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P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Ense
et aratro
« le: Décembre 04, 2008, 12:09:30 »
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Bonjour
à tous !
La revue d’infanterie militaire de 1936, nous parle en ces termes de la
légion étrangère.
La légion ! Celle qui fit battre bien des cœurs d'officiers et
légionnaires, cette troupe d'élites qui nous rappellent les souvenirs
d'en qu'on en a parlé mais aussi élaborant bien des souvenirs
durant leur carrière dans celle-ci.
Les premiers ne connaissaient guère de la région ont qu'une seule chose :
c'est que, depuis sa création elle avait participé à toutes les
campagnes, coloniales ou autres, et que, partout, elle s'est classe
au premier rang, pour sa bravoure légendaire.
Se documenter davantage sur l'histoire de la légion constituait un
véritable travail, car il lui fallut aller puiser dans le récit de toutes
nos guerres, depuis le début de la conquête de l'Algérie.
Les quelques livres, écrit sur la légion, l'on représenté très souvent
avec des récits inexacts, qu'avait pu sans faire une idée un
visiteur de passage, intéressé surtout par les sujets exceptionnels qui
avaient pu lui être présentés.
Aussi a-t-il paru nécessaire de mettre dans toutes les bibliothèques de
garnison une brochure ou chacun pourra trouver un historique précis
et exact de ce qu'en fait la légion depuis sa création. C'est l'objet de
ce numéro de la revue d'infanterie. Après l'avoir feuilleté, on
comprendra mieux l'hommage national rendu à la légion, lors de sa
célébration de son anniversaire devenu centenaire, en avril 1831, à
Sidi Bel Abbés. On n'y verra que, au cours de ces 100 années, les
légionnaires n'ont cessé de combattre glorieusement, de peiner sans
mesure et de mourir partout où flottait le drapeau qu’ils avaient
délibérément choisi et auquel qu’ils ont toujours témoigné une fidélité à
toute épreuve.
Comme nous le savons tous que créés le 9 mars 1831, elle était composée à
l'effectif de six bataillons en partie avec les anciens cadres et les
vieux soldats des régiments suisses et de Hohenlohe, dès sa constitution
elle rejoindra aussitôt à Sidi-Ferruch le corps expéditionnaire
d'Alger.
Après avoir subi à maison carrée le baptême du feu, elle
participe aux combats qui se livraient autour d'Oran pour
l'extension de notre occupation, puis à la prise de Bougies.
D » ce moment, la légion s'avère la digne héritière des légions romaines,
en se montrant colonisatrice autant que guerrière ; elle entreprend la
construction d'hôpitaux, de camps, de blockhaus, dessèches es marais
construits des routes. Elle est devenue si précieuse pour le
commandement qu'en 1835, lorsque le gouvernement français cède la légion
à l'Espagne, une nouvelle légion et reformer en Algérie et l'année
même je la connais les traditions de l'ancienne.
La légion constituait pour le maréchal bugeaud l'outil par excellence
susceptible d'appliquer sa formule : Ense et aratro. ( Par l'épée et par
la charrue.)
Point travaux de route, élection de postes, construction de ponts, de
Bas-Rhin, forage de puits, plantations et exploitations de forêts, on
peut tout demander aux légionnaires, voire même l'édification de «
sa ville » : Sidi -Bel -Abbés.
Tout en continuant à se battre et à travailler en Algérie, la légion
participe aux campagnes de Crimée, Italie et du Mexique, où elle
cueillait des couronnes de lauriers ! Grace à ce livre, et les autres
bien sur vous faires suivre avec des faits que l’on ne trouve pas sur internet,
l’aventure Légion.
Rien ne vaut les livres !
Amitiés Legio !
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