P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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La
naissance d'une complicité !
« le: Décembre 18, 2008, 01:02:56 »
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Période de 1831 -1835.
Ou, la naissance d'une complicité
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Nous connaissons tous les débuts de 1831, les raisons de la création de
la lésion, nous n'avons pas revenir là-dessus, mais ce qui est certain
c'est que ce corps d'élite, étaient bien destinés à servir les intérêts
de la France, pour la protection, la pacification, et la construction
dans les futures colonies. C'est les étrangers y aller servir les
intérêts du royaume, était un retour aux anciennes traditions datant de
Charles VII, où le royaume n'avait jamais cessé d'employer à son service
des troupes de toutes nationalités, les sept régiments organisés à la
restauration n'ont été dissous le 5 janvier 1830. Ce nouveau corps créé à
trouver un recrutement facile, dans une époque où tout est troubles
politiquement des suivis de 1815, défaite de Napoléon et indirectement de
la république, une grande affluence de nationalités diverses des quatre
coins de l'Europe, personnes fuyant tantôt les misères tantôts les
persécutions, ou tout simplement bannis de leur pays, s'est réfugiés pour
devenir l'ossature de la légion étrangère. Sa constitution se fera dans
plusieurs villes de France, avant d'être dirigé vers Toulon, cinq
bataillons ainsi qu'une partie du sixième ont débarqués à Alger à partir
des premiers jours de septembre 1831.
Les bataillons sont ainsi répertoriés, Le 1er bataillon était formé par
des hommes ayant appartenu dans les corps étrangers de la restauration.
Les 2e et 3e, par des Suisses et des Allemands., le 4e, par des Espagnols
; le 5e, par les Serbes et les Italiens ; le 6e, par des Belges et des
hollandais ; le 7e devait être plus tard constitué par des Polonais.
Le dépôt de la légion établie à Langres, fut transféré le 21 mars 1830 à
Bar-le-Duc, le 4e, bataillon est formé à Agen, le 5e, à Auxerre, (
Ville de baissance du futur général Rolle ) ,le 6e, à Chaumont, le
septième à Alger. Le sixième bataillon fut complètement formé à Bône, le
1er mai 1833 ; le septième est qu'à ses débuts comme effectifs quatre
compagnies dont une seule au complet, où un total de huit compagnies en
1834. Un inconvenant majeur va ce poser, celui de mésintelligence des
langues entre les unités, le problème sera réglé en 1835, le français
devient la langue officiel et unique de la Légion.
Avant 1835, bien que considéré organisée en 1832, à connu des
déboires ainsi que des heurts avec leur officiers ne parlant que le
français, l’incompréhension régnait en maître, de plus les hommes qui
subissaient déjà une discipline de fer, n’aimaient pas leurs officiciers,
ce sentant mal compris, la confiance allais vers leurs sous-officiers,
qui es comprenaient puisque de même nationalité, et considérés pareils à
eux puisqu’ils sortaient de lleurs rangs. Un autres malaise régnait les
officiers français servant dans la L légion ce sentait punis, cette arme
pour eux étais considéré comme un arrêt d’avancement, voir une
humiliation. Ces officiers, méprisaient ces hommes et leur faisais payer
cher leur affectation. D’où la tradition encore actuel est de faire
confiance en leur sous officiers, tant que l’officier affecté « chez eux
» n’a pas faits ses preuves. Il ne faut pas mettre tous les officiers dans
le même sac, certains avais le caractère Légionnaire, faisaient tout pour
les comprendre, et les aidez, ces eux qui vont rétablir la confiance
entre eux, ils vont les défendront contre certaines injustices, ce sont
ces officiers qui partirent avec eux en Espagne, qui serons les
véritables arrisant de la complicité dans l’avenir entre eux et le
Légionnaire.
La Légion ne fera désormais confiance qu’a leur gradés et qu’ils aurons
choisis de suivre, gardant une petite rancune contre les gradés de la
régulière ! Un groupement de Légionnaire si ses gradés sont hors combats
par instinct fera deux chose, il vont suivre les ordres du plus ancien ou
d’où plus capable d’entre eux, sans un mot, cela ce fera, la deuxieme ils
vont tout faire pour protéger et ramenez leur gradés même morts, de cette
défection des débuts officiers et Légionnaire est né ce qui deviendra «
Legio Patria Nostra » L’optique des états majors vont changer
devant cette « rébellion passive », ils vont écouter les officiers déjà à
l’esprit légionnaire, ils ce rendent compte qu’elle outils et arme ils
possèdent sous leur ordres, cela amènera la nouvelle race d’officiers,
ceux qui seront « des volontaires » pour servir dans les rangs de la
Légion étrangère au détriment de leur carrière. La Légion de 1835,
celle qui remplaça, la première en prendra de la graine, nous le verrons
plus tard.
Amitiés Legio.
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