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La Grenade Légion

 

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Sujet: Cesar ce trompe !  (Lu 400 fois)

 

 

P'tit Sapeur
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César ce trompe !
« le: Juin 03, 2008, 02:49:13 »

 


Voici une carte des gaules; moi je la conteste, les véritables Gaulois, étant bien qu'homogène étais un peuple d'Italie " actuel " la preuve Hannibal; traversa les Alpes; et trouva tantôt des Gaulois amis, tantôt ennemis.
En ce qui nous concernes; c'est César qui nous appela ainsi. Nous sommes Belges, Cermains, Celtes et Bataves, rien à voir avec le latin de jules & consort.
De plus il étais reconnu que césar exagérait sur les frontières qu'il déplacait à ses besoins.
César n'a pas battus " ses " Gaulois des Alpes; alors comme il nous à battus; pour faire bonne figure auprès de Rome, il écrivit qu’ils avais " enfin " battus les Gaulois. la ce sont des faits qui s'affirme de plus en plus.


http://www.lexilogos.com/gaulois_peuples_carte.htm

Obelix de BabaOrhum à Cesar qui ce trompe..

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:50:57 par P'tit Sapeur »

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DIPLO
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #1 le: Juin 03, 2008, 04:01:34 »

 


Je me flatte, P'tit Sapeur , d'être un descendant des Nerviens qui tinrent la dragée haute à César. La seule tribu qui lui donna du fils à retordre et à un doigt de le battre!!!L'histoire d'Astérisque le breton est une sacrée farce. Le vrai Babaorum est à Thuin.
Amicalement, DIPLO

 

 

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dwnvg
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #2 le: Juin 03, 2008, 04:18:58 »

 


Bonjours a tous
Ouille ouille ouille comme on dit chez nous vla ti pas que not Ptit Sapeur est en pleine contestation par Toutatis , il nous refait MAI 68 ( en 2008 ) et oui il est plus d'accord avec l'histoire que se soit celle de 14/18 et les écrits Français et maintenant vla ti pas que notre brave Jules Cesar en prend pleins la poire avec ses écrits , heureusement que quoique en Belgique je suis un pur Celte Finistérien de par le sang de mes Aieux vous savez là ou se trouve soit disant les farouches Gaulois  Huh HuhHuhHuhAstérix et Obélix et oui on peut ré écrire l'histoire  Roll Eyes GrinGrinGrinGrinGrinGrinet que mes écrit ne sont pas encore tomber sur la censure de l'irréductibles Flamand oh pardon cela n'éxistait pas encore dans cette région qui se cherche une identitée parmis les Nerviens ,les Atrébates ,les Ambiens, les  Séquanes , les Éburons , et je terminerais par les Viromanduens et j'en passe et des meilleurs  Grin GrinGrinGrinGrinGrinGrinGrin
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : merçi DIPLO tout n'est pas perdu  GrinGrinGrinGrinGrinGrinGrinGrin



* daniel_bd58.gif (28.05 KB, 135x157 - vu 41 fois.)

 

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DIPLO
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #3 le: Juin 03, 2008, 04:29:39 »

 


Aïe, aïe,aïe GrinGrinGrin
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P'tit Sapeur
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #4 le: Juin 03, 2008, 05:12:30 »

 


Avé,
Les Celtes quoi que l'ont disent sont issus des Belges, donc finistère ou Roux, c'est la même chose.
Ont retrouve le dieu de la guerre Bel, chez les Celltes, Bataves et Germains.
La traduction du vieus Germaun de Belgique est !
Bel = Dieu de la Guerre.
Gigue = Char.
Donc = Bel sur son char.
son homologue Scandinave est Thor !
Et vlan pour les profs d'histoire; qui la racontent à leurs façon.
Les Cavasini; Di Rupo, etc, sont arrivé en 1946 après J.C Jules Cesar, lui il y à longtemps qu'il étais chez Mars.
Quant aux Flamands, mossieur Daniel, il existais avant les Wallons, qui c'est derniers étais une tribus asservis à Cesar. Avant les wallons venus longtemps après; il y avais les tribus " Atrebates, Condruz, Trevire etc, tribus Germaine " Belge " instalés avant vous. Moi, je suis un Menapes et leur chef Boduogna, à battu Cesar, et grâce à ce Flamand; le Jules à dit " de tout les peuples de la Gaulle, les Belges sont les plus braves " Ara, la preuve nous on as le Lion; et vous un coq de Basse cour, qui fait le beau sur une patte, on dirait qu'avec l'autre qu'il lêve, il mendie, ara  des cloux, ils vous donnent vos ministrèlles et pipistrelles de Wallonie..
Mais on peu dire que le " peuple " Wallon est fièr sa oui, son coq sur une patte, essaye de garder l'équilibre, pour pas tomber dans le fumier, sur le quel il est dessus. sa y sait faire le zouaves, qui claironne dans sa cour tout les matins à 500 m de chez moi; et puis l'accent qu'il à; ouille, c'est pas pleut dire..
Coq; Di coq Rupo, il crie.
  Roll EyesShockedGrinCheesySmileyWink
Ps. Cesar ne voulait pas des Wallons, dans ses Légions, quant il à vu un coq, il à dit, " ceux la ils sont bon pour la ferme "

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 06:39:50 par P'tit Sapeur »

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Kalimera
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #5 le: Juin 03, 2008, 05:13:37 »

 


P'tit sapeur essaie encore de vendre ses poissons pas frais ... Sad   

 Wink WinkWinkWink

 

 

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kata
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #6 le: Juin 04, 2008, 12:48:27 »

 


Je crois que Kali passe a L'attaque P'Tit Sapeur.... GrinGrinGrinGrin

Je pense que la carte des Gaulois est exacte... ShockedShockedShockedetant celle que j'ai appris a L'ecole il y a tres longtemps... Roll EyesRoll Eyes

Maintenant, Uderzo a cree un equipe de Gaulois qui etaient en Normandie...

Les Belges etaient des Gaux aussi je pense que l'erreur a ete de les appeller Gaulois et non Gaux...Car bien que gaulois il venaient de differentes origines...

Je me demade si le le mot Gaux en Latin de L'epoque ne voulait pas dire etranger ou barbare...

Amitiees

Kata

 

 

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Kalimera
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #7 le: Juin 04, 2008, 06:36:12 »

 


Barbare

Étymologie

À l’origine, le terme barbare — emprunté en 1308 au latin barba russa (barbe rousse), lui-même pris au grec barbaros (« étranger ») — était un mot utilisé par les anciens Grecs pour désigner d’autres peuples n’appartenant pas à la civilisation grecque, dont ils ne parvenaient pas à comprendre le langage. Barbaros n’a à l’origine, aucune nuance péjorative, il signifie simplement « non grec » ou plus largement toute personne dont les Grecs ne comprennent pas la langue, quelqu’un qui s’exprime par onomatopées : bar-bar-bar.

[modifier] Apparition du concept dans l’Antiquité

Claude Yvon, dans l’article « Barbare (philosophie) » de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, fait remarquer que « c’est le nom que les Grecs donnaient par mépris à toutes les nations qui ne parlaient pas leur langue, ou du moins qui ne la parlaient pas aussi bien qu’eux, pour marquer l’extrême opposition qui se trouvait entre eux et les autres nations qui ne s’étaient point dépouillées de la rudesse des premiers siècles. » Il s’agissait donc au départ d’un simple critère linguistique permettant de distinguer les individus dont le langage leur apparaissait comme un babil inintelligible (« ba ba ba »), une sorte d’onomatopée, comparable au bla-bla en français, évoquant le bredouillement.

Était donc barbare celui qui au lieu de parler grec — de posséder le logos — faisait du bruit avec sa bouche. Le terme ne désignait donc pas des peuples moins «civilisés», puisqu'il était utilisé pour les Perses et les Égyptiens par exemple. En revanche, les peuples celtiques, germaniques, slaves ou encore asiatiques étaient considérés comme des barbares rustres et peu, voire pas du tout, civilisés.

Par extension, cette différence linguistique donnera une vision négative, méprisante, de l’autre, de l’étranger, qui se retrouvera dans la définition transmise par les Grecs au monde romain. Après la conquête de la Grèce, les Romains adoptèrent le terme grec et l’utilisèrent pour désigner les peuples qui entouraient leur propre monde. Était donc qualifié de barbare à Rome celui qui n’appartenait pas à la sphère culturelle gréco-romaine, quel que fût son niveau de civilisation. Ainsi, les premiers chrétiens furent qualifiés de barbares par les Grecs et les Romains[réf. nécessaire]. Ces derniers considéraient, par ailleurs, les Huns comme des « animaux à deux pieds », selon la description qu’en fit l’historien Ammien Marcellin, qui décrit leur arrivée en Europe, comme une « tornade dégringolant des montagnes »[2].

Soucieux de préserver la Gaule qu’il venait de conquérir du péril que représentaient ces peuples germaniques qu’il était parvenu à repousser au-delà du Rhin et de sauver de la barbarie une province en voie de romanisation, César, dans une digression célèbre de la Guerre des Gaules[3] brosse un portrait fort peu amène de ces envahisseurs qu’il juge incapables même de désirer la « civilisation » : impudeur physique, alimentation fruste, religion sommaire, culte de la violence et de la destruction, sont les principaux traits qu’il prête à ces populations qu’il espère maintenir à l’extérieur de l’aire romaine.

Les Romains — soumis de bonne heure à des raids sur leurs frontières — percevaient les barbares comme une menace. Après une première alerte à l’approche du Ier siècle av. J.-C. (Cimbres, Teutons), ils seront soumis cinq siècles durant à cette pression barbare, qui emportera finalement une partie de l’empire qu’ils avaient constitué et leur civilisation. La deuxième vague de ce qu’on appellera par la suite les invasions barbares a lieu au IIIe siècle (242, 253, 276), lorsque les Francs et les Alamans dévastent la Gaule, l’Espagne et l’Italie du Nord. Puis, au IVe siècle, sous la pression des Huns venus d’Asie, l’invasion va devenir massive. Les Romains, malgré l’ardeur de certains généraux comme Stilicon (d’origine germanique), ne pourront résister aux grandes invasions et seront emportés par la vague barbare qui submerge la partie occidentale de l’empire.

 

 

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #8 le: Juin 04, 2008, 06:38:47 »

 


Les cartes produites en Europe jusqu’au XVIe siècle) ont désigné le Maghreb sous le vocable de Barbarie, auquel sont pourtant associés des adjectifs différents : barbaresque et barbe, qui désigne la race de cheval qui en est originaire. Le nom du peuple berbère a la même origine, ce qui n’implique pas qu’il ait été continuellement perçu comme barbare par les européens.

Rétrospectivement, on peut donc désigner par le terme « civilisation barbare » :

    * La civilisation germanique les anciennes civilisations d’Europe du Nord, avant le franchissement du limes Rhin / Danube lors de la phase majeure des Grandes invasions :
          o Les Goths ;
          o Les Vandales ;
          o Les Huns ;
          o Les Wisigoths ;
          o Les Ostrogoths ;
          o Les Avars ;
          o Les Lombards ;
          o Les Francs ;
          o Les Suève

    * La civilisation islamique lors de sa phase d’expansion à partir du VIIIe siècle.
          o Le bassin méditerranéen médiéval [9] :
                + Les ports des Barbaresques en Méditerranée (ils furent aussi en Sardaigne et à Arles)

    * À l’époque où ils commencent à commercer avec les Japonais, aux XVIe et XVIIe siècles, les Européens sont considérés par ceux-ci comme des Namban, c’est-à-dire des « Barbares du Sud »[10].

 

 

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #9 le: Juin 04, 2008, 06:41:34 »

 




Une question de terme
Carte du Völkerwanderung ; cliquez sur l'image pour accéder à une traduction des peuples et territoires.

Pour décrire cette période, que l'on connaît encore mal, le terme de barbares est fréquemment utilisé. Les Romains et les Grecs appelaient Barbares tous ceux qui ne parlaient pas leur langue et ne partageaient pas leur modèle de civilisation, fondé sur la cité et l'écriture.

Après la chute de l'Empire romain, le clivage essentiel ne passe plus entre civilisés et Barbares, mais entre chrétiens et non-chrétiens. Cependant, les auteurs du Haut Moyen Age emploient encore parfois le terme de "Barbare", par réminiscence classique, pour désigner les populations non ou faiblement christianisées.

    * l'historiographie française a introduit les termes de :
          o Invasions barbares pour les Grandes invasions
          o Temps barbares pour la période de transition
          o Royaumes barbares pour les pouvoirs locaux établis

    afin de désigner l'état intermédiaire entre la civilisation gallo-romaine et la société féodale installée.

    * Les historiens allemands leur appliquent le terme de Völkerwanderung, Migration de peuples[2];

Si l'on opposait autrefois la France continuatrice du monde gallo-romain, et l'Allemagne violente car issue de Germains mal romanisés, cette vision, émanant de l'esprit de revanche développé après la défaite de Sedan, est aujourd'hui dépassée.

Du reste, la déliquescence de la structure impériale que fut la décadence, perçue par les historiens et ayant mené au triomphe des barbares, exerça une fascination intemporelle en référence à toute entreprise humaine colossale.

Une question de découpes

Corrélée à la question de l'emploi du terme « barbare » se trouve la question des découpes.
L'acmé de l'Empire romain se déduit de cette carte animée, à tout le moins du point de vue territorial. Graduellement se joue ici la fin du monde antique. ██ République romaine ██ Empire romain ██ Empire romain d'Occident ██ Empire romain d'Orient
L'acmé de l'Empire romain se déduit de cette carte animée, à tout le moins du point de vue territorial. Graduellement se joue ici la fin du monde antique. ██ République romaine ██ Empire romain ██ Empire romain d'Occident ██ Empire romain d'Orient

    * Autant les grandes césures entre Moyen Âge et Antiquité sont reconnues, autant sont floues et objet d'interprétation les dates charnières entre Haut Moyen Âge et Antiquité tardive, certains historiens refusant même d'y entrer en ne les employant pas[3].

    * Également, la découpe en phases pour cette période des migrations est malaisée. On peut, compte tenu de ces réserves historiographiques comme chronologiques, distinguer trois mouvements[4] :
          o la phase des invasions barbares au IIIe siècle : on est alors dans l'Antiquité tardive.
            Les peuples barbares se fédèrent au IIIe siècle. L'Empire romain doit composer pour assurer sa survie, comme il a su toujours s'adapter dans les différentes étapes de son Histoire. Cette période est contemporaine de l'anarchie militaire et laisse le limes gardé par les peuples mêmes qu'il était censé contenir lorsqu'édifié par les troupes régulières de la légion romaine ; situation dangereuse, mais les Empereurs n'avaient pas d'autre option (lire l'article sur l'anarchie militaire dans l'Empire romain).
            La Gaule est alors secouée par des incursions sporadiques de barbares.
            En 242, 253 et 276 après J.-C., la Gaule, l'Espagne et le Nord de l'Italie sont dévastés par les Francs et les Alamans. Les Saxons font des raids en Bretagne. Les Goths, par la mer Noire, font des incursions en Asie Mineure. La pression des Arabes et de l'Empire perse sassanide à l'est, celle des Maures et des Blemmyes au sud entraînent l'abandon de nombreux avant-postes.
            Rome réussit cependant à repousser les attaques et à intégrer une partie des envahisseurs comme fédérés.
            Pour se défendre, de nombreuses villes élèvent alors des murailles[5] ;
          o la phase des Grandes invasions des IVe et Ve siècles : elles provoquent la chute de l'Empire romain en Occident.
            Les grandes invasions commencent au IVe siècle, poussées par un peuple nomade jusque-là inconnu : les Huns. Ils détruisent les deux grands royaumes germains orientaux des Ostrogoths et Wisigoths.
            En 375, après avoir traversé le Danube, les Wisigoths écrasent l'armée romaine à Andrinople, ravagent les Balkans et la Grèce, puis passent en Italie. Repoussés une première fois par Stilicon en 401, ils prennent Rome et la mettent à sac en 408. Rome achète leur départ en leur offrant l'Aquitaine.
            Fuyant eux aussi les Huns, les Vandales, les Suèves et les Alains franchissent pendant l'hiver 406 le Rhin, gelé par un froid exceptionnel. Ce sont alors 150 000 hommes qui envahissent l'Empire romain en déclin par la Gaule. Les Vandales, vaincus en Espagne par les Wisigoths, passent en Afrique du Nord où ils s'établissent en 429. Les Wisigoths étendent leur domination en 412 en Aquitaine, puis en Espagne. En 430, les Francs arrivent en Gaule Belgique. En 437, les Burgondes, installés sur la rive gauche du Rhin, sont chassés par les Huns. Ils s'installent alors autour de Lyon et dans les Alpes. Les Huns cherchent à étendre leur empire vers la Gaule, puis vers l'Italie. Mais la mort de leur grand chef Attila entraîne l'éclatement de l'empire hunnique.
            Itinéraires empruntés par les colonnes d'envahisseurs durant la seconde phase des Grandes invasions , du IVe siècle au Ve siècle ;Chronologie associée.

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #10 le: Juin 04, 2008, 07:03:13 »

 


Avé, comment ont dit dans la région de Namur, tu me fait la bise ou non ?
Réponse en Wallon: Tubize ou Tubize pas ?

Du temps des BELGES de l'époque, y avait pas de cartes, quand Jules, est arrivé, c'est par hazard, il avais pas de bousole non plus;
Bref, Encore une fois, les historiens racontent ce qu'ils veulent et n'inporte quoi; encore une histoire de vase de Soisson, p'tet.

A moin d'encore une erreur, etrangers c'est pas Xeno; d'ou Xenophobe; peur des étranders.
On devrait donc dire Barbarosophobes

Quant aux Francs, battus par les romains, ils ont fuits, et sont venus ce réfugiés autours de Paris 7 villes portent leur nom, en ile de France.
Clovis, n'est devenus calotin que par intèrets papale qui la aider à agrandir son bled, pour devenir le beau pays de France " anciene Belgique "[b] Wink 

J'vais aller à l'université 3 ans, section " Histoire " j'vai en apprendre des choses !
Comme par exemple que Clovis est originaire certainement du quartier des Cloutiers à Roux; en effet Cesar aurait baptisé l'anxêtre de Clovis; sous le nom de " Cloutix "
Tien es ce que un " Clovis " n'est pas une sorte animaliaire venant de la mer; si oui mon cher Kali, c'est lui qui serait pas frais, vu le temps qu'il est mort depuis longtemps

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:49:39 par P'tit Sapeur »

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #11 le: Juin 04, 2008, 07:03:26 »

 


Quel cour d'Histoire ancienne...Bravo Kali

Kali le Roi Kaligau.... ShockedRoll Eyes

Amitiees

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Re : Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #12 le: Juin 04, 2008, 07:18:10 »

 


Citation de: kata sur Juin 04, 2008, 07:03:26

Quel cour d'Histoire ancienne...Bravo Kali

Kali le Roi Kaligau.... ShockedRoll Eyes

Amitiees

Kata


Ha ha ha ha  GrinGrinGrinGrinGrinGrin

Je retrouve un dessin d'époque  sur les barbares , il y a comme un air de connu :-))   Grin Grin

 

 

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Re : Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #13 le: Juin 04, 2008, 07:20:47 »

 


Citation de: P'tit Sapeur sur Juin 03, 2008, 05:12:30

Avé,
Les Celtes quoi que l'ont disent sont issus des Belges, donc finistère ou Roux, c'est la même chose.
Ont retrouve le dieu de la guerre Bel, chez les Celltes, Bataves et Germains.
La traduction du vieus Germaun de Belgique est !
Bel = Dieu de la Guerre.
Gigue = Char.
Donc = Bel sur son char.
son homologue Scandinave est Thor !
Et vlan pour les profs d'histoire; qui la racontent à leurs façon.
Les Cavasini; Di Rupo, etc, sont arrivé en 1946 après J.C Jules Cesar, lui il y à longtemps qu'il étais chez Mars.
Quant aux Flamands, mossieur Daniel, il existais avant les Wallons, qui c'est derniers étais une tribus assouvies à Cesar. Avant les wallons venus longtemps après; il y avais les tribus " Atrebates, Condruz, Trevire etc, tribus Germaine " Belge " instalés avant vous. Moi, je suis un Menapes et leur chef Boduogba, à battu Cesar, et grâce à ce Flamand; le Jules à dit " de tout les peuples de la Gaulle, les Belges sont les plus braves " Ara, la preuve nous on as le Lion; et vous un coq de Basse cour, qui fait le beau sur une patte, on dirait qu'avec l'autre qu'il lêve, il mendie, ara  des cloux, ils vous donnent vos ministrèlles et pipistrelles de Wallonie..
Mais on peu dire que le " peuple " Wallon est fièr sa oui, son coq sur une patte, essaye de garder l'équilibre, pour pas tomber dans le fumier, sur le quel il est dessus. sa y sait faire le zouaves, qui claironne dans sa cour tout les matins à 500 m de chez moi; et puis l'accent qu'il à; ouille, c'est pas pleut dire..
Coq; Di coq Rupo, il crie.
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Ps. Cesar ne voulait pas des Wallons, dans ses Légions, quant il à vu un coq, il à dit, " ceux la ils sont bon pour la ferme "


Bonjours a tous
Grande nouvelle l'Histoire enfin comprise par Ptit Sapeur alors que d'autre et pas des moindres durant des siècles tentait de trouver une explication sur ces Celtes.
Concernant l'origine des Celtes, deux explications extrêmes sont possibles sans qu'aucune donnée archéologique ou historique ne permette de trancher.
Soit une vague de peuplement pré-celtique ou celtique de l'Europe aurait eu lieu, se superposant à un ou plusieurs peuplements antérieurs: le problème de savoir quand et à partir de quel foyer ce peuplement se serait produit se pose alors. Soit une civilisation à proprement parler « celtique » se serait lentement développée par diffusion culturelle sur un fond de peuplement préhistorique antérieur : dans ce cas, aucun bouleversement ethnique d'importance n'aurait accompagné la « naissance » des Celtes. Évidemment, la combinaison ou la juxtaposition partielle de ces deux explications est également possible.

En tous cas, les ancêtres des Celtes, peut-être à rechercher parmi les peuples pré-celtiques, furent probablement parmi les premiers Indo-Européens à avoir remonté le Danube et peuplé la région alpine. Ces peuplades préhistoriques occupèrent durablement toute la partie occidentale de l'Europe, de l'Écosse au Nord jusqu'à l'Espagne au sud, et des Balkans à l'Est jusqu'à l'Irlande à l'ouest.

Considérant que le terme Gaulois provient des récits de conquête de Jules César, une définition restrictive des Gaulois se rapporte, pour les archéologues, à ce qui relève des régions continentales relativement proches de Rome (sur les territoires de la France, de la Belgique, de l'extrême ouest de l'Allemagne et de l'Italie du nord), et peuplées par des Celtes entre la fin du IVe siècle av. J.-C. et la fin de la conquête de la « Gaule chevelue » par Jules César (en -51).
Cette définition exclut notamment les Celtes de Bretagne et d'Irlande, les Celtes de Bohême ou Scordisques, mais inclut les Belges, les « Gaulois du midi » (soumis par Rome un siècle avant leurs voisins du nord), et les Gaulois cisalpins. Toutefois, de part les relations politiques et religieuses particulières qui unissaient les tributs de la Gaule (système de type fédératif), ainsi que les différences linguistiques constatées, cette distinction reste d'actualité.
A contrario, on regroupe sous le terme Celtes les Gaulois (y compris les Belges), les Scordisques (Celtes danubiens), les Celtibères (Celtes de la péninsule ibérique - Espagne et Portugal) les Bretons (Celtes de Grande-Bretagne), les Gallois du haut Moyen Âge, les Celtes d'Irlande ou encore, les Galates d'Asie mineure.
Les Celtes sont apparus dans l'Histoire au travers de textes postérieurs, rédigés par leurs ennemis (comme la Guerre des Gaules, de Jules César) et/ou d'après le souvenir de leurs victimes (ils assiègent le Capitole et pillent le sanctuaire panhellénique de Delphes au IVe siècle av. J.-C.), ce qui leur valut la description de barbares sanguinaires .
Il faut attendre près de deux siècles pour que - la plupart de ces peuples en mouvement s'étant déjà fixés depuis longtemps - les sources nous livrent une profusion de détails géographiques et culturels qui ne sont plus directement en relation avec le bellicisme celtique. Ainsi, les limites géographiques des peuples celtiques sont mieux connues à l'époque de la république romaine tardive (Ier siècle av. J.-C.), au moment même où les Celtes sont pris en tenaille sous les assauts conjugués des Romains et des Germains.

Voici une liste, non exhaustive, des principaux auteurs anciens qui nous renseignent sur les Celtes a la quel il ne faut pas oublier d'ajouter aujourd'hui le texte de Ptit Sapeur citer plus haut :

Hécatée de Milet (première mention historique) et Hérodote, Enquête [détail des éditions] [lire en ligne]
Polybe, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne] (livre II)
Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines [détail des éditions]  
Poseidonios (ou Posidonius, dit de Rhodes ou d'Apamée), Le Monde, L'Océan, Histoires (continuation de l'œuvre de Polybe)
Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions]
Jules César, De Bello Gallico
Tite-Live, Histoire romaine
Strabon, Géographie [détail des éditions]  (notamment inspiré par Posidonios)
Pline l'Ancien, Histoire naturelle [détail des éditions]
Lucain, La Pharsale (en particulier sur la religion)
Ammien Marcellin, Histoires, XV (reprend Timagène d'Alexandrie)
Quant au "Belges" Il n'y a pas de consensus quant à l'étymologie du mot Belge. Pourtant celle-ci semble possible: BEL+GA => *bel = objet gonflé, objet rond, pensez à balle, boule, bille, etc. Mot proto-indo-européen. Au sens figuratif: cercle, alliance. *-ga est moins sûr = (gaulois) homme armé. Belges signifierait "les hommes de l'alliance (cercle)". Le mot serait ainsi d'origine gaulois. César nous confirme l'existence d'une alliance de tribus. Possibilité differente: dérivé du verbe *belgen = se fâcher, (se) gonfler. Ce mot serait alors d'origine germanique, mais tout aussi bien dérivé du mot *bel.
Longtemps les Belges furent considérés comme un peuple gaulois, ou comme un peuple germanique dominé par une aristocratie gauloise (hypothèse suggérée par le fait que les noms des chefs belges ont des affinités avec les noms celtes et non avec les noms germaniques). Des analyses plus précises des noms de leurs tribus, de leurs chefs et de leurs dieux ont permis d'établir les hypothèses suivantes :
certaines tribus seraient authentiquement gauloises (Remi, Bellovaci, Atrebates, ...) ;
d'autres montreraient des caractères germaniques (Nervii, Aduatuci, Condruses, Menapi, Morins...) ;
certains auteurs suggèrent un troisième groupe, ni gaulois, ni germanique, avec des affinités italiques (Paemani, Menapi, Sunuci...).
On peut s'interroger sur la nature assez mystérieuse du troisième groupe. Une analyse de la toponymie de la région a permis de supposer que ceux-ci occupaient initialement l'ensemble de la région comprise entre l'Aisne et la Weser, avant de subir les pressions des Celtes et des Germains. Ce que l'on connaît de leur langue montre de nombreuses affinités avec les langues indo-européennes du sud de l'Europe, en particulier avec les langues italiques. Cela peut sembler étonnant à première vue, mais cela n'est pas du tout invraisemblable. Avant leur migration vers le sud, les Italiques devaient séjourner en Europe centrale, au voisinage des Germains et des Slaves, comme le montre le large vocabulaire commun entre ces groupes. Il n'est pas impossible qu'une partie d'entre eux ait migré vers le nord-ouest, tandis que les autres se dirigeaient vers la péninsule italienne.

A part cette troisième langue mystérieuse, cette récente interprétation linguistique suggère fortement que la Belgique antique fut déjà traversé par une frontière linguistique. L'emplacement médiévale, bien attestée, semble logique.

les Belges (du Nord) descendent de tribus ayant traversé le Rhin longtemps auparavant. Selon lui, les Belges avaient acquis une rude réputation en combattant les Germains. L'archéologie moderne pourtant contredit Caesar : les Belges étaient nullement retardés, ils ont même introduit les premières pièces de monnaie en (Grande) Bretagne .

Tacite nous révèle que les Nerviens refusaient de se faire appeler Gaulois. Cette attitude était probablement la même pour la plupart des tribus belges du nord.
Le terme Flandre et son adjectif flamand(e) possèdent des composantes géographiques, historiques, linguistiques (flamand), culturelles (et identitaires). Ils désignent donc, suivant le contexte, des réalités connexes mais distinctes.
Étymologie : (IIe siècle av. J.-C.) Flaumandrum terres (suff. anc. germ. -andrum) inondées (anc. germ. flauma, frison flâm). Le mot désigne les marais côtiers et de l'estuaire de l'Escaut.
Le nom Wallon vient de Walh, un très vieux mot germanique qui était utilisé par les Germains pour désigner les populations celtophones ou romanes. Selon les régions, Walh s'est transformé, notamment par des emprunts dans d'autres langues, et son sens a été réduit. C'est le cas de Wallon qui fut créé dans le roman avec d'autres termes apparentés mais il les a vite supplantés. Le wallon fait partie des langues d'oïl mais s'en distingue à la fois par son archaïsme venant du latin et par une influence significative des langues germaniques qui s'exprime dans sa phonétique, son lexique et sa grammaire.La conquête de la Gaule par Jules César détermine la romanisation de l'espace correspondant à la Wallonie actuelle, devenue enclave latine dans les pays germaniques au Haut Moyen Âge. Dans ce cadre, s'épanouit l'Art mosan (800-1600).

Le Coq hardi est un meuble héraldique.Ce meuble est un coq levant la dextre, c'est-à-dire la patte droite levée.
Il fut choisi en 1913 par Pierre Paulus pour figurer sur le drapeau de la Wallonie. Il y est appelé coq wallon.
Ceci dit Ptit Sapeur tu renie tes Ancêtres quoique que né a Brugge tu n'en est pas moins issus d'une Famille selon tes dires de Courcelles en plein Pays de Charleroi et le reste disséminé en Wallonnie et oui mon vieux c'est pas a un vieux singe que l'on apprend a faire des grimaces  Roll Eyes GrinGrinGrinGrin
Sans rancunes mon faux petit Flamand mais quand même comme moi Belge avant tout GrinGrinGrinGrinGrinGrinet quoique tu en dit d'origine Celtique selon l'histoire  Roll Eyes Roll EyesRoll EyesRoll EyesRoll EyesRoll EyesGrinGrinGrinGrinGrinGrin

Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : j'espère que le sujet intérresseras nos Amis Français qui on en commun pratiquement la même histoire Hé OUI Ptit Sapeur les Français ont aussi des Flamands Chez eux ShockedShockedRoll EyesRoll EyesGrinGrinGrinGrin













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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #14 le: Juin 04, 2008, 07:38:38 »

 


Avé les amis,

Bien sur que les français ont aussi des flamands et cela depuis que Louis IVX; nous à piqué Dunkerque; le Nord et la Picardie; voir même le Pas de Calais.
A mon avis cet région est né d'un vieus patois qui en réalité voulait dire " Pas de Français " car sa calait entre eux " A monn texte plus haut j'ai fait un p'tit rajout.

Quant aux cartes la véritable origines est celle si.
Crèer pour les officiers qui ne savait pas lirent; la preuve ont dit toujours ' lire une carte " alors que l'ont regarde des dessins, les nots marqué en réalité etais pour eux des hyréogriphes codé, pas des "écrits" détrompés vous. Comme sa tout le monde croyais qu'ils savent lire. c'est pour cela qu'ils parlent de cartes.
Le 1er qui à su ' lire " une carte c'est un Romain, il à su comment decrypter le corps de sa femme; il à vu un Légionnaire sur sa femme et cet exclamé ' La Légion à pris possésion du ' mont de Venus "

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:43:15 par P'tit Sapeur »

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Re : Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #15 le: Juin 04, 2008, 07:41:06 »

 


Citation de: P'tit Sapeur sur Juin 04, 2008, 07:03:13

Avé, comment ont dit dans la région de Namur, tu me fait la bise ou non ?
Réponse en Wallon: Tubize ou Tubize pas ?

[b]Du temps des BELGES de l'époque, y avait pas de cartes, quand Jules, est arrivé, c'est par hazard, il avais pas de bousole non plus;
Bref, Encore une fois, les historiens racontent ce qu'ils veulent et n'inporte quoi; encore une histoire de vase de Soisson, p'tet.
A moin d'encore une erreur, etrangers c'est pas Xeno; d'ou Xenophobe; peur des étranders.
On devrait donc dire Barbarosophobes Huh?

Quant aux Francs, battus par les romains, ils ont fuits, et sont venus ce réfugiés autours de Paris 7 villes portent leur nom, en ile de France.
Clovis, n'est devenus calotin que par intèrets papale qui la aider à agrandir son bled, pour devenir le beau pays de France " anciene Belgique "[b] Wink 

J'vais aller à l'université 3 ans, section " Histoire " j'vai en apprendre des choses !
Comme par exemple que Clovis est originaire certainement du quartier des Cloutiers à Roux; en effet Cesar aurait baptisé l'anxêtre de Clovis; sous le nom de " Cloutix "
Tien es ce que un " Clocis " n'est pas une sorte animaliaire venant de la mer; si oui mon cher Kali, c'est lui qui serait pas frais, vu le temps qu'il est mort depuis longtemps/b]


Bonjours a tous
Comme tu est d'humeur contestataire tu te trompe en affirmant (voir plus haut) que les cartes n'existaient pas en voici un résumé :
Les Romains semblent avoir complété la connaissance du monde indo-méditerranéen et d'Europe occidentale dans le cadre des besoins de l'Empire, mais ne paraissent pas avoir apporté de progrès théorique imortant. Il est vrai que nous n'avons de leur oeuvre cartographique qu'un seul témoin, les tables de Peutinger.
La table de Peutinger est l'ancêtre des cartes routières. Elle représente schématiquement les principales routes de l'Empire Romain.
C'est une reproduction probablement très inexacte de la fin du XIIème siècle d'une copie réalisée vers 350 dont l'original est plus ancien. Cette carte a été découverte au début du XVIème siècle à Worms et confiée à Konrad Peutinger qui la publia.
L'estuaire de la Gironde est représenté en foncé (on peut lire -difficilement - "sinus aquitanicus" c'est à dire "la baie d'Aquitaine").
Les doubles tours représentent une étape importante : on reconnaît ici Burtegalo (Bordeaux), Vesonna (Périgueux), Aginnum (Agen), etc...
Les tracés rouges représentent les routes avec, en chiffres romains, les distances en milles (1mille romain = 1478,5 m)
Sont également mentionnées des peuplades importantes : Bituriges, Cadurci (région de Cahors), etc...
pour ce qui est de la Cartographie Les hommes ont utilisé des cartes depuis la plus lointaine antiquité, probablement avant même l'invention de l'écriture. Certains dessins découverts dans des grottes préhistoriques pourraient bien constituer des croquis de leurs territoires.
Plus pratiques, on retrouve dès 30 siècles avant notre ère, des tablettes d'argiles sur lesquelles étaient gravées des itinéraires. La carte se présente ainsi, à la fois comme un objet utilitaire ; les Phéniciens décrivent ainsi précisement les côtes qu'ils fréquentent mais aussi un objet conceptuel ; une représentation du monde.
Bon j'arrète là il y aurais encore beaucoup a dire mais cela c'est une autre histoire  Roll Eyes Roll EyesRoll Eyes

Amitié Légio More Majorum
Daniel



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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #16 le: Juin 04, 2008, 07:51:53 »

 


A propos de Konrad Peutinger


Konrad ou Conrad Peutinger (Augsburg, 14 octobre 1465 - 28 décembre 1547) était un humaniste et amateur d'antiquités allemand.

Peutinger est un intime de l'empereur Maximilien d'Autriche. Il est aussi l'un des premiers à publier des inscriptions romaines. Son nom reste associé principalement à la Table de Peutinger, copie d'une carte ancienne montrant l'Empire romain et les routes militaires qui le traversent. Il avait hérité la carte au décès de son ami Conrad Celtes (Konrad Bickel, 1549-1608), le bibliothécaire de Maximilien, qui prétendait l'avoir découverte dans la bibliothèque en 1494. Peutinger aurait voulu publier cette carte, mais il mourut avant de mener cette tâche à bien. La Table de Peutinger fut finalement publiée en 1753 par F. de Scheyb. Peutinger a auss publié la Historia Gothorum de Jordanes, and the Historia gentis Langobardorum de Paulus Diaconus. Konrad Peutinger est aussi connu sous le pseudonyme de [Paul Ruzo]. Pseudonyme employé par Antonio de Beatis lorsque celui-ci rédigea le Voyage du cardinal d'Aragon en 1517.



Un autre humaniste et poète allemand, Konrad Celtis (1459 1508), lui lègue un document extrêmement précieux, une carte routière romaine, qu'il avait découvert à Spire (Rhénanie) en 1494. Peutinger s'apprête à le publier lorsque la mort le surprend, en 1547. Cette « table » - probablement la copie du XIIIe siècle d'une carte exécutée sous Théodose II, au Ve siècle après Jésus-Christ- qui donne le tracé de toutes les routes militaires de l'Empire romain d'Orient. La « Table de Peutinger» sera finalement publiée en 1591.

La Table de Peutinger (Tabula Peutingeriana) aussi appelée Table Théodosienne est une carte qui représente l'ensemble de l'empire romain. Le document conservé à la Bibliothèque de Vienne (Autriche) est un original médiéval (XII siècle) réalisé à l'époque par copie d'un document plus ancien dessiné à Constantinople qui remonterait au 4e siècle à l'époque de l'empire romain sous le règne de Theodosius..La Table de Peutinger se présente sous la forme d'un rouleau de près de 7 m de long et 34 cm de large, découpée en 12 morceaux dont l'un a disparu

http://hannibal-dans-les-alpes.com/05-hannibal-route.htm

Dans cet échantillon du Fac-similé ( miller, 1887) de la Table de Peutinger représentant la Provence et la vallée du Rhône, on remarque aisément l'estuaire du Rhône (Ostia Flumine Rodani), la ville d'Arles (Arelato), Lyon, double tour dans le coin en haut et à droite, le confluent du Rhône et de la Durance, le port de Fos-sur-Mer (Fossis Marianis) et le bâtiment en demi-cercle qui matérialise le premier port de Gaule

 

 

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #17 le: Juin 04, 2008, 08:02:02 »

 


Je prend le commentaire de P'tit sapeur comme une insulte... Roll EyesShockedShockedGrinGrinGrinGrinGrinCheesyCheesy

Les officiers ne savant pas lire les cartes... GrinGrinGrin

Les officiers ne marche jamais dans les rangs car il ne sont pas des anes.... GrinGrinGrinGrin

Et les cartes de batailles c'etait pour les planques... GrinGrinGrin

Et puis la Belgique appartenait a la France il y a tres tres tres longtemps...( A voir Asterix chez les Belges.... ShockedGrinGrinGrin)

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #18 le: Juin 04, 2008, 08:10:09 »

 


Attention!! un Celte ..tique    GrinGrin

Pour parler d'eux:

ORIGINE probable : Europe centrale (Allemagne du sud, Bohème, régions danubiennes).
Époque : env. -2000 ans
Mille ans plus tard, époque dite de HALLSTAD (Autriche) qui est le point de départ de 800 ans d'expansion celtique.

CHRONOLOGIE:
Il y a 5000 ans (donc -3000 av.JC), des changements majeurs s'opèrent dans les steppes russes, un climat plus sec, une aridité accrue fait migrer la population vers la HONGRIE. (on remarque que la langue hongroise n'est pas une langue slave). Le cheval est parfaitement maîtrisé et nous sommes dans la transition de l'âge du bronze à l'âge du fer.

Vers -800, période dite de HALLSTAD (Autriche) ; première ère du développement celte. A cette époque, le sel était une denrée qui revêtait une grande importance (ce terme est resté de nos jours dans le mot "salaire"), et le village de "ALLEIN" (qui veut dire sel en gaëlique) a été le centre de découvertes préhistoriques, notamment d'une nécropole de l'âge du fer et d'urnes richement décorées contenant des restes incinérés. Selon la classe sociale et l'époque, les morts seront incinérés ou enterrés.

Il y a 25 ans (vers 1975) une tombe est mise à jour dans la région de STUTTGART. Il s'agit d'une tombe d'un important dignitaire datée de -500 av JC, très richement décorée d'objet en or (qui en atteste donc son travail) et dans laquelle on trouve également un char.

Marseille est un important lieu d'échange avec les Grecs et se développe, avec le commerce, vont de pair les richesses et le début de guerres intestines…, construction de forts (fort de VIX).

Fin de cette première période vers -500 ans av. JC.

PERIODE de LA TENE (SUISSE)
A la suite d'une baisse de niveau du lac de Genève, des fouilles ont organisées ; elles mettent au jour de nombreuses armes en fer et d'objet décorés d'or en motifs tourbillonnants, créatures fantastiques d'une grande complexité.
Ces tribus étaient constituées d'environ 300 000 hommes.
Commence à cette époque l'invasion de l'Italie, jusqu'à Rome (bataille d'Allia), les forces Etrusques sont battues.
Un siècle plus tard, attaque de Delphes (Grèce), mais suite à un tremblement de terre, ils se retirent.

Chez les celtes britanniques, on retrouve une spécificité régionale (insulaire ?), et on pense que ce style s'est développé indépendamment du continent.
Mais comment le gaëlique celte est-il arrivé là ? La langue celtique remonte sans doute au néolithique et les communications commerciales entre continent et les îles ont contribués à la connaissance de la langue (comme cela se pratique aujourd'hui…).
Les grands thèmes se retrouvent, les métaux précieux richement décorés (torque, boucliers).
La même constatation peut se faire en Irlande, le monde Celte présente donc à la fois des traits communs et particuliers jusqu'en Espagne.
Les artisans voyageaient-ils ?

Nous sommes en –300 av JC, 200 ans plus tard, l'ennemi sera ROME…
L'équilibre bascule devant les celtes désorganisés et c'est le « début de la fin des Celtes continentaux » ; l'influence celte sur le continent est complètement éteinte vers le 5ème s., mais heureusement toute trace n'a pas disparu…
En Europe continentale, la trace (visible) des civilisations celtes a complètement disparu vers le VIIIème siècle.

Par contre, sur les îles, les traditions celtes allaient perdurer, et ce, malgré une occupation romaine… plus courte et moins influente que chez nous (seulement 1/3 du territoire pendant 400 ans).
Forte influence du druidisme dont il reste des traditions mélangées aux traditions chrétiennes ; les saint « Celtes » comme Patrick sont considérés comme des « sages ».
Après le départ des Romains, les Pictes (ancêtres des highlanders ) attaquent les basses-terres. Mais les habitants de celles-ci s'organisent et importent des « mercenaires » (des Angles et des Saxons), et leurs cèdent des territoires en récompense (l'Angleterre d'aujourd'hui).
La légende d'ARTHUR évoque les combats contre ces nouveaux envahisseurs…
Les « victorieux » imposent leur langue, l'Anglais. On note que peu de mots Gallois ou Brittons sont passés dans l'Anglais, les autochtones furent repoussés à l'ouest (pays de Galles, Galles=Wales et Wal= exilé, étranger, « mis à part ») et au sud (Cornouailles), voire s'exilent en « petite Bretagne » (France) où l'on peut retrouver des similitudes de langage.

Après le 5ème siècle, naissance du « christianisme celte », monastères celtes et premiers écrit dont le célèbre manuscrit des « KELLS » (les quatres évangiles).
La tension est croissante entre les « chrétiens-celtes » et les « chrétiens » (intégristes !?), notamment le problème de la fixation de la date de Pâques, qui fait mener une campagne au « chrétiens » auxquels se rallient les Anglais et construction de la cathédrale de Canterburry. Les Celtes perdent du terrain…

Aujourd'hui, les « celtes » britanniques sont-ils les héritiers génétiques de ces tribus Huh
Des expériences les plus contemporaines ont été menée sur les gènes des Gallois (et d'autres Britanniques), comparés avec les gènes des os retrouvés sur les sites celtes d'Europe centrale…
Les analyses montrent seulement un clivage est-ouest de la Grande-Bretagne (l'est étant lui-même un mélange Danois-Allemand-Hollandais-Français, et l'ouest par les peuples plus atlantiques, Espagne, Portugal, …Bretagne ?)

Nous remarquons un renouveau de l'identité celte, le Pays de Galles a son parlement, l'Ecosse vient de voter à 80% pour son indépendance parlementaire, l'école, la langue, la culture est de plus en plus mise à l'honneur, voire recherchées (et le pouvoir …), les « continentaux » recherchent (et trouvent !) leurs racines celtes, chez nous, les Nerviens, Ménapes, Trévires, Eburons et autres Ambiani…ont heureusement laissés des traces indélébiles de leur civilisation, leur mode de vie ou leur langage qui, malgré une « romanisation » outrancière, garde de nombreux traits pour qui se hasarde à les rechercher.

L'homme trouverait-il là un point commun à tant de diversité Huh

s Musiques Celtes

I nitialement, le terme de "musique celtique" ne décrit pas un style, mais les différentes musiques pratiquées par des pays ayant conservé vivante, ou vivante jusqu'à il y a peu, une langue héritée des Celtes. L'on ne parlait jusqu'à il y a relativement peu de temps que de : l'Ecosse, de l'Ile de Man, l'Irlande, le Pays de Galles, les Cornouailles et de la Bretagne.

Que les berceaux de deux grandes étapes de la "Civilisation Celtique", celle du Halstatt (-800) et celle de La Tène (-100) se situent au Tyrol et en Suisse ne confère pas aux musiques de ces région et pays le qualificatif de "Celtique".

Pourtant ont finalement rejoint le cercle très fermé de ces "pays" si particuliers : La Galice et Les Asturies, deux provinces du Nord de l'Espagne. Les critères requis sont donc plutôt subtils et l'on doit accepter de parler de "Musiques Celtiques" tant les diversités et interpénétrations sont nombreuses.

Et sous l'impulsion de festivals tels que celui de Lorient, les portent s'ouvrent tout naturellement aux régions et nations à forte densité d'immigrants et descendants d'immigrants d'origine de cet ouest si reculé.

Il n'est donc plus étonnant de voir défiler des Australiens, des Acadiens, des Canadiens, des groupes venus de Hong Kong, des Québécois, des Néo Zélandais et autre déclinaison de cette Grande Famille Celte ouverte sur le monde.


Nous avons d'ailleurs un descendant qui a retrouvé une partie  de ses origines en Australie  WinkWinkWink

 

 

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #19 le: Juin 04, 2008, 08:17:42 »

 


Géographie ancienne historique . Un livre a lire



Prendre le temps qu'il s'installe

 

 

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Re : Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #20 le: Juin 04, 2008, 08:19:01 »

 


Citation de: kata sur Juin 04, 2008, 08:02:02

Je prend le commentaire de P'tit sapeur comme une insulte... Roll EyesShockedShockedGrinGrinGrinGrinGrinCheesyCheesy

Les officiers ne savant pas lire les cartes... GrinGrinGrin

Les officiers ne marche jamais dans les rangs car il ne sont pas des anes.... GrinGrinGrinGrin

Et les cartes de batailles c'etait pour les planques... GrinGrinGrin

Et puis la Belgique appartenait a la France il y a tres tres tres longtemps...( A voir Asterix chez les Belges.... ShockedGrinGrinGrin)

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Bonjours a tous
Oui Mon Lieutenant Ptit Sapeur comme je le disais dans d'autre posts est d'humeur contestataire avec des exces notament je cite :
Quant aux cartes la véritable origines est celle si.
Crèer pour les officiers qui ne savait pas lirent; la preuve ont dit toujours ' lire une carte " alors que l'ont regarde des dessins, les nots marqué en réalité etais pour eux des hyréogriphes codé, pas des "écrits" détrompés vous. Comme sa tout le monde croyais qu'ils savent lire. c'est pour cela qu'ils parlent de cartes.

alors je méttrais la définition de lire : Du latin lĕgĕre (« lire », « rassembler »). Interpréter des informations écrites sous forme de mots ou de dessins sur un support  Roll Eyes Roll EyesRoll EyesRoll Eyesil y a aussi :lire sur les lèvres, lire entre les lignes ,lire en diagonale  Grin GrinGrinGrinGrinGrinGrin

Amitiés Légio More majorum
Daniel

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 08:21:05 par dwnvg »

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #21 le: Juin 04, 2008, 08:24:00 »

 


Mon Pauvre P'Tit sapeur .... Roll EyesShockedGrinGrinGrin
Tu en prends plein la poire..... GrinGrinGrin

Ils en profitemt qu'il te faut une loupe pour lire les salauds.... Roll EyesGrinGrinGrinGrinGrin

Actuellement je me regale a lire les commentaires cela m'ouvre un coin historique oublie depuis longtemps car nous avons une histoire c'est pas comme certain pays ..... GrinGrinGrinGrinRoll EyesRoll Eyes

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #22 le: Juin 04, 2008, 11:10:58 »

 


Avé,
Moi, je suis MDR; tous le monde tombe dans les pièges à P'tit sapeur !!!
En tout cas Daniel; ton Peutinger; déscendant de Pétinger sans doute; il n'est pas né sous cesar avec ses cartes donc !
tien j'ai pas vu Roux; dessus..
Et ton explication de llire " rassenbler " légère etc.. des dessins et bien les écrits egyptiens sont des dessins les hiéorogriphes, ara.
Mon Lieutenant, si moi j'ai besoin d'une loupe; faut apprendre à lire entre les lignes, cela ne concernee pas les officiers de la Colo et Légion.
Donc vous n'ettes pas concerné; jamais les officiers colo et Légion, et puis de toute façon c'étais pas méchant puisque tourné en blague..

Le bonjour à Cloutix de Roux..
Et à Elicefix de florenne..

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 11:12:48 par P'tit Sapeur »

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #23 le: Juin 04, 2008, 11:29:07 »

 


P'Tit Sapeur,
Je n'ai jamais doute de tes blagues et j'en rigole... ShockedShockedGrinGrin

Ce que je veux dire c'est que Kali et Daniel t'ont assassine avec des details sur Les Gaulois, Belge et Cesar...Cela est une belle exposition historique... GrinGrinGrinGrin

Je me suis fendu la peche pendant un bon moment et cela m'a remonte un peu le moral de mes ennuis quotidiens de paternitee.... Roll EyesShockedCheesyCheesy

Je ne me vexe jamais de tes plaisanteries ou celles de Kali ou de Daniel...Je suis impermeable.... GrinGrinGrinGrin

C'est ca les copains de savoir apprecier la bonne companie et surtout de pouvoir plaisanter... CoolCoolCool

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #24 le: Juin 04, 2008, 01:37:59 »

 


Mon Lieutenant, même à deux ils arrivent pas à me coincés. [
Et oui c'est comme cela le bon peuple BELGE, on aime blaguer même quant tout va mal.
Je suis un drôle de BELGE; avec ma descendance de Viking d'ancien Danemark; et morceau actuel devenu Suede.cela de part ma généalogiie paternelle.
Mais du coté maternelle BELGE; et avant les Francs en plus.
D'ailleurs y à des BELGE et Français qui on changé stupidement de nom; de Lefranc en Euro.
La révolution à raccourci ma famille; si j'avais étés présent quant Clovis ést arrivé, c'est moi qui l'aurait raccourci avant; pour évité cet revolution.
Ara..
Je ne conteste pas l'histoire de Kali et Daniel; mais les BELGES, existais bien avant les tribus qu'ils site, le nom de Belgique est venu aussi avant, mais l'ont ne parlait pas de pays à l'époque, même Rome n'était pas un pays et l'Italie n'existais pas. On disait, ici nous rentrons en Germanie, ou encore en Germanie Belge, territoire Celtes ou Bataves par exemple. C'est cartes qui sont venues apprès.
Les cartographes accompagnant les armées sont aussi venu apprès.
Je regarde tout les jours une chaîne Tv BELGE, d'histoire, très compétantes et intègres, concernant toutes les époques sans distinctions j'ai donc eu l'occasion de voir le Jules de Rome, sous sa vrais face, De Gaulle doit êtres sa réincarnation vu son nom. Le fameus Cesar à voler bien des gloires à ses généraux, dont certains quant ils ne finisait pas dans les arênes, aux galères, dans une garnison oubliées; assassinés la seule chance de ne pas finir comme cela c'était de la fermer et " Obeirs " Des témoignages longtemps ignorés commence à sortir; d'on la cruauté qu'il maniais avec un certain plaisir sadique; il haissait comme la grande Zoa, toutes personnes lui barant le chemin, sa haine allais même contre ceux qui le battais sur le terrain, et malheurs aux chefs qui ce faisait prendre à Alésia, la Cavalerie de secour arrivé fut défaites " malheureusemt ' tous les chefs capturés furent massacrés odieusement. Sa vie n'étais qu'hypocrisies et lacheté humaine, et dire que je suis né en 1952, et que lui à étés assassine 1900 avant ma naissance, étranges point commun d'autant plus que la St Yves c'est le 19, en enlevant les deux 00, vous tomber à 1952, différance de siecle 19 er l'annés 52. Même si cela parait idiot tout ces chiffres que je je vous exposes parfois, mais souvent ils amênent à des drôles de coincidences bizares, mais ne suit pas un peu de ces fous, imaginatifs illuminés ?
Wink

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 01:47:31 par P'tit Sapeur »

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #25 le: Juin 04, 2008, 02:59:27 »

 


Bonjours a tous
que dire si ce n'est un cas typique de Psychanalyse qui rendrais chèvre S.Freud lui même  ou encore Nietzsche Roll EyesRoll EyesRoll Eyes
La psychanalyse n'est pas qu'un ensemble théorique, une métapsychologie, c'est également une méthode d'exploration du psychisme humain. Cette méthode peut être appliquée afin d'étudier des œuvres d'art, des philosophies, etc. L'exploration du psychisme ,L'analyse des actes du quotidien : Les lapsus, les oublis, les négligences : ces actes manqués traduisent un conflit psychique qui met en jeu une tendance consciente et une autre, pré-consciente ou inconsciente, qui vient troubler le déroulement normal de la première. L'observation de ces tendances contradictoires permet de rendre vraisemblable l'hypothèse de l'inconscient de Ptit Sapeur .Le mot d'esprit, ou trait d'esprit, est une réplique fine et subtile, pas toujours bien intentionnée,Au roi Louis XVI qui dit à Rivarol : – On raconte que vous faites des mots d'esprit sur tout. Faites-en un à mon sujet, ce dernier répond : – Sire, le roi n'est pas un sujet.  Roll Eyes Roll EyesRoll EyesRoll EyesAuparavant, l'on utilisait dans le domaine littéraire le mot esprit, que l'on retrouve dans des expressions comme « avoir de l'esprit » ou « trait d'esprit ». L'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide et pince-sans-rire, que l'on constate facilement chez des auteurs du siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.J'ajouterais ici que Ptit Sapeur aime polémiquer,Le terme de polémique (du grec πολεμικός, polêmikôs « qui concerne la guerre », « disposé à la guerre», « batailleur, querelleur ») fait aujourd'hui l'objet d'emplois multiples.Si le polémique est la guerre en puissance, la polémique en serait son expression: discours tendant au totalitarisme, expulsant l'Autre dans l'interdit. Roll EyesRoll EyesShockedShockedShockedUne satire est une œuvre dont l'objectif est de critiquer son sujet (des individus, des organisations, des États, etc.), souvent dans l'intention de provoquer ou prévenir un changement. On attribue généralement la paternité de ce genre littéraire (satura, c'est-à-dire « pot-pourri ») au poète et dramaturge archaïque latin Lucilius IIIe siècle av. J.-C.
Les sociétés celtes pensaient que les satires des bardes avaient un effet physique similaire à un sort (voir glam dicinn).
Donc pour résumer on peut dire que la mauvaise foi patente de notre Ami Ptit Sapeur qui nous dit qu'il le fait exprès mais néenmoins insite pour faire passer ses idées contestataires  résumer en ceci : Moi j'ai raison les autres se trompes cela me semble t'il s'appel :Ego est un substantif tiré du pronom personnel latin ego (« moi »). Il désigne généralement la représentation et la conscience que l'on a de soi-même. Il est tantôt considéré comme le fondement de la personnalité L’ego serait, selon certains auteurs, l'équivalent psychologique de la conscience, au sens philosophique. Mais à la réflexion, un ego est un je, au sens cartésien : un je qui perçoit des informations, les traite ou en exprime. Ce qui peut nous amener à dire, dans une conception platonicienne de la conscience de soi, que l'ego est un je sans la conscience.

voila Ptit Sapeur je t'envois ma facture la carte SIS te rembourseras  Grin GrinGrinGrinGrinGrinGrinGrin

Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : L' Humour c'est la plus haute des réalisations des défenses. Réponse soulignant les aspects amusants et ironiques des conflits, permet de prendre une distance par rapport aux choses







 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 03:19:06 par dwnvg »

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dwnvg
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #26 le: Juin 04, 2008, 03:47:14 »

 


Bonjours a tous
prtite documentation
Amitiés légio More Majorum
Dainel



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Kalimera
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #27 le: Juin 04, 2008, 04:10:47 »

 


Comment fonctionne l'égo ?

L'ego est notre fonctionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance. Le comprendre, c'est la clé d'une approche spirituelle !
Lama Denys Teundroup est un instructeur bouddhiste français et il dirige le centre d'études bouddhiques Karma Ling ( près de Grenoble). Se fondant sur le Dharma du Bouddha il nous explique les fondements de l'ego et les méthodes qui peuvent nous en libérer sans violence.

L'ego est le " moi je ", ce sentiment d'exister comme un individu indépendant avec les relations qui dérivent de cette impression.
L'expérience d'ego est de vivre toute perception par rapport à cet objet observateur-sujet.
L'ego a une appétence fondamentale : un désir d'existence et de plaisir, qui se traduit en pulsions de possession, de rejet et d'indifférence. Ce fonctionnement se manifeste ainsi par des attitudes passionnelles d'attraction, de répulsion ou d'indifférence, développées face aux personnes, aux choses, ou aux situations auxquelles l'ego est confronté : " je " veux ce qui est bon, " je " ne veux pas ce qui est mauvais, " je " ne veut pas être exposé à ce qui m'est indifférent. Ces appétits de l'ego le font s'engager dans toutes sortes de lutte pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est désagréable.
Malheureusement et paradoxalement, au lieu d'aboutir à ses fins, sa lutte lui crée des désagréments, conditionnements et souffrances ! Ce fonctionnement de l'ego est notre conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance.

Qu'est-ce que l'ego ?
Fondamentalement , l'ego n'est rien qu'une impression : ce sentiment que l'on a " d'être " et " d'avoir " un ego ne repose sur rien, c'est simplement une illusion. En effet, l'ego n'est pas " quelque chose " qui aurait une existence indépendante et autonome, c'est un processus dynamique qui, dans son fonctionnement, produit le sentiment d'individualité. C'est pourquoi l'ego est dit " vide d'existence propre " : cette impression n'existe que dans la combinaison des facteurs interdépendants qui la constituent.

La conception de l'ego
Les facteurs interdépendants qui constituent l'ego sont nombreux. Au départ, l'ego est une polarité sujet-objet dans laquelle, comme dans toute polarité, les deux pôles subsistent dans la relation qui les pose l'un par rapport à l'autre. Plus précisément, cette polarité qu'est l'ego se structure dans un processus de saisie, d'appréhension des expériences. En fait, l'esprit est fondamentalement une fonction cognitive dans laquelle vient se greffer la saisie de l'ego. Cette saisie constitutive de la polarité sujet-objet est une conception, une saisie conceptuelle. Ainsi, la conception conçoit le sujet et l'objet. Il est significatif de remarquer que " conception " exprime simultanément l'action de concevoir et celle de donner naissance. On pourrait dire : " le sujet se conçoit concevant l'objet qu'il conçoit " ! Il y a là matière à quelques paradoxes et méditations…
En tout cas, la conception est un processus qui pose le sujet et l'objet l'un par rapport à l'autre, dans la dualité sujet-objet. Cette saisie génère, au rythme de ses conceptions successives, des instants de conscience dualiste sujet-objet.
Ces instants se succèdent rapidement et font simultanément l'expérience de séries " d 'événements sujet " et " d'événements objet ". La fréquence élevée de ces événements donne l'impression d'une continuité du sujet et de continuité d'expérience, comme apparaît l'impression de mouvement continue du cinéma lorsque les images de la pellicule défilent suffisamment vite. C'est ainsi qu'apparaît l'impression de continuité du " moi-sujet " et de " ses expériences ". La " continuité-sujet ", n'ayant pas notion de la relation qui l'unit à la " continuité de ses expériences ", se vit comme indépendante.

L'impression d'ego individuel se développe, acquérant le sentiment d'être autonome et indépendant. Puis, elle s'identifie à une forme avec un nom, se dotant d'un sentiment d'identité. Le nom, ce label qui la désigne, parachève son impression d'exister et finit de réifier l'ego.
Tout ce processus constitue quelques aspects de la nature de la perception de l'ego. Décrit ainsi, cela paraît abstrait et théorique, mais c'est quelque chose qu'on découvre concrètement dans l'expérience de la méditation assise qui a ainsi un pouvoir libérateur des illusions de l'ego.

Non-violence du travail avec l'ego

dessin de DeepaUne mauvaise compréhension de la nature de l'ego peut nous faire considérer celui-ci comme un " ennemi " à détruire. Ce n'est pas la bonne attitude, d'abord parce qu'il n'y a pas à détruire quelque chose qui n'existe qu'illusoirement, mais simplement à reconnaître son illusion.
De plus, dans un tel combat, qui lutterait contre l'ego si ce n'est " moi, je " donc l'ego lui-même ? Cela reviendrait à essayer de terrasser son ombre. Plus son tente de nier l'ego ou de le combattre agressivement, plus on renforce son agitation et sa puissance. Il s'agit d'être réaliste :nier l'ego ou refuser d'avoir des passions serait illusoire.
Il ne s'agit donc pas de s'engager dans une lutte. Au lieu de résoudre les difficultés, cela les renforcerait ? mais de se réconcilier avec soi-même et d'accepter l'ego avec ses passions. Cette acceptation permet ensuite de travailler avec lui, et finalement, de le dépasser par la réalisation de sa nature.

Bien sûr, accepter l'ego et ses émotions ne signifie pas s'y complaire et abonder dans leur sens. La réconciliation avec soi-même, l'acceptation de l'ego, permet de travailler sur celui-ci. Il devient la matière première du travail non violent, non agressif, qu'est la méditation, celle-ci nous permettant de transformer nos attitudes passionnelles et finalement de les dissoudre.

Les cinq constituants de l'ego

Le Bouddha a enseigné la formation de l'ego à partir de ses cinq constituants, " skandha ", en sanscrit. On peut les expliquer comme cinq étapes. Avant la naissance de l'ego, au départ, l'esprit dans l'instant premier est le terrain fondamental de l'énergie pure non dualiste, sans connaisseur ni connu, ouvert et dégagé, sans centre, ni périphérie, comme l'espace.
La naissance de l'illusion est d'abord celle d'une différenciation : l'espace commence à être perçu, à exister comme quelque chose pour une observation qui le perçoit, une distinction naît. C'est le début de la scission sujet-objet, la naissance de la dualité. En fait, cette différenciation initiale peut se constituer par rapport à n'importe quel point de référence dans les domaines des différentes facultés sensorielles : visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile ou mentale. Cette référence première est appelée " forme ". C'est le premier stade de l'ego : le skandha de la forme.

Une forme visuelle est n'importe quelle représentation du domaine visuel, par exemple, l'espace indéfini mais distinct, ou un morceau d'espace délimité, un contour, une référence visible quelle qu'elle soit. Mais à ce niveau initial, c'est une expérience nue, dépouillée de concept et de tout jugement. C'est une vision toute simple et silencieuse. Une forme sonore serait une vibration avant que cette résonance ne soit reconnue, avant même que l'on ait pris par rapport à elle une position qualifiée, et avant qu'elle ait été nommée, identifiée, et qu'elle n'ait pris un sens particulier.

dessin de DeepaLa seconde étape est ce qu'on appelle skandha de la sensation. Il s'agit d'une prise de position par rapport à l'expérience initiale de forme. Celle-ci est maintenant sentie comme positive, négative ou neutre. Il y a ainsi des sensations agréables, désagréables ou indifférentes. LA sensation est simplement ce positionnement, cette première impression.
La troisième étape fait intervenir l'identification. C'est-à-dire que la forme qui a été sentie est maintenant reconnue et un nom lui est donné : il y a " nomination " ou conceptualisation. La sensation prend alors un sens. C'est le skandha de la perception. A la quatrième étape, il y a une réaction devant cet objet identifié, devenu porteur d'un sens qui est suggère une action ou une réaction. Il s'instaure une relation avec cette forme sentie et identifiée. Cette relation est conditionnée par différentes tendances ou " facteurs mentaux " latents qui sont les éléments animant volonté et impulsions. C'est le skandha des formations mentales ou de la motivation.
Il y a ainsi une situation en laquelle une forme a été sentie, nommée, a acquis un sens, par rapport auquel prend place une réaction ou une action.
L'observateur, le témoin de la situation qui s'est ainsi mise en place, s'est développé et structuré dans les quatre premiers skandhas.
Sa fixation sur cette situation comme étant " son " expérience, finit de le solidifier. Il s'approprie complètement l'expérience, il en résulte un état de conscience pleinement constitué. L'ego est, et vit, dans le monde particulier qui s'est ainsi constitué et qui est devenu un état de conscience complètement organisé. C'est la cinquième étape, le skandha de la conscience.
Cette structuration de l'ego par la formation des cinq skandhas : forme, sensation, perception, motivation, et conscience, se répètent d'instant de conscience en instant de conscience.
Chacun de ses instants subsiste très brièvement puis disparaît, suivi par l'apparition d'un autre instant de conscience. A la fin de chacun de ses instants, il y a une sorte de dissolution ou de mort de l'ego et de ses constituants, et au début de chacun d'eux il y a agrégation, naissance de ceux-ci. Il y a ainsi en permanence agrégation et désagrégation de l'ego ; structuration, déstructuration et restructuration. Le phénomène se reproduit sans cesse. C'est ainsi que fonctionne l'ego. Et c'est ce processus de naissance et de mort qui constitue chaque instant de notre vie.

Lama Denys - extrait de l'ouvrage paru chez Albin Michel "Le Dharma et la vie".


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Kalimera
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #28 le: Juin 04, 2008, 04:15:21 »

 


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La négation de l'ego ne peut-elle pas conduire au désespoir des individus ?

les occidentaux ne peuvent pas ne pas se la poser, eux pour qui l'ego est le fondement du sujet, de sa liberté et de son libre arbitre. Ce n'est pas l'ego en tant que composante de la personnalité qui est en cause, c'est la place centrale donnée à l'ego dans la perception que le sujet a de lui-même qui est en cause. Le moi, la personnalité du sujet sont autant de composantes du sujet et sont aussi indispensables que nécessaires. Cette place centrale, omniprésente, dominante, loin d'être alors une source de liberté, peut-être une source de souffrance (dukkha). Bien sûr l'ego est un élément important au plan émotionnel, aussi bien qu'intellectuel, mais le bouddhisme pense que l'attachement à l'ego est une erreur. Il n'est pas question de déstructurer le sujet, de le déstabiliser, de l'affaiblir, au contraire.

Vous voyez, le bouddhisme n'est pas un manichéisme, qui dirait dans une sorte d'opposition : "c'est le moi qui est responsable, donc il faut nier le moi, éradiquer le moi, supprimer le moi ". Si certains courants de pensée tiennent peu ou prou ce discours, ce n'est absolument pas le discours du bouddhisme. Le moi, est admirable, il est précieux, il est utile et nécessaire, il construit le sujet dans sa spécificité, il lui apporte son identité et le consolide. Il n'est évidemment pas question ni de le nier, ni de le réduire, ni de l'effacer. Mais, le moi, n'est qu'un reflet, qu'une dimension mentale qui remplit une fonction bien précise. Mais, le moi, n'a pas la toute puissance qu'on lui prête, le moi n'a pas la durabilité qu'on lui attribue, le moi n'a pas l'omniprésence que l'on croit. Non, le moi est aussi illusoire, impermanent, conditionné. Le moi est nécessaire, utile, estimable, mais il a aussi les qualités de l'éphémère et du transitoire. Ce n'est pas une faiblesse de le reconnaître, c'est, pensent les Asiatiques, une force que de le savoir et de l'interpréter de cette manière.

Le bouddhisme ne nie pas le moi, le bouddhisme ne nie pas l'ego, le bouddhisme ne nie pas le corps. Si vous niez ces éléments (comme le font certains autres courants de pensée qui considèrent que le corps est porteur de choses mauvaises), alors vous arrivez inévitablement aux extrémités que vous évoquez. Le bouddhisme, et c'est sans doute là l'une de ses nombreuses originalités, ne nie pas les réalités. Pour le bouddhisme, le corps existe, les pulsions existent, l'ego existe, le moi existe. Et pour le bouddhisme ces constituants ne sont ni bons, ni mauvais. Le bouddhisme tend simplement à la connaissance parfaite des mécanismes qui nous gouvernent, pour que justement leurs emprises soient moins fortes et que notre compréhension de ces phénomènes nous permette de nous en libérer et d'échapper à la souffrance (le bouddhisme préfère le terme dukkha) qui résulte habituellement de nos émotions, de nos réactions, de nos inclinations …

Il s'agit ainsi de considérer l'ego et le moi pour ce qu'ils sont. C'est la découverte de la nature particulière du moi (qui est à la fois structurant et limité) qui est facteur de tranquillité et de stabilité. C'est la découverte du caractère illusoire et trompeur des qualités supposées du moi qui sont facteurs de force personnelle. Au contraire, la négation de ces réalités ou bien la croyance en des qualités que le moi, l'ego, le sujet, le corps n'ont pas, sont facteurs de souffrance (dukkha). C'est l'inobtention de ce qui est désiré qui est facteur de désespoir, c'est le fait de se trouver avec des personnes avec lesquelles on n'a aucune affinité qui est facteur de désespoir, c'est le fait d'être éloigné de personnes avec qui ont à des affinités profondes qui est facteur de désespoir, c'est le fait de vieillir, de sentir son corps s'affaiblir, de lire sur ses traits la marque dure des années qui est facteur de désespoir … (revoyez donc l'exposé de la première des quatre nobles vérités).

La société de consommation actuelle développe à son maximum la satisfaction immédiate des besoins et des désirs individuels. Elle va bien au delà, elle va jusqu'à les provoquer, les susciter, les encourager par un renouvellement perpétuel des produits, des marques, des objets, toutes choses qui stimulent l'individualisme dans ce qu'il a de plus primaire, c'est à dire l'appropriation personnelle. Cette dimension d'appropriation n'est pas forcément structurante et engendre une véritable aliénation au besoin d'acheter, de posséder, d'avoir (je ne parle même pas du gaspillage général que tout cela engendre et qui posent d'autres questions en termes écologiques, notamment). Il n'est qu'à voir le manque de politesse et de civilité quand on se promène dans un supermarché ou dans les grands magasins aux heures de pointes, je ne parle pas de ces images choquantes où les gens se battent pour s'arracher une Play Station dernier cri. Trouvez-vous tout cela exemplaire en terme de société ? Trouvez-vous que la notion de société a ici encore un sens ? Il n'est qu'à voir la précipitation de pans entiers de cette société dont vous parlez qui se ruent pour faire de stocks de denrées au moment de la guerre du Golfe ou des événements du Kosovo. Ne trouvez-vous pas que le "chacun pour soi" déjà latent, prend alors des proportions démesurées et renvoie une image de la société bien hideuse. N'êtes vous pas surpris que dès que des incidents se produisent (privation d'électricité suite à la tempête de décembre 1999, par exemple) les gens se montrent totalement incapables de s'éclairer à la bougie, de se chauffer au bois, de se priver de télévision plus d'une journée … et se mettent à pousser des lamentations pires que celles des mères du golfe du Bengale après les moussons, ou celles des paysans birmans en but à la sécheresse ? Ne croyez-vous pas que cette satisfaction tout azimut de l'ego conduit nos sociétés vers des dangers aussi grands que ceux que vous évoquez dans votre question ?

Il n'y a pas de devoirs dans le bouddhisme. En particulier, il n'y a pas de devoirs que certains seraient censés endosser pour les autres. Le seul devoir, il est vis-à-vis de vous-même et il consiste à accroître votre connaissance des mécanismes naturels à l'œuvre dans le sujet. La question de la compassion que vous esquissez est plus complexe et devrait être exposée plus en détail. En fait, personne ne demande à personne de la compassion, le bouddhisme n'investit personne d'une quelconque mission de compassion envers qui que ce soit.

L'impermanence est une donnée fondamentale du bouddhisme qui est issue de l'observation stricte du vivant. Dans le monde vivant, non seulement tout est conditionné (composé d'éléments, c'est la loi des cinq agrégats), mais aussi, et par le fait même, tout est impermanent. Dans le vivant, il y a naissance, croissance, décroissance, fin et disparition. C'est une loi générale, elle n'est ni bonne, ni mauvaise, ni favorable, ni défavorable, elle est et c'est tout.

 

 

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Kalimera
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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #29 le: Juin 04, 2008, 04:15:53 »

 


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Faut-il éliminer l'ego?



      Q: La notion d'ego me semble très difficile à comprendre.

LAMA DENIS TEUNDROUP. Dans le langage contemporain de la spiritualité, on parle énormément d'ego, ce qui est certainement important car l'ego est au coeur du problème. Mais on voit fréquemment l'ego devenir le mauvais, le vilain et, avec quelques tendances culturelles, on irait même jusqu'à dire le démon, ce qui sans être tout à fait inexact amène cependant d'énormes difficultés dans la relation que l'on entretient à soi-même. S'identifiant à l'ego, on devient le mauvais, le vilain et, dans cette relation à soi-même, se développe alors une approche qui a facilement tendance à devenir dépréciative et autoagressive. On réprime l'ego sans se rendre compte que celui qui réprime est précisément l'ego. On arrive à cette situation paradoxale que la répression de l'ego entretient l'ego et qu'une certaine forme de lutte anti-égotique nourrit le problème contre lequel on souhaite justement lutter. Ce qui suggère que la lutte et la répression (comme dans beaucoup d'autres cas!) ne sont pas la bonne méthode et que, dans le travail avec soi, il est nécessaire de dépasser cette approche répressive et de développer une attitude de douceur et d'acceptation. Mais cette douceur, cette acceptation ne sont pas du tout une attitude de permissivité, de laxisme complaisant où l'on s'autoriserait tout ce qui se présente sans discernement.

D'une façon générale, ce problème de l'ego existe en Orient comme en Occident. Néanmoins, il s'avère beaucoup plus précis et fort dans le contexte occidental. Cela peut s'expliquer par l'exacerbation de l'ego, l'attitude de compétitivité intense qui règne en Occident mais aussi par notre héritage culturel et traditionnel. En effet, notre passé est imprégné de culture chrétienne avec tout ce que celle-ci a tendance à véhiculer comme dénégation de soi sous une forme dépréciative, auto-agressive et à la limite mortifiante.

Une autre difficulté vient de la transmission du dharma en Occident et de sa traduction qui a été très influencée par la mentalité occidentale ambiante. Sans entrer dans une discussion trop technique, on peut faire remarquer que le concept de da en tibétain, atman en sanscrit, que l'on traduit dans beaucoup de cas par ego, certaines fois par soi, a un domaine de signification très étendu. On rencontre dans celui-ci les notions de " je ", de " moi ", d' "ego ", de " soi ", d' " âme ", d' " être " et même de " Soi ". Notre expérience " moi, je ", ce que je suis dans mon expérience empirique actuelle participe d'une double nature authentique et illusoire. Notre expérience n'est ni totalement authentique ni totalement illusoire: suivant sa qualité, elle est plus ou moins authentique, plus ou moins illusoire dans un enchevêtrement de réalité et d'illusion constante. Notre expérience habituelle est la version duelle, dualiste que la conscience habituelle produit sur la base de l'expérience primordiale non dualiste de la claire lumière.

L'important est ici de voir que, dans cette expérience de " moi, je ", il y a cette double nature authentique et illusoire, non dualiste et duelle. C'est une notion traditionnelle qui passe difficilement dans la terminologie occidentale. Une possibilité pour résoudre cette difficulté est de considérer que " moi, je " est constitué de ces deux éléments authentique et illusoire et d'appeler, d'une part, la présence authentique telle qu'elle est en nous-mêmes le " soi " et, d'autre part, d'appeler " ego " le voilage, la perception illusoire des formes qui masquent l'authentique. Dans cette perspective, " moi, je " est une imbrication de qualités authentiques émergeant de notre nature profonde. C'est le cas de l'amour, de la compassion, de la confiance véritable qui sont l'expression de la présence en nous de la nature de bouddha alors que l'ego est la tendance dualiste, duelle et conflictuelle qui opère dans les passions en termes d'attraction, de répulsion, d'indifférence. D'où les émotions conflictuelles qui filtrent, masquent, voilent et interfèrent avec la nature de bouddha. Dans cette perspective, la pratique n'est pas la lutte, la répression de l'ego, mais la reconnaissance des qualités authentiques présentes en nous. Elle consiste, dans une attitude de douceur et de détente, à s'ouvrir à ces qualités authentiques, à notre soi en laissant tomber les fixations de l'ego.

 

 

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Sujet: Cesar ce trompe !  (Lu 400 fois)

 

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Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #30 le: Juin 04, 2008, 06:15:42 »

 


Avé les amis

Donc si je comprend bien; j'ai toujours raison; et pas les autres; même quant je marque plus haut " Je ne conteste pas Daniel et Kali " bizare cela ? Temps pire si l'on ne comprend pas que je défend un patrimoine qui est notre et " arrangés " par les historiens comme bon leur semble. De toute façon les enfants n'apprenent plus l'histoire à l'école.
Je ne crois êtres quelqu'un qui flatte son ego; mais si on le dit; c'est que c'est vrais; y n'a que dire l'on ce fait pas soi même; la solution serait pour le tuer et de me mettre une balle dans la tempe, mais la je pense que je me raterait mon égo me ferait rater, il est plus fort que moi. Me pendre pour lui faire rendre goerge peut être; mais si je réussit que vais je devenir ?  ShockedRoll Eyes
Quant à l'humour chez moi, certains disent qu'il peut êtres noir; cinique, tranchant, contre ceux que je n(aime pas; je ne le nie pas, je n'aime pas cette race de gens qui dirigent l'histoire à leur façon, il est vrais que j'aime critiqués cette race de parvenus que l'ont fait passer pour des bons; et si vous leur gratter un peu la peau, le vrais personnage ce revele, les faits par exemple contre cesar; que je revele; on ne l'apprenait même pas à l'école, Je ne fait que repeter ce que l'histoire ma appris dans des émissions Tv. Comme par exemple que le Senat romain " ordonnait " aux écrivains sous peine de mort; de reveler les tiurpitudes de certains pour ne pas salir la splendeur de Rome.Certains l'on fait; et précieucement cachés, les Archéologues en on trouvés; tous sans signatures, devinez pourquoi ? Des que cela c'est su, les historiens adepte du julius cesarius triomphatus magnanius, on réussi à faire un bliokus contre les vérites.Maintenant qu'ils sont morts, des jeunes historiens n'hésite pas à sortirs ces vérités. Alors des gars comme moi; dévoilant aussi certaines vérités devient " un type qui ce complaint dans la critique " Je ne suit pas plus malin qu'un autre même si mon ego le croit ! Je peu si on le dit être un êtres totalitaire mais alors c'est des gens que je critiques que je jetterai dans le camp de l'arbitraire, pas les gens que j'estime ou neutres, alors je serait défini comme un contestataire totalitaire, ce qui ne me derange nullement si c'est le cas. ce soir par exemple je vais regardez " les secrets d' Archimède " hier j'ai regarde " les oublies d'une guerre " encore des vérités pas bonne à dire; mais doit je le faire au prix de me faire passé pour un contrersé de l'histoire. On le sait l'histoire à étés longtemps " étoufée " et qu'importe le prix à payer si elle doit êtres dite dabs sa vérité, et sa c'est pas mon égo, qui le dit. J'ai un humour " barbare " on ma aussi dit, parfois même pas lourd, mais très lourds, d'autres le disent incompréhensible; méchant, agresif, certains vont plus loint comme tyranique, autoritaire, et j'en passe; et m'en fou, non je mentirai, je dit tout simplement que l'humour quelqu'il soit ne peut êtres compris que comme on le veut, si mon humour heutes des personnes c'est que ces personnes sont concernées, et que sans le faire exprès j'ai graté un peu sa première peau, et le personnage ce découvre, la est aussi une vérité, si l'humour et je ne sait comment lui donner un nom, tourne en joute de mots sans animosités, alors la peau un peu grattée revelera peut être un personnage rester trop longtemps seul; ou qui ne ce connaisait pas; alors il entame un dialogue " créatif " avec un parfait inconnu, voir des parfait inconnus et la ce trouve la base d'une nouvellle societé " créative ". S'il n"y avait pas des personnages provoquants des faits, le monde serait monotone et triste. Il est vrais que je sait êtres sacarstique, mais qui ne l'est pas nom plus. Si la phrase " ils n'arrivent pas à deux pour me coincés " à étés mal prise, je m'en excuse, mais c'est pas dans le but du ' moi; je suis le meilleur " non c'est mon personnage provocateur de débat, même humouristique peut êtres '' coustique " cet fois qui c'est exclamé; mais jamais le dénigreur ou plus que tous; non sa jamais.
Zodiaqualement; je suis un Taureau, signe protecteur de la terre, et défendeurs de cette terre, têtu, mais réputé sans rentré dans le totalitarismme; un idologiste, pouvant passer d'un extreme pouvant passé à l'acte violent pour defendre cette terre, mais ses idiologies qui parfois place trop haut; mais il sera toujours sincerres dans ce qu'il entreprend; et souvent il ce sentira imcompris, mais il n'en fait pas un complexe. Chez les jaune je suis un Dragon; et ces derniers sont généralement considerés comme d'habille hommes d'affaires; la c'est pas mon cas, sauf question famille. Mais ils sont aussi réputés pour leur humour décrits plus haut.
Bref, j'en arrête la ! " êtres ou ne pas êtres ". Ne croyez pas que je suit vexer, du ou des jugements sur mon compte, loin de la, bien du contraire.
Au fait dans ma " satyre " c'est des chiffres que je parlait et ses coincidences bizares.
L'humour est toute à chacun interprétés à sa façon; bonne ou mauvaise.
Amitiés Legio.

 

« Dernière édition: Juin 04, 2008, 06:20:16 par P'tit Sapeur »

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Veritas - Fidelitas

 

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