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La Grenade Légion

 

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Auteur

Sujet: Gabriel de Diesbach Torny.

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
****
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Mon devoir, la mémoire !

Gabriel de Diesbach Torny.
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Gabriel de Diesbach Torny.

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A bord du Saint Louis en cette année 1863, j’ai rencontré le sous lieutenant, qui me raconta brièvement son personnage et ses raisons de son engagement dans ce corps d’élite, en voici le résumé.

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Né à Fribourg en Suisse, de son nom complet  Comte Antoine Valburge Alphonse Gabriel de Diesbach Torny est né 23 décembre 1830 et décédé à Paris le 13 avril 1902, le lien vous diras que un de liens de cette famille de noble est établis dans plusieurs pays, restons en à la Légion.

Bien qu’homme jovial, il est aussi d’un caractère ombrageux, est un homme de 32 ans l’ors ce qu’il part au Mexique, grand et bien battît ; il arbore une moustache effilés ainsi qu’une barbe en pointe, ce qui est à la mode en cette époque. Il aime l’élégance et ce trouve êtres un homme très soigné de sa personne, sa personnalité dénotais sa descendance d’une famille de grande noblesse. Son père Philippe fut commandant sous la révolution des cent Suisses.

 

Son  coter caractère ombrageux fut une des deux raisons de son engagement dans la Légion à titre d’officier Etranger, grade de sous lieutenant qu’il obtient en dernière minute qui lui permis de s’engager juste avant d’embarqué pour le Mexique. La première raison est son beau père qu’il détestais cordialement il s’appelais Delefenestre, qu’il avais d’ailleurs failli l’envoyer outre tombe, Gabriel le tenais responsable de la ruine de sa famille. Un jour qu’il le tenais au bout de son fusil prêt à tirer, c’est sa mère qui sauva la vie de ce misérable comme il l’appelait il écrivit « Cette sainte femme ce mis entre lui et moi…. ». Mais le pire est que la ruine familiale l’empêcha d’épousé l’amour de sa vie, ce sont les deux raisons exacte de son engagement.

Je l’et encore rencontrés d’autres fois et je doit dire que ce personnage très controversé m’intrigue, mais nous verrons cella plus tard.

Julien Alvarez.

 

Pour le Chroniqueur de « La Grenade Légion »

 

 

Journalisée

 

 

 

 

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