|
P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5225
Mon devoir, la mémoire !
|
|
|
Des
chapelets de croix.
« le: Janvier 25, 2009, 10:07:11 »
|
|
Bonjour
J'ai retrouvé ceci pour vous.
----------------------------------------
Des chapelets de croix.
-----------------------------
Que de poilus dorment ici
Sous c’est chapelets de croix.
De France et de Navarre
Non seulement, mais
Ici on ne boit le champagne
Ni visite l’Artois, mais on y
Pique un somme éternelle.
Souvent sur le chemin des dames.
Poilus vous qui dormez ici
Le sol en hommage c’est
Laissez poussez des milliards
de brins d’herbes
Oui mes amis la terre est devenue
Couverte d’un duvet vert digne
De vos barbes, magnifique poilus
Que vous étiez, l’herbe doucement
Bercée nous rappels vos gueules cassées
Par la vie dure des combats contre la mort
que vous avez trépassé en revenant vivant.
Mais bon dieu pour combien de temps ?
Pour certains que devrais je dire plutôt,
Vous qui n’avez pas eus le choix
De vivre vieux, mais a vingt ans déjà ridés
Yeux plissés vous avez guettez la vie
Mais pas vu venir la mort, pourtant
Continuelle voisine trancheuse de vie.
Moi qui ne crois pas en dieu, je ne sait compter
Ce nombre de croix tellement nombreuse.
Mais je pense qu’il à planté en c’est croix des chapelets
Pour les anges prier la haut vos corps décharnés
Si bas, mais dont la noblesse d’âme est si haute.
Chapelets de croix, ayant faillies versées
Dans les sombres couleurs de l’oublis.
Pour nous point d’oublis même si votre mort
À les couleurs du négatif de la vie.
Moi l’athée, l’incroyant je viendrait
Conter vos croix en pensée, calvaire
Qui fut le votre chapelet de croix pour moi,
Oui moi l’infidèle de dieu, je prierai
Une larme à l’œil synonyme de ce mot armes
Que vous avez portez mais aussi qui vous ont tuées.
Et quand il pleuvra à nouveau
Alors je saurai que je ne suis pas seul à vous pleurez.
Parlez de vous pour certains semblerai long
Voir même ennuyeux ne terminant pas cette oraison
Funèbre qu’ils ne comprennent p’tet même pas !
Alors P’tit Sapeur je suis creusant l’histoire,
Creusant ma mémoire, afin de remplir
Celle de ceux qui veulent ne pas vous oubliez !
Alors moi le nomade, je prend mon bâton de pèlerin
De l’histoire je parcours sans cesse c’est chemins,
Chemin qui est mon éternel parcours du vouloir
Ne vous faire tombez dans un autre enfer
Que vous avez déjà connus, mais celui çi
Non merci il n’est point pour vous car cet oublis
On ne le laisse pas au anges déchus, mais vous
C’est de la vie dont vous êtes déchus,
Déchus d’un age ingrat perdu au détour
D’un éclat de métal perdu au détour
D »une vie injustement volée.
Vous les corps devenus sans vie,
Vous qui reposez sous c’est pierres
Vous qui dans votre malheur
Vous êtes devenus symbole d’une vie
Vie sans vous ne l’avons méritées.
Vous qui les morts de la grande guerre,
Vous les meurtris de la vie,
Vous que je n’ai jamais connus de votre vivant
Vous me donnez le courage de parlez de vous
Pour preuves je devient intarissable.
Chapelet de pierre en tête, le m’en vais
Quêter le saint Graal des disparus,
Disparus de toutes les guerres
Tant que j’y suis, pourquoi pas ?
Vous les poilus merci, de me le rappelez
Sans cesse dans mon esprit, qu’importe
Le nombre de chapelet a compter,
Oui qu’importe car votre sacrifice
N’a pas de prix, et nul façon de parlez ou d’écrire
N’est un temps perdu, il ne peu s’arrêter
Même par de la, la mort injuste qui vous a frappez.
Nous les vivants n’avons pas le droit de vous oubliez !
Trousson.Yves.
Biblio Royal de Belgique.
Mars 2004.
|
Journalisée