un arbre
quelque chose est la, curieux l’homme s’en approcha, regardant de plus
près il trouva un Aigle couleur argenté, étrange son pays avait aussi un
Aigle comme emblème, un régiment qu’il ne connaissait pas, il le
mis dans sa poche de veste coter cœur, et repartis avec c’est amis eux
aussi soldats.
Le
temps passa le soldat connu bien des combats, il ne rentra jamais dans
Moscou, et comme les soldats d’antan connu les amères défaites et la
grande retraite. Un jour il ce retrouva exactement au même endroit ou il
trouva cet Aigle a coter de l’arbre, fatigué, geler il s’asseye à la même
place que la ou s’endormi le vieux grognard, il en avait assez de cette
guerre dans les froids des Steppes, il vit des soldats à l’étrange
uniforme, il ne les connaissaient pas, un vieux soldat pipe à la bouche,
accompagné d’un vieux chien bâtard, s’approcha de lui, il ne semblait pas
le voir lui pourtant bien voyant, le soldat s’assied et ce mis ses jambes
allongées exactement dans la même position dans la quelle il était, une
chaleur l’envahis, douce légère, il pensait devenir fou, une ombre grande
et brune couvert d’une peau ce trouva devant lui, menaçante un fusil en
joue,
Il sentit un coup contre sa jambe, puis un choc au cœur, puis plus rien,
un goût de sang dans la bouche, c’est yeux bleu regardait ras le sol.
Un éclair d’or le réveilla, le soleil d’hiver pourtant si froid, le
réchauffait, et un vieux chien sans races le léchait. Regardant autour de
lui, des cadavres mais ils étaient Allemand. Ce tâtonnant il sentit qu’il
avait des cotres qui lui faisaient mal, c’était cela sans doute le goût
du sang dans sa bouche ce qui l’avait sauver de ce soldat Russe,
qui pensait l’avoir achevé. Mettant sa main à la poche de sa veste, il en
sortit l’aigle, il l’avait sauver, l’arrière était bosselée légérement,
une mauvaise balle peut-être, mais qui l’aurait certainement tué !
Il ne comprenait pas, la neige était présente, le temps n’était plus au
gèle, le chien gambadait autour de lui, puis lui pris le bas de son
pantalon le tirant, semblant dire, vient, suis moi, je connaît le chemin
! alors, sans plus de questions il ce mis en route, tantôt ce cachant
avertis par ce chien bizarre, tantôt avançant comme si une force le
poussait, en bouche une pipe sans tabac, une vieille pipe qu’il avait
trouvé en dessous de lui, l’ors ce qu’il c’était lever, elle lui avait
fait mal aux cotes sans doute cela l’avait réveillé aussi ! Combien
de jours il marcha il ne le su que bien tard, arrivé accompagné de ce
chien devenu fidèle ami. Des soldats dont il reconnu la voix, lui dire
d’arrêté, l’homme en guenille reconnu l’accent Français, il ce rendit
compte avant de s’évanouir qu’il était sauver ! Après un séjour à
l’hôpital, il fut emmené devant un officier Français à s’est un coter un
homme avec un képi blanc, servit de traducteur. L’officier ne sourcilla
pas à l’écoute de l’histoire. A la fin de cette histoire étrange,
il sortis l’Aigle et la pipe c’est à vous, prenez les, mais savez vous ce
que sait ? L’officier étonné du non de l’homme, lui raconta l’histoire de
la retraite de Russie, et l’origine de cet Aigle dorée !
L’Allemand compris que ce vieux soldat de la vieille garde, c’était
servit de lui pour ramené quelque chose de lui en France, mais aussi, que
l’on sache malgré les ans passés qu’il ne faisait pas partie des disparus
! L’officier avait retourné l’Aigle, son pouce frottait celle si, tout en
demandant ce que ce soldat prévoyait dans l’avenir ! Rien dit il , j’ai
toujours été soldat, après les Hitlerjungds. Quand le traducteur lui dit,
que si il avait réussi à survivre seul dans sa grande retraite de Russie,
alors il survivrait aux guerres dans l’avenir et dans la Légion,
acceptais t’il rentré ? Alors celui qui avait évité d’être dévoré par
cette terre barbare dit oui à l’engagement.
L’ officier lui son nom exacte, pourtant il le connaissait de par ses
papiers trouvé sur lui. Sa voix raisonna sonore, Feldwebel
Viktor Gérarst, Panzer Grenadier, l’officier le coupa, suffit soldat,
regardant de nouveau la boucle, il dit à nouveau « c’est étrange tout
s’assembles.
Viktor Gérarst = Vieille Garde.
Panzer Grenadiers = Grenadiers d’élites, comme la Garde Napoléonienne.
Feldwebel = Sergent.
Le grognard à fait une partie de la retraite de Russie, avant de mourir,
et ce soldat allemand lui est en est revenu seul !
Une dernière question le subjuguait, il la posa, êtes vous de pur race
Allemande ? Non, répondit il, ma famille est originaire d’Alsace et de
Strasbourg, mais mes ancêtres ont émigrés en Allemagne pour travaillé en
Basse Saxe !
L’officier dit alors, vous serez le Légionnaire Victor Gérard, et quand vous
quitterez un jour la Légion, habiter Strasbourg, vous verrez c’est une
belle ville, peut être y trouverez des souvenirs ?
Si vous le dite, monsieur l’officier, c’est que vous avez une bonne
raison ? Oui, je vous l’expliquerait plus tard après l’instruction, quand
je vous rendrait c’est objets !
Une question Capitaine c’est sa monsieur ? Oui, le chien qui était avec
moi, que va t’il devenir ?
Quel chien, vous étiez seul ! vous pouvez disposé. Le nouveau futur
Légionnaire sortis accompagné du traducteur, il stoppa net une fois
dehors, un vieux grognard, une pipe en bouche, accompagné d’un vieux
chien lui souriait, et dans le murmure du vent léger, il entendit une
voix gutturale étrange accent pour un français, qui de plus parlait
pratiquement comme un Allemand,
« Merci, mon p’tit gars, tu ma ramenez chez moi, à mon tour de t’aider,
je te protégerait jusqu'à t’on dernier jour, et sache que bientôt
pourquoi, je t’ai choisi, au revoir, à bientôt, allez Grognard, on y va
on as encore une longue route à faire pour l’instant ont rentre.
Un jour à la fin de l’instruction, le Capitaine l’appela, pour lui
parler, Légionnaire Gérard, prenez cette Aigle et regardez ce qui est
gravé finement, chose au quel vous n’avez jamais certainement fait
attention ! le Légionnaire lu, Sergent Grenadier Victor Gérard, Vieille
Garde. Originaire Strasbourg, Alsace.
Sa alors, s’exclama t’il, je comprend pas ! C’est simple Légionnaire,
c’est votre arrière grand père, restez en Alsace, engagé dans l’armée du
Rhin, avec Kléber, puis sous Napoléon, dans la vieille garde, j’ai fait
faire des recherches, et voici c’est états de services, bonne chance mon
gars !
Depuis les Légionnaires d’antan ce racontait l’histoire du vieux Grognard
et de son chien !
Victor Gérard, quitta la Légion, adjudant chef, et 30 ans de Légion, le
jour de son départ, on le vit quitter le poste de garde accompagné d’un
vieux grognard et d’un vieux cabot ! Ce qui commenças par un hommage à la
vieille garde fini, en une légende de la Légion, ou vous n’en trouverez nuls
traces, car ce que je raconte dans mes histoires imaginaires ou lettres
imaginaires, ne sont que fictions. Mais qui dit que toutes c’est légendes
racontées ne me sont pas insufflées, et qui résonnes dans ma tête ne sont
pas faites pour que nos anciens, me les fassent racontés, parce que cela
ne peut être raconté que de cette façon, qui sait ? Suis je un fou, un
simple conteur, qu’importe qui suis je, le principale c’est votre
propre croyance aux histoires ou lettre imaginaire ! Le hasard ou j’ai faillis
perdre la vie, ma ouvert les yeux et l’esprit, sur un chemin au quel je
n’aurait jamais pensé, celui de ne jamais faire oublier, après tout ma
façon de raconté à t’elle de l’importance à vous de savoir ! La Légion à
bien d’étranges histoires, alors pourquoi pas les miennes, ou celles de
mes amis qui font de même ??
P'tit Sapeur !
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