P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Les
débauchés des prétoires.
« le: Janvier 27, 2009, 10:40:03 »
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En
mémoire de tous les morts en guerres,
Trahis par certains politiciens ; poreux et vereux.
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Les débauchés des prétoires.
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Ils y à eu sans équivoquent ceux des prétoires politiques, Acerbes
tribuns à la plume fatidique, ou leur seule gloire
Fut de déclarés des guerres, pour en suite déclaré
Dans leur honneur malsain, nous avons signez la paix
Hommes de peu d’esprit, soulagés par les applaudissements
Ceux qui dont les belles paroles clamées en vairs, criais
Allons à la guerre, gagnés nos libertés, mais nous sans rien
faires.
Pies voleuses de vies, sont leur conscience, a ses tribuns
Ecrivains et poètes des basses fosses de la vie. Et basses besognes
Trahissant le véritable sens des mots « êtres humains »
Piliers à ragots des sénats et autres bancs à discours ou les clameurs
Sont, « envoyez encore des braves soldats, engagez, engagez, l’ennemi
Est à nos portes » leur culs bien établis tenant ferme leur positions
Mais prêt à fuir pour garder leur porte feuille ministérielle en main
Vers l’arrière en train, contraire d’arrière train , dont les seuls
effets sont d’êtres assis chez madame Rose,
eux dont les seules odeurs sont les gaz mais pas celui des
tranchées, mais bien celui des pèts
De trouilles qui résonnent dans les prétoires des débauchés
L’or ce que la guerre ; leurs semblent en leurs défaveurs.
C’est poète de la lâcheté divine, écrivains des balivernes meurtrières
En faits réels vous êtes des urticaires des plumes, et dignes de faire
Des proses en ver de terre. Heureusement, il y eu des vrais tribuns
Mettant leur chair en avant, le cul dans les tranchées pour écrire
l
a misère d’un peuple dont vous n’êtes pas dignes.
Mais de ces vrais tribuns, combien ne sont pas revenus ?
Mais on le sait, qu’importe en beaux parleurs que vous êtes
Vous en ramasserez les lauriers, en discourant sur leur patriotisme
Dont le votre n’est pas peut fiers, car prélats de la
honte
vous en serez le monument de votre seule gloire
De pauvres parias, malfrats de l’histoire et des prétoires
À foutoires et faussaires des biens humains, et faucheurs de vies.
Présentoirs à cravates, vous êtes les boudinés des vérités qui
Sont pour l’éternité vôtres et vautrés de vos petites personnalités.
Ecrit et enregistré légalement par Trousson. Yves.
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