P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Henri
Dunant " Solférino"
« le: Octobre 30, 2006, 11:03:50 »
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Henri
Dunant.
La croix rouge.
Dans la nuit du 24 juin 1859, nous trouvons le régiment étranger ainsi
que les Zouaves en avant garde, tout est noir, rien n’est ne les éclaires,
quand brusquement à la surprise général, Français et Autrichien ce
trouvent face à face, la Légion et les Zouaves sont tomber nez à nez avec
un contingent Autrichien bien plus supérieur qu’eux en nombre. La
division est alerté, les ordres sont donné, le 1er et 2en Corps s’avance
en aveugle vers Solferino. La surprise tombe très vite, ce ne sont pas
quelques troupes disparates sur le qu’elle Légion et Zouaves ont
rencontré mais bien le gros de l’armée ennemie, c’est donc toute l’armée
de François Joseph et sont état major au complet qui ce trouve dans les
plaines de Solferino, 126.000 hommes, face aux 50.000 Sardes et
Piémontais du Roi Victor Emmanuelle et des 100.000 français de l’empereur
Napoléon III.
Hasard ou non les 2 béligrands ont eux la même idée, faire marcher leur
troupes de nuit pour éviter les grosses chaleurs de la journée, de
marcher la nuit en aveugle à provoquer cette situation qui n’est que
explosive à l’aube. Cette même aube révèlent l’ampleur de la situation à
la quelle personnes n’auraient penser, il suffit d’un quart de tour pour
que les deux adversaires soient poitrine contre poitrine ou la
situation serait totalement sanglante, ce qui deviendra le cas.
Les deux armées ce trouvent sur un front d’un plus de vingt kilomètres
sans la moindre ébauche de préparation de bataille.
Sur l’aile droite ou ce trouve le Maréchal de Mac Mahon et la Légion qui
est incorporé dans son corps d’armée, ce trouve en deux lignes par
bataillon en masse ce porte en avant sur l’espace d’un kilomètre, l’état major
est rassuré pensant son aile droite fragilisé par le nombre d’autrichiens
qui leur font face. Les boulets tombent parmi eux le bataillon Légion
reste ferme et avance imperturbablement. Un obus tombe trois hommes sont
jeté à terre, parmi eux un brave le général Auger, bras cassé il gît à
terre.
La bataille est devenue fluctuante, des positions sont prises et reprises
plusieurs fois comme par exemple les hauteurs de Carvriano, la tour de
Solférino objet principal et stratégique l’est aussi, partout les combats
sont acharnés, provocant la fonte des unités. Blessés et morts
jonchent le sol, parmi eux des animaux tous ce monde ne sait être
secourus. Cette titanesque empoignade à duré durée douze longues heures,
le soir enfin les secours peuvent enfin intervenir, mais c’est services
de santé ce révéleront dépassés, sans efficacité par les moyens
disponibles, cela devient tragique même les effectifs soignants,
ambulanciers, infirmiers ce trouvent réduits et cela dans les deux camps,
résultats le nombre de morts est effrayant par manque de soins.
Alors
un civil émus par cette tragédie, va sollicité auprès de Napoléon III, et
au départ commercial une aide aux blessé, sous la protection d’un drapeau
blanc a croix rouge, contraire aux couleurs du drapeau suisse, accepter
l’offre verra la naissance de cette ordre civil « La croix rouge » crée
par Henri Dunant. Cet homme bouleversé par la vue de c’est hommes
entremêlé, s’embrochant, s’égorgeant le marqueront profondément, son
œuvre deviendra mondial. Sur le terrain de Solferino pour la première
fois au monde des civils soignerons sans distinctions de camps les
militaires blessés ou mourants ! La Légion y a encore écrit une page de
gloire dans son histoire.
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