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P'tit
Sapeur
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Mon devoir, la mémoire !
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César
ce trompe !
« le: Juin 03, 2008, 02:49:13 »
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Voici
une carte des gaules; moi je la conteste, les véritables Gaulois, étant
bien qu'homogène étais un peuple d'Italie " actuel " la preuve
Hannibal; traversa les Alpes; et trouva tantôt des Gaulois amis, tantôt ennemis.
En ce qui nous concernes; c'est César qui nous appela ainsi. Nous sommes
Belges, Cermains, Celtes et Bataves, rien à voir avec le latin de jules
& consort.
De plus il étais reconnu que césar exagérait sur les frontières qu'il
déplacait à ses besoins.
César n'a pas battus " ses " Gaulois des Alpes; alors comme il
nous à battus; pour faire bonne figure auprès de Rome, il écrivit qu’ils
avais " enfin " battus les Gaulois. la ce sont des faits qui s'affirme
de plus en plus.
http://www.lexilogos.com/gaulois_peuples_carte.htm
Obelix de BabaOrhum à Cesar qui ce trompe..
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:50:57 par P'tit
Sapeur »
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Veritas - Fidelitas
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DIPLO
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #1 le: Juin 03, 2008, 04:01:34 »
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Je me
flatte, P'tit Sapeur , d'être un descendant des Nerviens qui tinrent la
dragée haute à César. La seule tribu qui lui donna du fils à retordre et
à un doigt de le battre!!!L'histoire d'Astérisque le breton est une
sacrée farce. Le vrai Babaorum est à Thuin.
Amicalement, DIPLO
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Journalisée
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dwnvg
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #2 le: Juin 03, 2008, 04:18:58 »
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Bonjours
a tous
Ouille ouille ouille comme on dit chez nous vla ti pas que not Ptit
Sapeur est en pleine contestation par Toutatis , il nous refait MAI 68 (
en 2008 ) et oui il est plus d'accord avec l'histoire que se soit celle
de 14/18 et les écrits Français et maintenant vla ti pas que notre brave
Jules Cesar en prend pleins la poire avec ses écrits , heureusement que
quoique en Belgique je suis un pur Celte Finistérien de par le sang de
mes Aieux vous savez là ou se trouve soit disant les farouches Gaulois
Astérix
et Obélix et oui on peut ré écrire l'histoire
et
que mes écrit ne sont pas encore tomber sur la censure de l'irréductibles
Flamand oh pardon cela n'éxistait pas encore dans cette région qui se
cherche une identitée parmis les Nerviens ,les Atrébates ,les Ambiens,
les Séquanes , les Éburons , et je terminerais par les Viromanduens
et j'en passe et des meilleurs
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : merçi DIPLO tout n'est pas perdu
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daniel_bd58.gif
(28.05 KB, 135x157 - vu 41 fois.)
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DIPLO
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #3 le: Juin 03, 2008, 04:29:39 »
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Aïe,
aïe,aïe
DIPLO
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P'tit
Sapeur
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Mon devoir, la mémoire !
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #4 le: Juin 03, 2008, 05:12:30 »
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Avé,
Les Celtes quoi que l'ont disent sont issus des Belges, donc finistère ou
Roux, c'est la même chose.
Ont retrouve le dieu de la guerre Bel, chez les Celltes, Bataves et
Germains.
La traduction du vieus Germaun de Belgique est !
Bel = Dieu de la Guerre.
Gigue = Char.
Donc = Bel sur son char.
son homologue Scandinave est Thor !
Et vlan pour les profs d'histoire; qui la racontent à leurs façon.
Les Cavasini; Di Rupo, etc, sont arrivé en 1946 après J.C Jules Cesar,
lui il y à longtemps qu'il étais chez Mars.
Quant aux Flamands, mossieur Daniel, il existais avant les Wallons, qui
c'est derniers étais une tribus asservis à Cesar. Avant les wallons venus
longtemps après; il y avais les tribus " Atrebates, Condruz, Trevire
etc, tribus Germaine " Belge " instalés avant vous. Moi, je
suis un Menapes et leur chef Boduogna, à battu Cesar, et grâce à ce
Flamand; le Jules à dit " de tout les peuples de la Gaulle, les
Belges sont les plus braves " Ara, la preuve nous on as le Lion; et
vous un coq de Basse cour, qui fait le beau sur une patte, on dirait
qu'avec l'autre qu'il lêve, il mendie, ara des cloux, ils vous
donnent vos ministrèlles et pipistrelles de Wallonie..
Mais on peu dire que le " peuple " Wallon est fièr sa oui, son
coq sur une patte, essaye de garder l'équilibre, pour pas tomber dans le
fumier, sur le quel il est dessus. sa y sait faire le zouaves, qui
claironne dans sa cour tout les matins à 500 m de chez moi; et puis
l'accent qu'il à; ouille, c'est pas pleut dire..
Coq; Di coq Rupo, il crie.
Ps. Cesar ne voulait pas des Wallons, dans ses Légions, quant il à vu
un coq, il à dit, " ceux la ils sont bon pour la ferme "
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 06:39:50 par P'tit
Sapeur »
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Journalisée
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Veritas - Fidelitas
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #5 le: Juin 03, 2008, 05:13:37 »
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P'tit
sapeur essaie encore de vendre ses poissons pas frais ...
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Journalisée
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #7 le: Juin 04, 2008, 06:36:12 »
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Barbare
Étymologie
À l’origine, le terme barbare — emprunté en 1308 au latin barba russa
(barbe rousse), lui-même pris au grec barbaros (« étranger ») — était un
mot utilisé par les anciens Grecs pour désigner d’autres peuples
n’appartenant pas à la civilisation grecque, dont ils ne parvenaient pas
à comprendre le langage. Barbaros n’a à l’origine, aucune nuance
péjorative, il signifie simplement « non grec » ou plus largement toute
personne dont les Grecs ne comprennent pas la langue, quelqu’un qui
s’exprime par onomatopées : bar-bar-bar.
[modifier] Apparition du concept dans l’Antiquité
Claude Yvon, dans l’article « Barbare (philosophie) » de l’Encyclopédie
de Diderot et d’Alembert, fait remarquer que « c’est le nom que les Grecs
donnaient par mépris à toutes les nations qui ne parlaient pas leur
langue, ou du moins qui ne la parlaient pas aussi bien qu’eux, pour
marquer l’extrême opposition qui se trouvait entre eux et les autres
nations qui ne s’étaient point dépouillées de la rudesse des premiers
siècles. » Il s’agissait donc au départ d’un simple critère linguistique
permettant de distinguer les individus dont le langage leur apparaissait
comme un babil inintelligible (« ba ba ba »), une sorte d’onomatopée,
comparable au bla-bla en français, évoquant le bredouillement.
Était donc barbare celui qui au lieu de parler grec — de posséder le
logos — faisait du bruit avec sa bouche. Le terme ne désignait donc pas
des peuples moins «civilisés», puisqu'il était utilisé pour les Perses et
les Égyptiens par exemple. En revanche, les peuples celtiques,
germaniques, slaves ou encore asiatiques étaient considérés comme des
barbares rustres et peu, voire pas du tout, civilisés.
Par extension, cette différence linguistique donnera une vision négative,
méprisante, de l’autre, de l’étranger, qui se retrouvera dans la
définition transmise par les Grecs au monde romain. Après la conquête de
la Grèce, les Romains adoptèrent le terme grec et l’utilisèrent pour
désigner les peuples qui entouraient leur propre monde. Était donc
qualifié de barbare à Rome celui qui n’appartenait pas à la sphère
culturelle gréco-romaine, quel que fût son niveau de civilisation. Ainsi,
les premiers chrétiens furent qualifiés de barbares par les Grecs et les
Romains[réf. nécessaire]. Ces derniers considéraient, par ailleurs, les
Huns comme des « animaux à deux pieds », selon la description qu’en fit
l’historien Ammien Marcellin, qui décrit leur arrivée en Europe, comme
une « tornade dégringolant des montagnes »[2].
Soucieux de préserver la Gaule qu’il venait de conquérir du péril que
représentaient ces peuples germaniques qu’il était parvenu à repousser
au-delà du Rhin et de sauver de la barbarie une province en voie de
romanisation, César, dans une digression célèbre de la Guerre des
Gaules[3] brosse un portrait fort peu amène de ces envahisseurs qu’il juge
incapables même de désirer la « civilisation » : impudeur physique,
alimentation fruste, religion sommaire, culte de la violence et de la
destruction, sont les principaux traits qu’il prête à ces populations
qu’il espère maintenir à l’extérieur de l’aire romaine.
Les Romains — soumis de bonne heure à des raids sur leurs frontières —
percevaient les barbares comme une menace. Après une première alerte à
l’approche du Ier siècle av. J.-C. (Cimbres, Teutons), ils seront soumis
cinq siècles durant à cette pression barbare, qui emportera finalement
une partie de l’empire qu’ils avaient constitué et leur civilisation. La
deuxième vague de ce qu’on appellera par la suite les invasions barbares
a lieu au IIIe siècle (242, 253, 276), lorsque les Francs et les Alamans
dévastent la Gaule, l’Espagne et l’Italie du Nord. Puis, au IVe siècle,
sous la pression des Huns venus d’Asie, l’invasion va devenir massive.
Les Romains, malgré l’ardeur de certains généraux comme Stilicon
(d’origine germanique), ne pourront résister aux grandes invasions et
seront emportés par la vague barbare qui submerge la partie occidentale
de l’empire.
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #8 le: Juin 04, 2008, 06:38:47 »
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Les
cartes produites en Europe jusqu’au XVIe siècle) ont désigné le Maghreb
sous le vocable de Barbarie, auquel sont pourtant associés des adjectifs
différents : barbaresque et barbe, qui désigne la race de cheval qui en
est originaire. Le nom du peuple berbère a la même origine, ce qui
n’implique pas qu’il ait été continuellement perçu comme barbare par les
européens.
Rétrospectivement, on peut donc désigner par le terme « civilisation
barbare » :
* La civilisation germanique les anciennes civilisations
d’Europe du Nord, avant le franchissement du limes Rhin / Danube lors de
la phase majeure des Grandes invasions :
o Les Goths ;
o Les Vandales ;
o Les Huns ;
o Les Wisigoths ;
o Les Ostrogoths ;
o Les Avars ;
o Les Lombards ;
o Les Francs ;
o Les Suève
* La civilisation islamique lors de sa phase d’expansion à
partir du VIIIe siècle.
o Le bassin méditerranéen médiéval [9]
:
+ Les ports des
Barbaresques en Méditerranée (ils furent aussi en Sardaigne et à Arles)
* À l’époque où ils commencent à commercer avec les
Japonais, aux XVIe et XVIIe siècles, les Européens sont considérés par
ceux-ci comme des Namban, c’est-à-dire des « Barbares du Sud »[10].
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Journalisée
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #9 le: Juin 04, 2008, 06:41:34 »
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Une question de terme
Carte du Völkerwanderung ; cliquez sur l'image pour accéder à une
traduction des peuples et territoires.
Pour décrire cette période, que l'on connaît encore mal, le terme de
barbares est fréquemment utilisé. Les Romains et les Grecs appelaient
Barbares tous ceux qui ne parlaient pas leur langue et ne partageaient
pas leur modèle de civilisation, fondé sur la cité et l'écriture.
Après la chute de l'Empire romain, le clivage essentiel ne passe plus
entre civilisés et Barbares, mais entre chrétiens et non-chrétiens.
Cependant, les auteurs du Haut Moyen Age emploient encore parfois le
terme de "Barbare", par réminiscence classique, pour désigner
les populations non ou faiblement christianisées.
* l'historiographie française a introduit les termes de :
o Invasions barbares pour les Grandes
invasions
o Temps barbares pour la période de
transition
o Royaumes barbares pour les pouvoirs
locaux établis
afin de désigner l'état intermédiaire entre la civilisation
gallo-romaine et la société féodale installée.
* Les historiens allemands leur appliquent le terme de
Völkerwanderung, Migration de peuples[2];
Si l'on opposait autrefois la France continuatrice du monde gallo-romain,
et l'Allemagne violente car issue de Germains mal romanisés, cette
vision, émanant de l'esprit de revanche développé après la défaite de
Sedan, est aujourd'hui dépassée.
Du reste, la déliquescence de la structure impériale que fut la décadence,
perçue par les historiens et ayant mené au triomphe des barbares, exerça
une fascination intemporelle en référence à toute entreprise humaine
colossale.
Une question de découpes
Corrélée à la question de l'emploi du terme « barbare » se trouve la question
des découpes.
L'acmé de l'Empire romain se déduit de cette carte animée, à tout le
moins du point de vue territorial. Graduellement se joue ici la fin du
monde antique. ██ République romaine ██ Empire
romain ██ Empire romain d'Occident ██ Empire
romain d'Orient
L'acmé de l'Empire romain se déduit de cette carte animée, à tout le
moins du point de vue territorial. Graduellement se joue ici la fin du
monde antique. ██ République romaine ██ Empire
romain ██ Empire romain d'Occident ██ Empire
romain d'Orient
* Autant les grandes césures entre Moyen Âge et Antiquité
sont reconnues, autant sont floues et objet d'interprétation les dates
charnières entre Haut Moyen Âge et Antiquité tardive, certains historiens
refusant même d'y entrer en ne les employant pas[3].
* Également, la découpe en phases pour cette période des
migrations est malaisée. On peut, compte tenu de ces réserves
historiographiques comme chronologiques, distinguer trois mouvements[4] :
o la phase des invasions barbares au
IIIe siècle : on est alors dans l'Antiquité tardive.
Les peuples barbares se
fédèrent au IIIe siècle. L'Empire romain doit composer pour assurer sa
survie, comme il a su toujours s'adapter dans les différentes étapes de
son Histoire. Cette période est contemporaine de l'anarchie militaire et
laisse le limes gardé par les peuples mêmes qu'il était censé contenir
lorsqu'édifié par les troupes régulières de la légion romaine ; situation
dangereuse, mais les Empereurs n'avaient pas d'autre option (lire
l'article sur l'anarchie militaire dans l'Empire romain).
La Gaule est alors secouée par
des incursions sporadiques de barbares.
En 242, 253 et 276 après J.-C.,
la Gaule, l'Espagne et le Nord de l'Italie sont dévastés par les Francs
et les Alamans. Les Saxons font des raids en Bretagne. Les Goths, par la
mer Noire, font des incursions en Asie Mineure. La pression des Arabes et
de l'Empire perse sassanide à l'est, celle des Maures et des Blemmyes au
sud entraînent l'abandon de nombreux avant-postes.
Rome réussit cependant à
repousser les attaques et à intégrer une partie des envahisseurs comme
fédérés.
Pour se défendre, de nombreuses
villes élèvent alors des murailles[5] ;
o la phase des Grandes invasions des
IVe et Ve siècles : elles provoquent la chute de l'Empire romain en
Occident.
Les grandes invasions
commencent au IVe siècle, poussées par un peuple nomade jusque-là inconnu
: les Huns. Ils détruisent les deux grands royaumes germains orientaux
des Ostrogoths et Wisigoths.
En 375, après avoir traversé le
Danube, les Wisigoths écrasent l'armée romaine à Andrinople, ravagent les
Balkans et la Grèce, puis passent en Italie. Repoussés une première fois
par Stilicon en 401, ils prennent Rome et la mettent à sac en 408. Rome
achète leur départ en leur offrant l'Aquitaine.
Fuyant eux aussi les Huns, les
Vandales, les Suèves et les Alains franchissent pendant l'hiver 406 le
Rhin, gelé par un froid exceptionnel. Ce sont alors 150 000 hommes qui
envahissent l'Empire romain en déclin par la Gaule. Les Vandales, vaincus
en Espagne par les Wisigoths, passent en Afrique du Nord où ils
s'établissent en 429. Les Wisigoths étendent leur domination en 412 en
Aquitaine, puis en Espagne. En 430, les Francs arrivent en Gaule
Belgique. En 437, les Burgondes, installés sur la rive gauche du Rhin,
sont chassés par les Huns. Ils s'installent alors autour de Lyon et dans
les Alpes. Les Huns cherchent à étendre leur empire vers la Gaule, puis
vers l'Italie. Mais la mort de leur grand chef Attila entraîne
l'éclatement de l'empire hunnique.
Itinéraires empruntés par les
colonnes d'envahisseurs durant la seconde phase des Grandes invasions ,
du IVe siècle au Ve siècle ;Chronologie associée.
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Journalisée
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P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5233
Mon devoir, la mémoire !
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #10 le: Juin 04, 2008, 07:03:13
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Avé,
comment ont dit dans la région de Namur, tu me fait la bise ou non ?
Réponse en Wallon: Tubize ou Tubize pas ?
Du temps des BELGES de l'époque, y avait pas de cartes, quand Jules, est
arrivé, c'est par hazard, il avais pas de bousole non plus;
Bref, Encore une fois, les historiens racontent ce qu'ils veulent et
n'inporte quoi; encore une histoire de vase de Soisson, p'tet.
A moin d'encore une erreur, etrangers c'est pas Xeno; d'ou Xenophobe;
peur des étranders.
On devrait donc dire Barbarosophobes
Quant aux Francs, battus par les romains, ils ont fuits, et sont venus ce
réfugiés autours de Paris 7 villes portent leur nom, en ile de France.
Clovis, n'est devenus calotin que par intèrets papale qui la aider à
agrandir son bled, pour devenir le beau pays de France " anciene
Belgique "[b]
J'vais aller à l'université 3 ans, section " Histoire " j'vai
en apprendre des choses !
Comme par exemple que Clovis est originaire certainement du quartier des
Cloutiers à Roux; en effet Cesar aurait baptisé l'anxêtre de Clovis; sous
le nom de " Cloutix "
Tien es ce que un " Clovis " n'est pas une sorte animaliaire
venant de la mer; si oui mon cher Kali, c'est lui qui serait pas frais,
vu le temps qu'il est mort depuis longtemps
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:49:39 par P'tit
Sapeur »
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Journalisée
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Veritas - Fidelitas
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kata
Ordre de la Grenade. Métal.
Messages: 1524
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #11 le: Juin 04, 2008, 07:03:26
»
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Quel
cour d'Histoire ancienne...Bravo Kali
Kali le Roi Kaligau....
Amitiees
Kata
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Journalisée
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Les Lions deviennent des Agneaux
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Kalimera
Invité
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Re
: Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #12 le: Juin 04, 2008, 07:18:10
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Citation de: kata sur Juin 04, 2008, 07:03:26
Quel cour
d'Histoire ancienne...Bravo Kali
Kali le Roi Kaligau....
Amitiees
Kata
Ha ha ha ha
Je retrouve un dessin d'époque sur les barbares , il y a comme un
air de connu :-))
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Journalisée
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dwnvg
Invité
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Re :
Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #13 le: Juin 04, 2008, 07:20:47
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Citation de: P'tit Sapeur sur Juin 03, 2008, 05:12:30
Avé,
Les Celtes quoi que l'ont disent sont issus des Belges, donc finistère ou
Roux, c'est la même chose.
Ont retrouve le dieu de la guerre Bel, chez les Celltes, Bataves et
Germains.
La traduction du vieus Germaun de Belgique est !
Bel = Dieu de la Guerre.
Gigue = Char.
Donc = Bel sur son char.
son homologue Scandinave est Thor !
Et vlan pour les profs d'histoire; qui la racontent à leurs façon.
Les Cavasini; Di Rupo, etc, sont arrivé en 1946 après J.C Jules Cesar,
lui il y à longtemps qu'il étais chez Mars.
Quant aux Flamands, mossieur Daniel, il existais avant les Wallons, qui
c'est derniers étais une tribus assouvies à Cesar. Avant les wallons
venus longtemps après; il y avais les tribus " Atrebates, Condruz,
Trevire etc, tribus Germaine " Belge " instalés avant vous.
Moi, je suis un Menapes et leur chef Boduogba, à battu Cesar, et grâce à
ce Flamand; le Jules à dit " de tout les peuples de la Gaulle, les
Belges sont les plus braves " Ara, la preuve nous on as le Lion; et
vous un coq de Basse cour, qui fait le beau sur une patte, on dirait
qu'avec l'autre qu'il lêve, il mendie, ara des cloux, ils vous
donnent vos ministrèlles et pipistrelles de Wallonie..
Mais on peu dire que le " peuple " Wallon est fièr sa oui, son
coq sur une patte, essaye de garder l'équilibre, pour pas tomber dans le
fumier, sur le quel il est dessus. sa y sait faire le zouaves, qui
claironne dans sa cour tout les matins à 500 m de chez moi; et puis
l'accent qu'il à; ouille, c'est pas pleut dire..
Coq; Di coq Rupo, il crie.
Ps. Cesar ne voulait pas des Wallons, dans ses Légions, quant il à vu
un coq, il à dit, " ceux la ils sont bon pour la ferme "
Bonjours a tous
Grande nouvelle l'Histoire enfin comprise par Ptit Sapeur alors que
d'autre et pas des moindres durant des siècles tentait de trouver une
explication sur ces Celtes.
Concernant l'origine des Celtes, deux explications extrêmes sont
possibles sans qu'aucune donnée archéologique ou historique ne permette
de trancher.
Soit une vague de peuplement pré-celtique ou celtique de l'Europe aurait
eu lieu, se superposant à un ou plusieurs peuplements antérieurs: le
problème de savoir quand et à partir de quel foyer ce peuplement se
serait produit se pose alors. Soit une civilisation à proprement parler «
celtique » se serait lentement développée par diffusion culturelle sur un
fond de peuplement préhistorique antérieur : dans ce cas, aucun
bouleversement ethnique d'importance n'aurait accompagné la « naissance »
des Celtes. Évidemment, la combinaison ou la juxtaposition partielle de
ces deux explications est également possible.
En tous cas, les ancêtres des Celtes, peut-être à rechercher parmi les
peuples pré-celtiques, furent probablement parmi les premiers
Indo-Européens à avoir remonté le Danube et peuplé la région alpine. Ces
peuplades préhistoriques occupèrent durablement toute la partie
occidentale de l'Europe, de l'Écosse au Nord jusqu'à l'Espagne au sud, et
des Balkans à l'Est jusqu'à l'Irlande à l'ouest.
Considérant que le terme Gaulois provient des récits de conquête de Jules
César, une définition restrictive des Gaulois se rapporte, pour les
archéologues, à ce qui relève des régions continentales relativement
proches de Rome (sur les territoires de la France, de la Belgique, de
l'extrême ouest de l'Allemagne et de l'Italie du nord), et peuplées par
des Celtes entre la fin du IVe siècle av. J.-C. et la fin de la conquête
de la « Gaule chevelue » par Jules César (en -51).
Cette définition exclut notamment les Celtes de Bretagne et d'Irlande,
les Celtes de Bohême ou Scordisques, mais inclut les Belges, les «
Gaulois du midi » (soumis par Rome un siècle avant leurs voisins du
nord), et les Gaulois cisalpins. Toutefois, de part les relations
politiques et religieuses particulières qui unissaient les tributs de la
Gaule (système de type fédératif), ainsi que les différences
linguistiques constatées, cette distinction reste d'actualité.
A contrario, on regroupe sous le terme Celtes les Gaulois (y compris les
Belges), les Scordisques (Celtes danubiens), les Celtibères (Celtes de la
péninsule ibérique - Espagne et Portugal) les Bretons (Celtes de
Grande-Bretagne), les Gallois du haut Moyen Âge, les Celtes d'Irlande ou encore,
les Galates d'Asie mineure.
Les Celtes sont apparus dans l'Histoire au travers de textes postérieurs,
rédigés par leurs ennemis (comme la Guerre des Gaules, de Jules César)
et/ou d'après le souvenir de leurs victimes (ils assiègent le Capitole et
pillent le sanctuaire panhellénique de Delphes au IVe siècle av. J.-C.),
ce qui leur valut la description de barbares sanguinaires .
Il faut attendre près de deux siècles pour que - la plupart de ces
peuples en mouvement s'étant déjà fixés depuis longtemps - les sources
nous livrent une profusion de détails géographiques et culturels qui ne
sont plus directement en relation avec le bellicisme celtique. Ainsi, les
limites géographiques des peuples celtiques sont mieux connues à l'époque
de la république romaine tardive (Ier siècle av. J.-C.), au moment même
où les Celtes sont pris en tenaille sous les assauts conjugués des
Romains et des Germains.
Voici une liste, non exhaustive, des principaux auteurs anciens qui nous
renseignent sur les Celtes a la quel il ne faut pas oublier d'ajouter
aujourd'hui le texte de Ptit Sapeur citer plus haut :
Hécatée de Milet (première mention historique) et Hérodote, Enquête
[détail des éditions] [lire en ligne]
Polybe, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne] (livre II)
Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines [détail des éditions]
Poseidonios (ou Posidonius, dit de Rhodes ou d'Apamée), Le Monde,
L'Océan, Histoires (continuation de l'œuvre de Polybe)
Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions]
Jules César, De Bello Gallico
Tite-Live, Histoire romaine
Strabon, Géographie [détail des éditions] (notamment inspiré par
Posidonios)
Pline l'Ancien, Histoire naturelle [détail des éditions]
Lucain, La Pharsale (en particulier sur la religion)
Ammien Marcellin, Histoires, XV (reprend Timagène d'Alexandrie)
Quant au "Belges" Il n'y a pas de consensus quant à
l'étymologie du mot Belge. Pourtant celle-ci semble possible: BEL+GA
=> *bel = objet gonflé, objet rond, pensez à balle, boule, bille, etc.
Mot proto-indo-européen. Au sens figuratif: cercle, alliance. *-ga est
moins sûr = (gaulois) homme armé. Belges signifierait "les hommes de
l'alliance (cercle)". Le mot serait ainsi d'origine gaulois. César
nous confirme l'existence d'une alliance de tribus. Possibilité
differente: dérivé du verbe *belgen = se fâcher, (se) gonfler. Ce mot
serait alors d'origine germanique, mais tout aussi bien dérivé du mot
*bel.
Longtemps les Belges furent considérés comme un peuple gaulois, ou comme
un peuple germanique dominé par une aristocratie gauloise (hypothèse
suggérée par le fait que les noms des chefs belges ont des affinités avec
les noms celtes et non avec les noms germaniques). Des analyses plus
précises des noms de leurs tribus, de leurs chefs et de leurs dieux ont
permis d'établir les hypothèses suivantes :
certaines tribus seraient authentiquement gauloises (Remi, Bellovaci,
Atrebates, ...) ;
d'autres montreraient des caractères germaniques (Nervii, Aduatuci,
Condruses, Menapi, Morins...) ;
certains auteurs suggèrent un troisième groupe, ni gaulois, ni
germanique, avec des affinités italiques (Paemani, Menapi, Sunuci...).
On peut s'interroger sur la nature assez mystérieuse du troisième groupe.
Une analyse de la toponymie de la région a permis de supposer que ceux-ci
occupaient initialement l'ensemble de la région comprise entre l'Aisne et
la Weser, avant de subir les pressions des Celtes et des Germains. Ce que
l'on connaît de leur langue montre de nombreuses affinités avec les
langues indo-européennes du sud de l'Europe, en particulier avec les
langues italiques. Cela peut sembler étonnant à première vue, mais cela
n'est pas du tout invraisemblable. Avant leur migration vers le sud, les
Italiques devaient séjourner en Europe centrale, au voisinage des Germains
et des Slaves, comme le montre le large vocabulaire commun entre ces
groupes. Il n'est pas impossible qu'une partie d'entre eux ait migré vers
le nord-ouest, tandis que les autres se dirigeaient vers la péninsule
italienne.
A part cette troisième langue mystérieuse, cette récente interprétation
linguistique suggère fortement que la Belgique antique fut déjà traversé
par une frontière linguistique. L'emplacement médiévale, bien attestée,
semble logique.
les Belges (du Nord) descendent de tribus ayant traversé le Rhin
longtemps auparavant. Selon lui, les Belges avaient acquis une rude
réputation en combattant les Germains. L'archéologie moderne pourtant
contredit Caesar : les Belges étaient nullement retardés, ils ont même
introduit les premières pièces de monnaie en (Grande) Bretagne .
Tacite nous révèle que les Nerviens refusaient de se faire appeler
Gaulois. Cette attitude était probablement la même pour la plupart des
tribus belges du nord.
Le terme Flandre et son adjectif flamand(e) possèdent des composantes
géographiques, historiques, linguistiques (flamand), culturelles (et
identitaires). Ils désignent donc, suivant le contexte, des réalités
connexes mais distinctes.
Étymologie : (IIe siècle av. J.-C.) Flaumandrum terres (suff. anc. germ.
-andrum) inondées (anc. germ. flauma, frison flâm). Le mot désigne les
marais côtiers et de l'estuaire de l'Escaut.
Le nom Wallon vient de Walh, un très vieux mot germanique qui était
utilisé par les Germains pour désigner les populations celtophones ou
romanes. Selon les régions, Walh s'est transformé, notamment par des
emprunts dans d'autres langues, et son sens a été réduit. C'est le cas de
Wallon qui fut créé dans le roman avec d'autres termes apparentés mais il
les a vite supplantés. Le wallon fait partie des langues d'oïl mais s'en
distingue à la fois par son archaïsme venant du latin et par une
influence significative des langues germaniques qui s'exprime dans sa
phonétique, son lexique et sa grammaire.La conquête de la Gaule par Jules
César détermine la romanisation de l'espace correspondant à la Wallonie
actuelle, devenue enclave latine dans les pays germaniques au Haut Moyen
Âge. Dans ce cadre, s'épanouit l'Art mosan (800-1600).
Le Coq hardi est un meuble héraldique.Ce meuble est un coq levant la
dextre, c'est-à-dire la patte droite levée.
Il fut choisi en 1913 par Pierre Paulus pour figurer sur le drapeau de la
Wallonie. Il y est appelé coq wallon.
Ceci dit Ptit Sapeur tu renie tes Ancêtres quoique que né a Brugge tu
n'en est pas moins issus d'une Famille selon tes dires de Courcelles en
plein Pays de Charleroi et le reste disséminé en Wallonnie et oui mon
vieux c'est pas a un vieux singe que l'on apprend a faire des grimaces
Sans rancunes mon faux petit Flamand mais quand même comme moi Belge
avant tout et
quoique tu en dit d'origine Celtique selon l'histoire
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : j'espère que le sujet intérresseras nos Amis Français qui on en
commun pratiquement la même histoire Hé OUI Ptit Sapeur les Français ont
aussi des Flamands Chez eux
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P'tit
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Mon devoir, la mémoire !
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #14 le: Juin 04, 2008, 07:38:38
»
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Avé
les amis,
Bien sur que les français ont aussi des flamands et cela depuis que Louis
IVX; nous à piqué Dunkerque; le Nord et la Picardie; voir même le Pas de
Calais.
A mon avis cet région est né d'un vieus patois qui en réalité voulait
dire " Pas de Français " car sa calait entre eux " A monn
texte plus haut j'ai fait un p'tit rajout.
Quant aux cartes la véritable origines est celle si.
Crèer pour les officiers qui ne savait pas lirent; la preuve ont dit
toujours ' lire une carte " alors que l'ont regarde des dessins, les
nots marqué en réalité etais pour eux des hyréogriphes codé, pas des
"écrits" détrompés vous. Comme sa tout le monde croyais qu'ils
savent lire. c'est pour cela qu'ils parlent de cartes.
Le 1er qui à su ' lire " une carte c'est un Romain, il à su comment
decrypter le corps de sa femme; il à vu un Légionnaire sur sa femme et
cet exclamé ' La Légion à pris possésion du ' mont de Venus "
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 07:43:15 par P'tit
Sapeur »
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Auteur
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Sujet:
Cesar ce trompe ! (Lu 400 fois)
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Re :
Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #15 le: Juin 04, 2008, 07:41:06
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Citation
de: P'tit Sapeur sur Juin 04, 2008, 07:03:13
Avé, comment ont
dit dans la région de Namur, tu me fait la bise ou non ?
Réponse en Wallon: Tubize ou Tubize pas ?
[b]Du temps des BELGES de l'époque, y avait pas de cartes, quand Jules,
est arrivé, c'est par hazard, il avais pas de bousole non plus;
Bref, Encore une fois, les historiens racontent ce qu'ils veulent et
n'inporte quoi; encore une histoire de vase de Soisson, p'tet.A moin d'encore
une erreur, etrangers c'est pas Xeno; d'ou Xenophobe; peur des étranders.
On devrait donc dire Barbarosophobes ?
Quant aux Francs, battus par les romains, ils ont fuits, et sont venus ce
réfugiés autours de Paris 7 villes portent leur nom, en ile de France.
Clovis, n'est devenus calotin que par intèrets papale qui la aider à
agrandir son bled, pour devenir le beau pays de France " anciene
Belgique "[b]
J'vais aller à l'université 3 ans, section " Histoire " j'vai
en apprendre des choses !
Comme par exemple que Clovis est originaire certainement du quartier des
Cloutiers à Roux; en effet Cesar aurait baptisé l'anxêtre de Clovis; sous
le nom de " Cloutix "
Tien es ce que un " Clocis " n'est pas une sorte animaliaire
venant de la mer; si oui mon cher Kali, c'est lui qui serait pas frais,
vu le temps qu'il est mort depuis longtemps/b]
Bonjours a tous
Comme tu est d'humeur contestataire tu te trompe en affirmant (voir plus
haut) que les cartes n'existaient pas en voici un résumé :
Les Romains semblent avoir complété la connaissance du monde
indo-méditerranéen et d'Europe occidentale dans le cadre des besoins de
l'Empire, mais ne paraissent pas avoir apporté de progrès théorique
imortant. Il est vrai que nous n'avons de leur oeuvre cartographique
qu'un seul témoin, les tables de Peutinger.
La table de Peutinger est l'ancêtre des cartes routières. Elle représente
schématiquement les principales routes de l'Empire Romain.
C'est une reproduction probablement très inexacte de la fin du XIIème siècle
d'une copie réalisée vers 350 dont l'original est plus ancien. Cette
carte a été découverte au début du XVIème siècle à Worms et confiée à
Konrad Peutinger qui la publia.
L'estuaire de la Gironde est représenté en foncé (on peut lire
-difficilement - "sinus aquitanicus" c'est à dire "la baie
d'Aquitaine").
Les doubles tours représentent une étape importante : on reconnaît ici
Burtegalo (Bordeaux), Vesonna (Périgueux), Aginnum (Agen), etc...
Les tracés rouges représentent les routes avec, en chiffres romains, les
distances en milles (1mille romain = 1478,5 m)
Sont également mentionnées des peuplades importantes : Bituriges, Cadurci
(région de Cahors), etc...
pour ce qui est de la Cartographie Les hommes ont utilisé des cartes
depuis la plus lointaine antiquité, probablement avant même l'invention
de l'écriture. Certains dessins découverts dans des grottes
préhistoriques pourraient bien constituer des croquis de leurs
territoires.
Plus pratiques, on retrouve dès 30 siècles avant notre ère, des tablettes
d'argiles sur lesquelles étaient gravées des itinéraires. La carte se
présente ainsi, à la fois comme un objet utilitaire ; les Phéniciens
décrivent ainsi précisement les côtes qu'ils fréquentent mais aussi un
objet conceptuel ; une représentation du monde.
Bon j'arrète là il y aurais encore beaucoup a dire mais cela c'est une
autre histoire
Amitié Légio More Majorum
Daniel
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peutinger.jpg (61.83 KB,
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Journalisée
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Kalimera
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #16 le: Juin 04, 2008, 07:51:53
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A propos
de Konrad Peutinger
Konrad ou Conrad Peutinger (Augsburg, 14 octobre 1465 - 28 décembre 1547)
était un humaniste et amateur d'antiquités allemand.
Peutinger est un intime de l'empereur Maximilien d'Autriche. Il est aussi
l'un des premiers à publier des inscriptions romaines. Son nom reste
associé principalement à la Table de Peutinger, copie d'une carte
ancienne montrant l'Empire romain et les routes militaires qui le
traversent. Il avait hérité la carte au décès de son ami Conrad Celtes
(Konrad Bickel, 1549-1608), le bibliothécaire de Maximilien, qui
prétendait l'avoir découverte dans la bibliothèque en 1494. Peutinger
aurait voulu publier cette carte, mais il mourut avant de mener cette
tâche à bien. La Table de Peutinger fut finalement publiée en 1753 par F.
de Scheyb. Peutinger a auss publié la Historia Gothorum de Jordanes, and
the Historia gentis Langobardorum de Paulus Diaconus. Konrad Peutinger
est aussi connu sous le pseudonyme de [Paul Ruzo]. Pseudonyme employé par
Antonio de Beatis lorsque celui-ci rédigea le Voyage du cardinal d'Aragon
en 1517.
Un autre humaniste et poète allemand, Konrad Celtis (1459 1508), lui
lègue un document extrêmement précieux, une carte routière romaine, qu'il
avait découvert à Spire (Rhénanie) en 1494. Peutinger s'apprête à le
publier lorsque la mort le surprend, en 1547. Cette « table » -
probablement la copie du XIIIe siècle d'une carte exécutée sous Théodose
II, au Ve siècle après Jésus-Christ- qui donne le tracé de toutes les
routes militaires de l'Empire romain d'Orient. La « Table de Peutinger»
sera finalement publiée en 1591.
La Table de Peutinger (Tabula Peutingeriana) aussi appelée Table
Théodosienne est une carte qui représente l'ensemble de l'empire romain.
Le document conservé à la Bibliothèque de Vienne (Autriche) est un
original médiéval (XII siècle) réalisé à l'époque par copie d'un document
plus ancien dessiné à Constantinople qui remonterait au 4e siècle à
l'époque de l'empire romain sous le règne de Theodosius..La Table de
Peutinger se présente sous la forme d'un rouleau de près de 7 m de long
et 34 cm de large, découpée en 12 morceaux dont l'un a disparu
http://hannibal-dans-les-alpes.com/05-hannibal-route.htm
Dans cet échantillon du Fac-similé ( miller, 1887) de la Table de
Peutinger représentant la Provence et la vallée du Rhône, on remarque
aisément l'estuaire du Rhône (Ostia Flumine Rodani), la ville d'Arles
(Arelato), Lyon, double tour dans le coin en haut et à droite, le
confluent du Rhône et de la Durance, le port de Fos-sur-Mer (Fossis
Marianis) et le bâtiment en demi-cercle qui matérialise le premier port
de Gaule
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Journalisée
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #18 le: Juin 04, 2008, 08:10:09
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Attention!!
un Celte ..tique
Pour parler d'eux:
ORIGINE probable : Europe centrale (Allemagne du sud, Bohème, régions
danubiennes).
Époque : env. -2000 ans
Mille ans plus tard, époque dite de HALLSTAD (Autriche) qui est le point
de départ de 800 ans d'expansion celtique.
CHRONOLOGIE:
Il y a 5000 ans (donc -3000 av.JC), des changements majeurs s'opèrent
dans les steppes russes, un climat plus sec, une aridité accrue fait
migrer la population vers la HONGRIE. (on remarque que la langue
hongroise n'est pas une langue slave). Le cheval est parfaitement
maîtrisé et nous sommes dans la transition de l'âge du bronze à l'âge du
fer.
Vers -800, période dite de HALLSTAD (Autriche) ; première ère du développement
celte. A cette époque, le sel était une denrée qui revêtait une grande
importance (ce terme est resté de nos jours dans le mot
"salaire"), et le village de "ALLEIN" (qui veut dire
sel en gaëlique) a été le centre de découvertes préhistoriques, notamment
d'une nécropole de l'âge du fer et d'urnes richement décorées contenant
des restes incinérés. Selon la classe sociale et l'époque, les morts
seront incinérés ou enterrés.
Il y a 25 ans (vers 1975) une tombe est mise à jour dans la région de
STUTTGART. Il s'agit d'une tombe d'un important dignitaire datée de -500
av JC, très richement décorée d'objet en or (qui en atteste donc son
travail) et dans laquelle on trouve également un char.
Marseille est un important lieu d'échange avec les Grecs et se développe,
avec le commerce, vont de pair les richesses et le début de guerres
intestines…, construction de forts (fort de VIX).
Fin de cette première période vers -500 ans av. JC.
PERIODE de LA TENE (SUISSE)
A la suite d'une baisse de niveau du lac de Genève, des fouilles ont
organisées ; elles mettent au jour de nombreuses armes en fer et d'objet
décorés d'or en motifs tourbillonnants, créatures fantastiques d'une
grande complexité.
Ces tribus étaient constituées d'environ 300 000 hommes.
Commence à cette époque l'invasion de l'Italie, jusqu'à Rome (bataille
d'Allia), les forces Etrusques sont battues.
Un siècle plus tard, attaque de Delphes (Grèce), mais suite à un
tremblement de terre, ils se retirent.
Chez les celtes britanniques, on retrouve une spécificité régionale
(insulaire ?), et on pense que ce style s'est développé indépendamment du
continent.
Mais comment le gaëlique celte est-il arrivé là ? La langue celtique
remonte sans doute au néolithique et les communications commerciales
entre continent et les îles ont contribués à la connaissance de la langue
(comme cela se pratique aujourd'hui…).
Les grands thèmes se retrouvent, les métaux précieux richement décorés
(torque, boucliers).
La même constatation peut se faire en Irlande, le monde Celte présente
donc à la fois des traits communs et particuliers jusqu'en Espagne.
Les artisans voyageaient-ils ?
Nous sommes en –300 av JC, 200 ans plus tard, l'ennemi sera ROME…
L'équilibre bascule devant les celtes désorganisés et c'est le « début de
la fin des Celtes continentaux » ; l'influence celte sur le continent est
complètement éteinte vers le 5ème s., mais heureusement toute trace n'a
pas disparu…
En Europe continentale, la trace (visible) des civilisations celtes a
complètement disparu vers le VIIIème siècle.
Par contre, sur les îles, les traditions celtes allaient perdurer, et ce,
malgré une occupation romaine… plus courte et moins influente que chez
nous (seulement 1/3 du territoire pendant 400 ans).
Forte influence du druidisme dont il reste des traditions mélangées aux
traditions chrétiennes ; les saint « Celtes » comme Patrick sont
considérés comme des « sages ».
Après le départ des Romains, les Pictes (ancêtres des highlanders )
attaquent les basses-terres. Mais les habitants de celles-ci s'organisent
et importent des « mercenaires » (des Angles et des Saxons), et leurs
cèdent des territoires en récompense (l'Angleterre d'aujourd'hui).
La légende d'ARTHUR évoque les combats contre ces nouveaux envahisseurs…
Les « victorieux » imposent leur langue, l'Anglais. On note que peu de
mots Gallois ou Brittons sont passés dans l'Anglais, les autochtones
furent repoussés à l'ouest (pays de Galles, Galles=Wales et Wal= exilé,
étranger, « mis à part ») et au sud (Cornouailles), voire s'exilent en «
petite Bretagne » (France) où l'on peut retrouver des similitudes de
langage.
Après le 5ème siècle, naissance du « christianisme celte », monastères
celtes et premiers écrit dont le célèbre manuscrit des « KELLS » (les
quatres évangiles).
La tension est croissante entre les « chrétiens-celtes » et les «
chrétiens » (intégristes !?), notamment le problème de la fixation de la
date de Pâques, qui fait mener une campagne au « chrétiens » auxquels se
rallient les Anglais et construction de la cathédrale de Canterburry. Les
Celtes perdent du terrain…
Aujourd'hui, les « celtes » britanniques sont-ils les héritiers
génétiques de ces tribus
Des expériences les plus contemporaines ont été menée sur les gènes des
Gallois (et d'autres Britanniques), comparés avec les gènes des os
retrouvés sur les sites celtes d'Europe centrale…
Les analyses montrent seulement un clivage est-ouest de la
Grande-Bretagne (l'est étant lui-même un mélange Danois-Allemand-Hollandais-Français,
et l'ouest par les peuples plus atlantiques, Espagne, Portugal, …Bretagne
?)
Nous remarquons un renouveau de l'identité celte, le Pays de Galles a son
parlement, l'Ecosse vient de voter à 80% pour son indépendance parlementaire,
l'école, la langue, la culture est de plus en plus mise à l'honneur,
voire recherchées (et le pouvoir …), les « continentaux » recherchent (et
trouvent !) leurs racines celtes, chez nous, les Nerviens, Ménapes,
Trévires, Eburons et autres Ambiani…ont heureusement laissés des traces
indélébiles de leur civilisation, leur mode de vie ou leur langage qui,
malgré une « romanisation » outrancière, garde de nombreux traits pour
qui se hasarde à les rechercher.
L'homme trouverait-il là un point commun à tant de diversité
s Musiques Celtes
I nitialement, le terme de "musique celtique" ne décrit pas un
style, mais les différentes musiques pratiquées par des pays ayant
conservé vivante, ou vivante jusqu'à il y a peu, une langue héritée des
Celtes. L'on ne parlait jusqu'à il y a relativement peu de temps que de :
l'Ecosse, de l'Ile de Man, l'Irlande, le Pays de Galles, les Cornouailles
et de la Bretagne.
Que les berceaux de deux grandes étapes de la "Civilisation
Celtique", celle du Halstatt (-800) et celle de La Tène (-100) se
situent au Tyrol et en Suisse ne confère pas aux musiques de ces région
et pays le qualificatif de "Celtique".
Pourtant ont finalement rejoint le cercle très fermé de ces
"pays" si particuliers : La Galice et Les Asturies, deux
provinces du Nord de l'Espagne. Les critères requis sont donc plutôt
subtils et l'on doit accepter de parler de "Musiques Celtiques"
tant les diversités et interpénétrations sont nombreuses.
Et sous l'impulsion de festivals tels que celui de Lorient, les portent
s'ouvrent tout naturellement aux régions et nations à forte densité
d'immigrants et descendants d'immigrants d'origine de cet ouest si
reculé.
Il n'est donc plus étonnant de voir défiler des Australiens, des
Acadiens, des Canadiens, des groupes venus de Hong Kong, des Québécois,
des Néo Zélandais et autre déclinaison de cette Grande Famille Celte
ouverte sur le monde.
Nous avons d'ailleurs un descendant qui a retrouvé une partie de
ses origines en Australie
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Journalisée
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dwnvg
Invité
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Re :
Re : Cesar ce trompe !
« Répondre #20 le: Juin 04, 2008, 08:19:01
»
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Citation
de: kata sur Juin 04, 2008, 08:02:02
Bonjours a tous
Oui Mon Lieutenant Ptit Sapeur comme je le disais dans d'autre posts est
d'humeur contestataire avec des exces notament je cite :
Quant aux cartes la véritable origines est celle si.
Crèer pour les officiers qui ne savait pas lirent; la preuve ont dit
toujours ' lire une carte " alors que l'ont regarde des dessins, les
nots marqué en réalité etais pour eux des hyréogriphes codé, pas des
"écrits" détrompés vous. Comme sa tout le monde croyais qu'ils
savent lire. c'est pour cela qu'ils parlent de cartes.
alors je méttrais la définition de lire : Du latin lĕgĕre («
lire », « rassembler »). Interpréter des informations écrites sous forme
de mots ou de dessins sur un support
il
y a aussi :lire sur les lèvres, lire entre les lignes ,lire en diagonale
Amitiés Légio More majorum
Daniel
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 08:21:05 par dwnvg
»
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Journalisée
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P'tit
Sapeur
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Transmisions Q.G
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Messages: 5233
Mon devoir, la mémoire !
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #22 le: Juin 04, 2008, 11:10:58
»
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Avé,
Moi, je suis MDR; tous le monde tombe dans les pièges à P'tit sapeur !!!
En tout cas Daniel; ton Peutinger; déscendant de Pétinger sans doute; il
n'est pas né sous cesar avec ses cartes donc !
tien j'ai pas vu Roux; dessus..
Et ton explication de llire " rassenbler " légère etc.. des
dessins et bien les écrits egyptiens sont des dessins les hiéorogriphes,
ara.
Mon Lieutenant, si moi j'ai besoin d'une loupe; faut apprendre à lire
entre les lignes, cela ne concernee pas les officiers de la Colo et
Légion.
Donc vous n'ettes pas concerné; jamais les officiers colo et Légion, et
puis de toute façon c'étais pas méchant puisque tourné en blague..
Le bonjour à Cloutix de Roux..
Et à Elicefix de florenne..
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 11:12:48 par P'tit
Sapeur »
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Journalisée
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Veritas - Fidelitas
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P'tit
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0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5233
Mon devoir, la mémoire !
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #24 le: Juin 04, 2008, 01:37:59
»
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Mon
Lieutenant, même à deux ils arrivent pas à me coincés. [
Et oui c'est comme cela le bon peuple BELGE, on aime blaguer même quant
tout va mal.
Je suis un drôle de BELGE; avec ma descendance de Viking d'ancien
Danemark; et morceau actuel devenu Suede.cela de part ma généalogiie
paternelle.
Mais du coté maternelle BELGE; et avant les Francs en plus.
D'ailleurs y à des BELGE et Français qui on changé stupidement de nom; de
Lefranc en Euro.
La révolution à raccourci ma famille; si j'avais étés présent quant
Clovis ést arrivé, c'est moi qui l'aurait raccourci avant; pour évité cet
revolution.
Ara..
Je ne conteste pas l'histoire de Kali et Daniel; mais les BELGES,
existais bien avant les tribus qu'ils site, le nom de Belgique est venu
aussi avant, mais l'ont ne parlait pas de pays à l'époque, même Rome
n'était pas un pays et l'Italie n'existais pas. On disait, ici nous
rentrons en Germanie, ou encore en Germanie Belge, territoire Celtes ou
Bataves par exemple. C'est cartes qui sont venues apprès.
Les cartographes accompagnant les armées sont aussi venu apprès.
Je regarde tout les jours une chaîne Tv BELGE, d'histoire, très
compétantes et intègres, concernant toutes les époques sans distinctions
j'ai donc eu l'occasion de voir le Jules de Rome, sous sa vrais face, De
Gaulle doit êtres sa réincarnation vu son nom. Le fameus Cesar à voler
bien des gloires à ses généraux, dont certains quant ils ne finisait pas
dans les arênes, aux galères, dans une garnison oubliées; assassinés la
seule chance de ne pas finir comme cela c'était de la fermer et "
Obeirs " Des témoignages longtemps ignorés commence à sortir; d'on
la cruauté qu'il maniais avec un certain plaisir sadique; il haissait
comme la grande Zoa, toutes personnes lui barant le chemin, sa haine
allais même contre ceux qui le battais sur le terrain, et malheurs aux
chefs qui ce faisait prendre à Alésia, la Cavalerie de secour arrivé fut
défaites " malheureusemt ' tous les chefs capturés furent massacrés
odieusement. Sa vie n'étais qu'hypocrisies et lacheté humaine, et dire
que je suis né en 1952, et que lui à étés assassine 1900 avant ma
naissance, étranges point commun d'autant plus que la St Yves c'est le
19, en enlevant les deux 00, vous tomber à 1952, différance de siecle 19
er l'annés 52. Même si cela parait idiot tout ces chiffres que je je vous
exposes parfois, mais souvent ils amênent à des drôles de coincidences
bizares, mais ne suit pas un peu de ces fous, imaginatifs illuminés ?
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 01:47:31 par P'tit
Sapeur »
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Veritas - Fidelitas
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dwnvg
Invité
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #25 le: Juin 04, 2008, 02:59:27
»
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Bonjours a tous
que dire si ce n'est un cas typique de Psychanalyse qui rendrais chèvre
S.Freud lui même ou encore Nietzsche
La psychanalyse n'est pas qu'un ensemble théorique, une métapsychologie,
c'est également une méthode d'exploration du psychisme humain. Cette
méthode peut être appliquée afin d'étudier des œuvres d'art, des
philosophies, etc. L'exploration du psychisme ,L'analyse des actes du
quotidien : Les lapsus, les oublis, les négligences : ces actes manqués
traduisent un conflit psychique qui met en jeu une tendance consciente et
une autre, pré-consciente ou inconsciente, qui vient troubler le
déroulement normal de la première. L'observation de ces tendances
contradictoires permet de rendre vraisemblable l'hypothèse de
l'inconscient de Ptit Sapeur .Le mot d'esprit, ou trait d'esprit, est une
réplique fine et subtile, pas toujours bien intentionnée,Au roi Louis XVI
qui dit à Rivarol : – On raconte que vous faites des mots d'esprit sur
tout. Faites-en un à mon sujet, ce dernier répond : – Sire, le roi n'est
pas un sujet.
Auparavant,
l'on utilisait dans le domaine littéraire le mot esprit, que l'on
retrouve dans des expressions comme « avoir de l'esprit » ou « trait
d'esprit ». L'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide
et pince-sans-rire, que l'on constate facilement chez des auteurs du
siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund
Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa
relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les
Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard
absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la
malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.J'ajouterais
ici que Ptit Sapeur aime polémiquer,Le terme de polémique (du grec
πολεμικός, polêmikôs « qui
concerne la guerre », « disposé à la guerre», « batailleur, querelleur »)
fait aujourd'hui l'objet d'emplois multiples.Si le polémique est la
guerre en puissance, la polémique en serait son expression: discours
tendant au totalitarisme, expulsant l'Autre dans l'interdit. Une
satire est une œuvre dont l'objectif est de critiquer son sujet (des
individus, des organisations, des États, etc.), souvent dans l'intention
de provoquer ou prévenir un changement. On attribue généralement la paternité
de ce genre littéraire (satura, c'est-à-dire « pot-pourri ») au poète et
dramaturge archaïque latin Lucilius IIIe siècle av. J.-C.
Les sociétés celtes pensaient que les satires des bardes avaient un effet
physique similaire à un sort (voir glam dicinn).
Donc pour résumer on peut dire que la mauvaise foi patente de notre Ami
Ptit Sapeur qui nous dit qu'il le fait exprès mais néenmoins insite pour
faire passer ses idées contestataires résumer en ceci : Moi j'ai
raison les autres se trompes cela me semble t'il s'appel :Ego est un
substantif tiré du pronom personnel latin ego (« moi »). Il désigne
généralement la représentation et la conscience que l'on a de soi-même.
Il est tantôt considéré comme le fondement de la personnalité L’ego
serait, selon certains auteurs, l'équivalent psychologique de la
conscience, au sens philosophique. Mais à la réflexion, un ego est un je,
au sens cartésien : un je qui perçoit des informations, les traite ou en
exprime. Ce qui peut nous amener à dire, dans une conception platonicienne
de la conscience de soi, que l'ego est un je sans la conscience.
voila Ptit Sapeur je t'envois ma facture la carte SIS te rembourseras
Amitiés Légio More Majorum
Daniel
PS : L' Humour c'est la plus haute des réalisations des défenses. Réponse
soulignant les aspects amusants et ironiques des conflits, permet de
prendre une distance par rapport aux choses
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« Dernière édition: Juin 04, 2008, 03:19:06 par dwnvg
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Journalisée
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dwnvg
Invité
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Re :
Cesar ce trompe !
« Répondre #26 le: Juin 04, 2008, 03:47:14
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Bonjours
a tous
prtite documentation
Amitiés légio More Majorum
Dainel
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #27 le: Juin 04, 2008, 04:10:47
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Comment
fonctionne l'égo ?
L'ego est notre fonctionnement habituel dans lequel nous construisons
notre propre souffrance. Le comprendre, c'est la clé d'une approche
spirituelle !
Lama Denys Teundroup est un instructeur bouddhiste français et il dirige
le centre d'études bouddhiques Karma Ling ( près de Grenoble). Se fondant
sur le Dharma du Bouddha il nous explique les fondements de l'ego et les
méthodes qui peuvent nous en libérer sans violence.
L'ego est le " moi je ", ce sentiment d'exister comme un
individu indépendant avec les relations qui dérivent de cette impression.
L'expérience d'ego est de vivre toute perception par rapport à cet objet
observateur-sujet.
L'ego a une appétence fondamentale : un désir d'existence et de plaisir,
qui se traduit en pulsions de possession, de rejet et d'indifférence. Ce
fonctionnement se manifeste ainsi par des attitudes passionnelles
d'attraction, de répulsion ou d'indifférence, développées face aux
personnes, aux choses, ou aux situations auxquelles l'ego est confronté :
" je " veux ce qui est bon, " je " ne veux pas ce qui
est mauvais, " je " ne veut pas être exposé à ce qui m'est
indifférent. Ces appétits de l'ego le font s'engager dans toutes sortes
de lutte pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est
désagréable.
Malheureusement et paradoxalement, au lieu d'aboutir à ses fins, sa lutte
lui crée des désagréments, conditionnements et souffrances ! Ce
fonctionnement de l'ego est notre conditionnement habituel dans lequel
nous construisons notre propre souffrance.
Qu'est-ce que l'ego ?
Fondamentalement , l'ego n'est rien qu'une impression : ce sentiment que
l'on a " d'être " et " d'avoir " un ego ne repose sur
rien, c'est simplement une illusion. En effet, l'ego n'est pas "
quelque chose " qui aurait une existence indépendante et autonome,
c'est un processus dynamique qui, dans son fonctionnement, produit le sentiment
d'individualité. C'est pourquoi l'ego est dit " vide d'existence
propre " : cette impression n'existe que dans la combinaison des
facteurs interdépendants qui la constituent.
La conception de l'ego
Les facteurs interdépendants qui constituent l'ego sont nombreux. Au
départ, l'ego est une polarité sujet-objet dans laquelle, comme dans
toute polarité, les deux pôles subsistent dans la relation qui les pose
l'un par rapport à l'autre. Plus précisément, cette polarité qu'est l'ego
se structure dans un processus de saisie, d'appréhension des expériences.
En fait, l'esprit est fondamentalement une fonction cognitive dans
laquelle vient se greffer la saisie de l'ego. Cette saisie constitutive
de la polarité sujet-objet est une conception, une saisie conceptuelle.
Ainsi, la conception conçoit le sujet et l'objet. Il est significatif de
remarquer que " conception " exprime simultanément l'action de
concevoir et celle de donner naissance. On pourrait dire : " le
sujet se conçoit concevant l'objet qu'il conçoit " ! Il y a là
matière à quelques paradoxes et méditations…
En tout cas, la conception est un processus qui pose le sujet et l'objet
l'un par rapport à l'autre, dans la dualité sujet-objet. Cette saisie
génère, au rythme de ses conceptions successives, des instants de
conscience dualiste sujet-objet.
Ces instants se succèdent rapidement et font simultanément l'expérience
de séries " d 'événements sujet " et " d'événements objet
". La fréquence élevée de ces événements donne l'impression d'une
continuité du sujet et de continuité d'expérience, comme apparaît
l'impression de mouvement continue du cinéma lorsque les images de la
pellicule défilent suffisamment vite. C'est ainsi qu'apparaît
l'impression de continuité du " moi-sujet " et de " ses expériences
". La " continuité-sujet ", n'ayant pas notion de la
relation qui l'unit à la " continuité de ses expériences ", se
vit comme indépendante.
L'impression d'ego individuel se développe, acquérant le sentiment d'être
autonome et indépendant. Puis, elle s'identifie à une forme avec un nom,
se dotant d'un sentiment d'identité. Le nom, ce label qui la désigne,
parachève son impression d'exister et finit de réifier l'ego.
Tout ce processus constitue quelques aspects de la nature de la
perception de l'ego. Décrit ainsi, cela paraît abstrait et théorique,
mais c'est quelque chose qu'on découvre concrètement dans l'expérience de
la méditation assise qui a ainsi un pouvoir libérateur des illusions de
l'ego.
Non-violence du travail avec l'ego
dessin de DeepaUne mauvaise compréhension de la nature de l'ego peut nous
faire considérer celui-ci comme un " ennemi " à détruire. Ce
n'est pas la bonne attitude, d'abord parce qu'il n'y a pas à détruire
quelque chose qui n'existe qu'illusoirement, mais simplement à reconnaître
son illusion.
De plus, dans un tel combat, qui lutterait contre l'ego si ce n'est
" moi, je " donc l'ego lui-même ? Cela reviendrait à essayer de
terrasser son ombre. Plus son tente de nier l'ego ou de le combattre
agressivement, plus on renforce son agitation et sa puissance. Il s'agit
d'être réaliste :nier l'ego ou refuser d'avoir des passions serait
illusoire.
Il ne s'agit donc pas de s'engager dans une lutte. Au lieu de résoudre
les difficultés, cela les renforcerait ? mais de se réconcilier avec
soi-même et d'accepter l'ego avec ses passions. Cette acceptation permet
ensuite de travailler avec lui, et finalement, de le dépasser par la
réalisation de sa nature.
Bien sûr, accepter l'ego et ses émotions ne signifie pas s'y complaire et
abonder dans leur sens. La réconciliation avec soi-même, l'acceptation de
l'ego, permet de travailler sur celui-ci. Il devient la matière première
du travail non violent, non agressif, qu'est la méditation, celle-ci nous
permettant de transformer nos attitudes passionnelles et finalement de
les dissoudre.
Les cinq constituants de l'ego
Le Bouddha a enseigné la formation de l'ego à partir de ses cinq
constituants, " skandha ", en sanscrit. On peut les expliquer
comme cinq étapes. Avant la naissance de l'ego, au départ, l'esprit dans
l'instant premier est le terrain fondamental de l'énergie pure non
dualiste, sans connaisseur ni connu, ouvert et dégagé, sans centre, ni
périphérie, comme l'espace.
La naissance de l'illusion est d'abord celle d'une différenciation :
l'espace commence à être perçu, à exister comme quelque chose pour une
observation qui le perçoit, une distinction naît. C'est le début de la
scission sujet-objet, la naissance de la dualité. En fait, cette
différenciation initiale peut se constituer par rapport à n'importe quel
point de référence dans les domaines des différentes facultés
sensorielles : visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile ou
mentale. Cette référence première est appelée " forme ". C'est
le premier stade de l'ego : le skandha de la forme.
Une forme visuelle est n'importe quelle représentation du domaine visuel,
par exemple, l'espace indéfini mais distinct, ou un morceau d'espace
délimité, un contour, une référence visible quelle qu'elle soit. Mais à
ce niveau initial, c'est une expérience nue, dépouillée de concept et de
tout jugement. C'est une vision toute simple et silencieuse. Une forme
sonore serait une vibration avant que cette résonance ne soit reconnue,
avant même que l'on ait pris par rapport à elle une position qualifiée,
et avant qu'elle ait été nommée, identifiée, et qu'elle n'ait pris un
sens particulier.
dessin de DeepaLa seconde étape est ce qu'on appelle skandha de la
sensation. Il s'agit d'une prise de position par rapport à l'expérience
initiale de forme. Celle-ci est maintenant sentie comme positive,
négative ou neutre. Il y a ainsi des sensations agréables, désagréables
ou indifférentes. LA sensation est simplement ce positionnement, cette
première impression.
La troisième étape fait intervenir l'identification. C'est-à-dire que la
forme qui a été sentie est maintenant reconnue et un nom lui est donné :
il y a " nomination " ou conceptualisation. La sensation prend
alors un sens. C'est le skandha de la perception. A la quatrième étape,
il y a une réaction devant cet objet identifié, devenu porteur d'un sens
qui est suggère une action ou une réaction. Il s'instaure une relation
avec cette forme sentie et identifiée. Cette relation est conditionnée
par différentes tendances ou " facteurs mentaux " latents qui
sont les éléments animant volonté et impulsions. C'est le skandha des
formations mentales ou de la motivation.
Il y a ainsi une situation en laquelle une forme a été sentie, nommée, a
acquis un sens, par rapport auquel prend place une réaction ou une
action.
L'observateur, le témoin de la situation qui s'est ainsi mise en place,
s'est développé et structuré dans les quatre premiers skandhas.
Sa fixation sur cette situation comme étant " son " expérience,
finit de le solidifier. Il s'approprie complètement l'expérience, il en résulte
un état de conscience pleinement constitué. L'ego est, et vit, dans le
monde particulier qui s'est ainsi constitué et qui est devenu un état de
conscience complètement organisé. C'est la cinquième étape, le skandha de
la conscience.
Cette structuration de l'ego par la formation des cinq skandhas : forme,
sensation, perception, motivation, et conscience, se répètent d'instant
de conscience en instant de conscience.
Chacun de ses instants subsiste très brièvement puis disparaît, suivi par
l'apparition d'un autre instant de conscience. A la fin de chacun de ses
instants, il y a une sorte de dissolution ou de mort de l'ego et de ses
constituants, et au début de chacun d'eux il y a agrégation, naissance de
ceux-ci. Il y a ainsi en permanence agrégation et désagrégation de l'ego
; structuration, déstructuration et restructuration. Le phénomène se
reproduit sans cesse. C'est ainsi que fonctionne l'ego. Et c'est ce
processus de naissance et de mort qui constitue chaque instant de notre
vie.
Lama Denys - extrait de l'ouvrage paru chez Albin Michel "Le Dharma
et la vie".
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Journalisée
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #28 le: Juin 04, 2008, 04:15:21
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La négation de l'ego ne peut-elle pas conduire au désespoir des
individus ?
les occidentaux ne peuvent pas ne pas se la poser, eux pour qui l'ego est
le fondement du sujet, de sa liberté et de son libre arbitre. Ce n'est pas
l'ego en tant que composante de la personnalité qui est en cause, c'est
la place centrale donnée à l'ego dans la perception que le sujet a de
lui-même qui est en cause. Le moi, la personnalité du sujet sont autant
de composantes du sujet et sont aussi indispensables que nécessaires.
Cette place centrale, omniprésente, dominante, loin d'être alors une
source de liberté, peut-être une source de souffrance (dukkha). Bien sûr
l'ego est un élément important au plan émotionnel, aussi bien
qu'intellectuel, mais le bouddhisme pense que l'attachement à l'ego est
une erreur. Il n'est pas question de déstructurer le sujet, de le
déstabiliser, de l'affaiblir, au contraire.
Vous voyez, le bouddhisme n'est pas un manichéisme, qui dirait dans une
sorte d'opposition : "c'est le moi qui est responsable, donc il faut
nier le moi, éradiquer le moi, supprimer le moi ". Si certains
courants de pensée tiennent peu ou prou ce discours, ce n'est absolument
pas le discours du bouddhisme. Le moi, est admirable, il est précieux, il
est utile et nécessaire, il construit le sujet dans sa spécificité, il
lui apporte son identité et le consolide. Il n'est évidemment pas
question ni de le nier, ni de le réduire, ni de l'effacer. Mais, le moi,
n'est qu'un reflet, qu'une dimension mentale qui remplit une fonction
bien précise. Mais, le moi, n'a pas la toute puissance qu'on lui prête,
le moi n'a pas la durabilité qu'on lui attribue, le moi n'a pas
l'omniprésence que l'on croit. Non, le moi est aussi illusoire,
impermanent, conditionné. Le moi est nécessaire, utile, estimable, mais
il a aussi les qualités de l'éphémère et du transitoire. Ce n'est pas une
faiblesse de le reconnaître, c'est, pensent les Asiatiques, une force que
de le savoir et de l'interpréter de cette manière.
Le bouddhisme ne nie pas le moi, le bouddhisme ne nie pas l'ego, le
bouddhisme ne nie pas le corps. Si vous niez ces éléments (comme le font
certains autres courants de pensée qui considèrent que le corps est
porteur de choses mauvaises), alors vous arrivez inévitablement aux
extrémités que vous évoquez. Le bouddhisme, et c'est sans doute là l'une
de ses nombreuses originalités, ne nie pas les réalités. Pour le
bouddhisme, le corps existe, les pulsions existent, l'ego existe, le moi
existe. Et pour le bouddhisme ces constituants ne sont ni bons, ni
mauvais. Le bouddhisme tend simplement à la connaissance parfaite des
mécanismes qui nous gouvernent, pour que justement leurs emprises soient
moins fortes et que notre compréhension de ces phénomènes nous permette
de nous en libérer et d'échapper à la souffrance (le bouddhisme préfère
le terme dukkha) qui résulte habituellement de nos émotions, de nos
réactions, de nos inclinations …
Il s'agit ainsi de considérer l'ego et le moi pour ce qu'ils sont. C'est
la découverte de la nature particulière du moi (qui est à la fois
structurant et limité) qui est facteur de tranquillité et de stabilité.
C'est la découverte du caractère illusoire et trompeur des qualités
supposées du moi qui sont facteurs de force personnelle. Au contraire, la
négation de ces réalités ou bien la croyance en des qualités que le moi,
l'ego, le sujet, le corps n'ont pas, sont facteurs de souffrance
(dukkha). C'est l'inobtention de ce qui est désiré qui est facteur de
désespoir, c'est le fait de se trouver avec des personnes avec lesquelles
on n'a aucune affinité qui est facteur de désespoir, c'est le fait d'être
éloigné de personnes avec qui ont à des affinités profondes qui est
facteur de désespoir, c'est le fait de vieillir, de sentir son corps
s'affaiblir, de lire sur ses traits la marque dure des années qui est
facteur de désespoir … (revoyez donc l'exposé de la première des quatre
nobles vérités).
La société de consommation actuelle développe à son maximum la
satisfaction immédiate des besoins et des désirs individuels. Elle va
bien au delà, elle va jusqu'à les provoquer, les susciter, les encourager
par un renouvellement perpétuel des produits, des marques, des objets,
toutes choses qui stimulent l'individualisme dans ce qu'il a de plus
primaire, c'est à dire l'appropriation personnelle. Cette dimension
d'appropriation n'est pas forcément structurante et engendre une
véritable aliénation au besoin d'acheter, de posséder, d'avoir (je ne
parle même pas du gaspillage général que tout cela engendre et qui posent
d'autres questions en termes écologiques, notamment). Il n'est qu'à voir
le manque de politesse et de civilité quand on se promène dans un
supermarché ou dans les grands magasins aux heures de pointes, je ne
parle pas de ces images choquantes où les gens se battent pour s'arracher
une Play Station dernier cri. Trouvez-vous tout cela exemplaire en terme
de société ? Trouvez-vous que la notion de société a ici encore un sens ?
Il n'est qu'à voir la précipitation de pans entiers de cette société dont
vous parlez qui se ruent pour faire de stocks de denrées au moment de la
guerre du Golfe ou des événements du Kosovo. Ne trouvez-vous pas que le
"chacun pour soi" déjà latent, prend alors des proportions
démesurées et renvoie une image de la société bien hideuse. N'êtes vous
pas surpris que dès que des incidents se produisent (privation
d'électricité suite à la tempête de décembre 1999, par exemple) les gens
se montrent totalement incapables de s'éclairer à la bougie, de se
chauffer au bois, de se priver de télévision plus d'une journée … et se
mettent à pousser des lamentations pires que celles des mères du golfe du
Bengale après les moussons, ou celles des paysans birmans en but à la
sécheresse ? Ne croyez-vous pas que cette satisfaction tout azimut de
l'ego conduit nos sociétés vers des dangers aussi grands que ceux que
vous évoquez dans votre question ?
Il n'y a pas de devoirs dans le bouddhisme. En particulier, il n'y a pas
de devoirs que certains seraient censés endosser pour les autres. Le seul
devoir, il est vis-à-vis de vous-même et il consiste à accroître votre
connaissance des mécanismes naturels à l'œuvre dans le sujet. La question
de la compassion que vous esquissez est plus complexe et devrait être
exposée plus en détail. En fait, personne ne demande à personne de la
compassion, le bouddhisme n'investit personne d'une quelconque mission de
compassion envers qui que ce soit.
L'impermanence est une donnée fondamentale du bouddhisme qui est issue de
l'observation stricte du vivant. Dans le monde vivant, non seulement tout
est conditionné (composé d'éléments, c'est la loi des cinq agrégats),
mais aussi, et par le fait même, tout est impermanent. Dans le vivant, il
y a naissance, croissance, décroissance, fin et disparition. C'est une
loi générale, elle n'est ni bonne, ni mauvaise, ni favorable, ni
défavorable, elle est et c'est tout.
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Journalisée
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Kalimera
Invité
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Re
: Cesar ce trompe !
« Répondre #29 le: Juin 04, 2008, 04:15:53
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Faut-il éliminer l'ego?
Q: La notion d'ego me semble très difficile à
comprendre.
LAMA DENIS TEUNDROUP. Dans le langage contemporain de la spiritualité, on
parle énormément d'ego, ce qui est certainement important car l'ego est
au coeur du problème. Mais on voit fréquemment l'ego devenir le mauvais,
le vilain et, avec quelques tendances culturelles, on irait même jusqu'à
dire le démon, ce qui sans être tout à fait inexact amène cependant
d'énormes difficultés dans la relation que l'on entretient à soi-même.
S'identifiant à l'ego, on devient le mauvais, le vilain et, dans cette
relation à soi-même, se développe alors une approche qui a facilement
tendance à devenir dépréciative et autoagressive. On réprime l'ego sans
se rendre compte que celui qui réprime est précisément l'ego. On arrive à
cette situation paradoxale que la répression de l'ego entretient l'ego et
qu'une certaine forme de lutte anti-égotique nourrit le problème contre
lequel on souhaite justement lutter. Ce qui suggère que la lutte et la
répression (comme dans beaucoup d'autres cas!) ne sont pas la bonne
méthode et que, dans le travail avec soi, il est nécessaire de dépasser
cette approche répressive et de développer une attitude de douceur et
d'acceptation. Mais cette douceur, cette acceptation ne sont pas du tout
une attitude de permissivité, de laxisme complaisant où l'on
s'autoriserait tout ce qui se présente sans discernement.
D'une façon générale, ce problème de l'ego existe en Orient comme en
Occident. Néanmoins, il s'avère beaucoup plus précis et fort dans le
contexte occidental. Cela peut s'expliquer par l'exacerbation de l'ego,
l'attitude de compétitivité intense qui règne en Occident mais aussi par
notre héritage culturel et traditionnel. En effet, notre passé est
imprégné de culture chrétienne avec tout ce que celle-ci a tendance à
véhiculer comme dénégation de soi sous une forme dépréciative,
auto-agressive et à la limite mortifiante.
Une autre difficulté vient de la transmission du dharma en Occident et de
sa traduction qui a été très influencée par la mentalité occidentale
ambiante. Sans entrer dans une discussion trop technique, on peut faire
remarquer que le concept de da en tibétain, atman en sanscrit, que l'on
traduit dans beaucoup de cas par ego, certaines fois par soi, a un
domaine de signification très étendu. On rencontre dans celui-ci les
notions de " je ", de " moi ", d' "ego ",
de " soi ", d' " âme ", d' " être " et même
de " Soi ". Notre expérience " moi, je ", ce que je
suis dans mon expérience empirique actuelle participe d'une double nature
authentique et illusoire. Notre expérience n'est ni totalement
authentique ni totalement illusoire: suivant sa qualité, elle est plus ou
moins authentique, plus ou moins illusoire dans un enchevêtrement de
réalité et d'illusion constante. Notre expérience habituelle est la
version duelle, dualiste que la conscience habituelle produit sur la base
de l'expérience primordiale non dualiste de la claire lumière.
L'important est ici de voir que, dans cette expérience de " moi, je
", il y a cette double nature authentique et illusoire, non dualiste
et duelle. C'est une notion traditionnelle qui passe difficilement dans
la terminologie occidentale. Une possibilité pour résoudre cette
difficulté est de considérer que " moi, je " est constitué de ces
deux éléments authentique et illusoire et d'appeler, d'une part, la
présence authentique telle qu'elle est en nous-mêmes le " soi "
et, d'autre part, d'appeler " ego " le voilage, la perception
illusoire des formes qui masquent l'authentique. Dans cette perspective,
" moi, je " est une imbrication de qualités authentiques
émergeant de notre nature profonde. C'est le cas de l'amour, de la
compassion, de la confiance véritable qui sont l'expression de la
présence en nous de la nature de bouddha alors que l'ego est la tendance
dualiste, duelle et conflictuelle qui opère dans les passions en termes
d'attraction, de répulsion, d'indifférence. D'où les émotions
conflictuelles qui filtrent, masquent, voilent et interfèrent avec la
nature de bouddha. Dans cette perspective, la pratique n'est pas la
lutte, la répression de l'ego, mais la reconnaissance des qualités
authentiques présentes en nous. Elle consiste, dans une attitude de
douceur et de détente, à s'ouvrir à ces qualités authentiques, à notre
soi en laissant tomber les fixations de l'ego.
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Sujet:
Cesar ce trompe ! (Lu 400 fois)
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