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La Grenade Légion

 

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Sujet: Le bout de la route !  (Lu 1842 fois)

 

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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Le bout de la route !
« le: Août 09, 2005, 10:23:28 »

 


Le bout de la route !

Depuis que nous sommes au Mexique nous avons multipliés les missions de protections. Aujourd’hui notre lieutenant Gans est malade le pauvre nous l’aimons bien, un autre officier le remplace il s’appel capitaine Danjou. Il est à présent devant nous l’œil d’aigle nous dévisage par un plis a l’angle de s’est yeux un regard d’acier. Pas un mot n’a été dit mais a la fin de l’ inspection habituel seul un petit sourire discret soulève c’est moustache sa touffe finement taillé sous ses lèvres est resté impassible discrétion d’un capitaine d’apparence de mousquetaires. certainement ne sommes nous pas enfin de compte des gardes de cette fameuse route royale !


Il fait nuit enfin nous partons et nous ne savons ou nous allons, un convoi sur la route a protéger après tout ont s’en fou ont va ou ont nous le dit, mais la routine est ennuyeuses cela manque d’actions encore un jour comme un autre. Nous sommes en deux colonnes il est une heure du matin il fait bon mais toute a l’heure a midi il fera chaud c’est pour en crever quel satané pays pire qu’en Afrique, ptet que le capitaine nous trouvera un abris a ce soleil de plomb pire que sous celui d’Afrique nous, nous plaignons de patrie de la maison mère nous Légionnaires d’Afrique, nous qui avons voulus casser la morosité des djebels, nous qui marchons sur cette route je pense a Marie a qui un jour j’ai dit j’reviendrai il y a des années de cela, maintenant je suis a la guerre, Marie m’attend depuis longtemps, dire que nous pourrions dans l’avenir avoir une fille appeler Anne Marie. 

Bha ! j’ai pas a me plaindre le pays d’ou je vient vie la même misère, ici j’ai une paie je voit du pays gratuitement en Afrique je risquait plus ma vie qu’ici ou la routine est quotidienne quel ennuis a quant une bonne bagarre ?   

Le jour ce lève le soleil aussi mais qu’importe nous marchons quel saloperie de route, des cailloux encore des cailloux, ils faudrait les compter et un jour ptet les chanter ! Je me rappel mon pays ou enfant nous foulions la boue devenue sombre a marcher dedans, ou nos parents nous criait dessus bref rappel d’un avant goût de mon avenir de cette instruction reçue a Bel Abbès. Maintenant sur cette route puant l’enfer mes parents me verrai il dirait que le diable marche avec nous. Bon dieu qu’elle est belle Eugénie pour qui nous partons mais ici pas de voile pour le vent inexistant de toute façon ! Comme d’habitude nous emboîtons le pas à nos aînés, derrière nous les brêles quant un jour enfin il inventerons les compagnies montées ? Pour l’instant nous sommes des compagnies de marche.
Voilà un pont, bordel il est comme la route foutu et nous voilà occuper a faire attention encore plus les ornières sont dangereuses de plus le terrain est glissant, la veille la pluie tombait a sceau. Devant moi Brunswick jure comme un païen le sergent-major Tonel en rigolant lui dit de faire plus attention plutôt que de jurer, dieu risque de le rappeler plus vite pour l’engueuler, Brunswick râle une dernière fois et ce tait, un sacré gaillard le sergent il est même acteur de théâtre occasionnel un brave, mais il a raison le moindre faux pas et c’est le grand plongeon en dessous ce maudit torrent.

 

Une compagnie de Légion tien ce pont, une fois traversé notre capitaine c’est dirigé vers une tour, malgré les halte régulières cette halte est bien venue. Nous repartons il est deux et demi du matin l’arrêt a fait du bien.     
van den meersche marche de l’autre coter de la route si ont peut appeler cela une route, rien que poussière et ornières les pierres bien sur. Cette fois c’est Bertoloto qui râle. Le sergent  Morzicky monte et remonte la colonne il nous parles les autres gradés le font aussi, ils vérifies les écarts qui ne doivent pas êtres trop écartés en cas d’attaque ennemie ! Bien sur il y a toujours un caporal derrière je pense donc qu’ils font cela pour rompre la monotonie, cela ne nous empêche de pester. 

 

La chaleur commence a monter et l’uniforme qui est lourd et chaud. Toute a l’heure des broussailles, des hautes herbes et maintenant le plat et des hauteurs une chose est sure le danger est partout tantôt on auraient pus ce faire tirer a bout portant, maintenant ont fait des cibles bien en vue, nous avançons avec précautions et en silence. Nous avons des éclaireurs indiens qui régulièrement vienne voir notre capitaine qui reste impassible. Il impressionne cet officier qui remplace notre lieutenant malade. Sa main de bois nous a fait poser des questions, comment va t’il ce battre avec une seul main ? Quel est son temps de survie en cas de face a face avec un ennemi ? Mais après tout si il est la les gars c’est qu’il n’est pas manchot ! C’est vrais caporal en plus il manque pas de courage dit kunassek rajoutant si il est officier de Légion sa veut tout dire il est donc un excellent officier pour commander des gars comme nous ! Vous avez tout compris les gars dit le caporal Magnin allez préparez vous dans une heure départ . Les discutions ce sont arrêter la. 

 

Nous l’avons directement adopter. Dans notre marche la plupart du temps c’est le silence il est devenu notre compagnon de route depuis longtemps, il y a bien quelques jurons sur un trou ou un cailloux de plus il fait toujours nuit. Nous arrivons dans un lieu au nom a coucher dehors la barranca de Paso Ancho  ( ravin de Large Pas ) encore plus de précaution a prendre ont n’est des proie facile surtout en traversant ce torrent sur cette mince passerelle tout ce fait dans un grand silence, le bruit du torrent bien que hurlant me rappel aussi les petites de chez moi, ou avec Marie ont jouaient dans l’eau. Ah ! Marie tu me manque certainement tu est déjà marié avec Joseph le charpentier ou Hyppolite aux ambitions politiques non je te verrai plus tôt avec celui qui était mon meilleur ami le jovial Emile, je t’imagine avec des marmots pleins les jambes. C’est Camerone un village indien dit une voie au capitaine ma pensée a été coupée.

 

 Il est environs cinq heure et demi du matin quatre que l’ont n’est en route, trois heure que l’ont n’a vue âmes qui vivent. Les villages indiens sont tous pareils nous a ton dis misérables, la pauvreté ne peut pas y être plus représenté. Toits de chaume blanche touchant le sol, murs réparés tout y est rafistolés avec n’importe quoi ont ce demande comment sa tien debout, la main de dieu sans doute, le village que nous apercevons n’a qu’une dizaines de vieilles huttes car ces mieux de les appeler ainsi elles sont de chaque coté de la route, a trois cent mètres de la sortie une grosse Hacienda j’entant le nom de Trinidad c’est certainement son nom ! Le capitaine nous envois en reconnaissance. Nous pénétrons dans le bâtiment qui ce trouve au sud tandis que d’autres rentre dans le bâtiment nord. La ferme est partagée par la route et est complètement abandonnée nous le constatons car toutes est en ruine derrière c’est mur qui font bien trois mètres de hauteur, la cour est carrée c’est le bâtiment des animaux car nous trouvons des traces de passages, quelques camarades visitais l’étage en longueur, rien pas de meubles de travailler ou autres, nous trouvons bien quelques lanières de cuir elles doivent dater de longtemps vu leur état.

 

Nous retournons vers le reste de la compagnie ou les gradés font leurs rapport, nous entendons que dans l’autre bâtiment il n’y a rien non plus la quarantaine de mètres de façade constitue les logis une dizaine de chambres, cuisine salle a manger etc..  Le capitaine Danjou a l’air satisfait mais est il rassuré pour autant en tout cas il ne le montre pas car de ce pays les surprises sont nombreuses !
Le capitaine fait partagé la compagnie en trois, une section fera le flanc droit de la route, l’autre le flanc gauche le tout plus ce rabattra plus tard sur nous, quand t’a moi je fait partie de l’escouade de reconnaissance de notre capitaine. Nous partons sur la voie avec les mules qui ont tout le ravitaillement il est convenu que tous le monde ce retrouverai a Palo Verde. Nous traversons des bois, des terrains dégagés et encore des bois. Cela fait plusieurs heures que nous somme en marche, maintenant il fait chaud encore plus qu’au début de la nuit, j’entend une voie dire la journée va être très chaude, et je le croit aussi, j’en profite pour demandé au caporal qu’el jour on est ! 30 avril mon gars ! Merci caporal , de rien.  Le capitaine a désigné une escouade pour aller a la mare, et des gardes en cas ou ?


Nous vaguons a diverses corvées, certains peuvent ce reposer quand brusquement vers huit heure. Des gars de la compagnie arrive, parle au capitaine qui ce met a regarder dans sa lorgnette. Rappelez l’escouade qui est a la mare, ennemi c’est de la cavalerie puis nous regardant d’un air désolé ordonne, renversé les marmites. En moins de cinq minutes le sergent major a envoyer un Légionnaire chercher le caporal Magnin qui garde l’eau avec quelques gars, les mulets sont rechargés. Après avoir observer l’ennemi le capitaine décide que nous retournons sur nos arrières par la droite a couvert des bois, a quoi pense t’il ? Le sergent major nous dit que le capitaine ne sait pas très bien ce que veut l’ennemi a t’il l’intention de nous tendre une embuscade dans ce cas l’hacienda est un  bon poste de défense, la mission reste la même le convoi doit passer ! Il est environs huit heure d’après le soleil nous allons vers le Nord Ouest, le capitaine a prévu une escouade en tirailleur devant nous, mais cette forêt ressemble plus a un maquis tellement la variété de végétations est complexes et différentes de chez nous en Europe ici les Mexicains appelles cela une Mata. Nous devons même employer nos baïonnettes pour avancer dans cet imbroglio, la marche n’est pas pour autant rafraîchissante sous les arbres, nous transpirons en plus la marche n’est pas facilitée vivement l’hacienda ptet que l’ont pourra ce reposer et ne pas subir d’attaque avant.

 

Je vois que souvent notre capitaine consulte son plant nous savons tous que ce n’est qu’un dessin sans plus mais nous faisons confiances a nos officiers. Nous marchons depuis un petit bout de temps quarante minutes je pense quand nous arrivons a une rivière aux bords escarpés nous rendons aussi que ce n’est pas le chemin de l’hacienda Trinidad. Les officiers jugent trop dangereux de traversé, cette fois ci nous le savons nous retournons a Camerone. Le chemin est tout aussi pénible un pressentiment m’étreint. 
Sortant de ce bois nous sommes sur la route enfin mais le soleil est de plomb face a nous a trois cent mètres Trinidad enfin, quand brusquement un coup de feu, Conrad tombe il est touché. Le capitaine a gardé comme a son habitude gardé son sang froid et l’œil avisé a vu le tireur situé a une fenêtre assez haute placée, il ordonne une charge et nous y allons. Je suis dans le groupe de droite de la route l’autre est a gauche le capitaine marche sur le bas coté il est accompagné de son ordonnance et de José un Mexicain qui s’occupe personnellement de son cheval, il est raide et avance sans peur on le croirai invincible.

 

Nous contournons le bâtiment pour arriver sur son arrière le but est d’avoir ce tireur embusqué. Nous fouillons les baraquements rien personnes, arriver dehors certains attende l’arme au pied, d’autres reviennent la mine dépitée la rivière ou il ont été et si ont peut appeler cela comme cela disent celle si a sec, les gourdes de la plupart d’entre nous sont vides.
Le capitaine nous fait retourné vers Paso del Macho afin de prévenir le capitaine Saussier. Mais nous n’allons pas loin sur nos arrières des Lanciers Mexicains s’apprêtent a nous charger sabre au poing. Nous réalisons que le tireur qui a blessé a la hanche notre ami Conrad n’a fait que prévenir les siens de nôtres présences ! Notre capitaine n’hésite pas il va montrer a ces cavalieros comment nous Légionnaires ont sait se battre. Légionnaires baïonnette au canon, tambour  bat la charge. Alors aux pas cadencé nous avançons l’ennemi est surpris il reculent, une chose nous frappent ils reculent oui mais a distance de portée de tir de nos armes, le capitaine a reconnu leurs drapeau c’est celui des Lanciers d’Orizaba commandé par un officier d’expérience le Chef d’escadron Joachim Jimnez.  Mais il s’arrêtent pour ce diviser en deux groupes qui ce mettent a descendre vers nous, ma parole ils veulent nous encercler. Le Capitaine réagit formez le carré crie t’il, nos chefs de sections les lieutenants Vilain et Maudet ainsi que les quatre sergents nous placent mais les muletiers n’arrivent pas a calmer les mules effrayés par tout ce vacarme nous devons bien les laisser s’échapper devant l’air dépité du sergent major Tonel qui a tout essayer pour les en empêchées adieu ravitaillements et munitions ! 

Nous sommes en carré maintenant un officier Mexicain s’avance vers nous, derrière lui les Lanciers ils font cercle autours de nous ils ne sont plus très loin cinquante, soixante mètre le plus important c’est qu’ils arrivent a porté de nos fusils. Celui qui semble être Jimenez a son sabre en main s’arrêtant un instant j’ai l’impression que son regard d’aigle nous transperce tous en une fois, puis levant son sabre le rabaissant immédiatement  en criant en avant, exactement au même moment notre capitaine donne l’ordre de tirer sur les cavaliers qui ce sont mis aux galops. Nous tirons sans discontinuer, combien de temps cela dure, mais ils reculent abandonnant le terrain plat ils reculent en désordres. Le capitaine a profité de ce répit provisoire pour nous faire reculer derrière une haie mais il sait la protection précaire, l’ennemi reviendra ces sure il le sait le terrain nous est pas favorable contre de la cavalerie, Jimenez le sait ! Le capitaine a vu un talus avec une haie de cactus en la regardant ont diraient une clôture mais elle va jusque l’Hacienda, le capitaine nous explique en vitesse que nous devons passer la haie puis essayer de rejoindre les bois en suite nous essayerons de rejoindre sous son couvert Paso del Macho, la cavalerie ne pourra pas nous poursuivre a cheval.

 

Pourquoi pas nous, nous disons ! Nous, nous y lançons. Mais l’ennemi a changer ses plants une partie de l’escadron a comme prévu le capitaine heurter contre la haie de cactus les pauvres chevaux refusent de sauter, de ce coter la, la charge est brisé mais déjà le capitaine a ordonné a nouveau le carré un deuxième groupes nous charge, quel diable d’homme ce Jimenez on dirait qu’il lis dans la tête de notre chef ! Ce dernier ne pense cas sauver ses hommes mais il connaît l’importance du convoi venant de Vera cruz les Mexicains peuvent lui tendre une embuscade n’importe ou ! Les officiers et sous officiers gardent leur sang froid ainsi les ordres nous arrivent avec calme, le capitaine sait que nous tiendrons quoi qu’ils arrivent. Nous avons tous sans exceptions le plus grand respect pour lui. Ce diable d’homme a compris la situation il faut tenir coûte que coûte jusque l’arrivée des renforts, nous pensons tous que le capitaine Saussier doit être au courant de notre situation, il va accourir avec ces grenadiers et nous sortir de ce guêpier. Le capitaine nous dit « Légionnaires la route vers la forêt est trop loin mettons nous a l’abris dans les bâtiments de l’hacienda jusqu'à l’arrivé des renforts » 

 

Nous profitons de ce nouveau répit pour suivre les sous lieutenants Maudet je suis dans celui du sous lieutenant villain, nous arrivons par l’ouest de l’hacienda les portes n’existes plus nous, nous engouffrons dedans pour arriver dans la cour carré, nous avons mieux constater la hauteur des murs ils font bien trois mètres. Ce qui est frappant ce sont ces murs qui font faces a chaque point cardinaux.
Le capitaine forme des escouades deux vont tentés de contenir les Mexicains nous, nous barricadons le maximums de trou je me retrouve même a une ancienne porte assez grande pour laisser passer un lancier avec son cheval, puis tout va très vite l’infanterie est arrivée, assauts après assauts nous tenons, nous avons soif il fait torride,  par les murs les mexicains ouvrent des brèches, Le capitaine est mort, nous avons fait serment de tenir jusqu'à la fin. A mes cotés van den meersche a râler de douleur, plus loin d’autres je ne sais plus qui sait sont morts ou blessés, ils arrivent de partout. 

 

J’en ai tuer le plus que je pouvait maintenant j’entend des voix, mettez les baïonnettes, ils sortent a cinq, face a moi des têtes noirs je ressent des douleurs ce sont des baïonnettes, je tombe je voit encore les yeux ouvert de van den meersche puis plus rien, en suite une lumière dans ce tunnel je me trouve au pays, je vois Marie et Joseph il y a un enfant qui courre vers moi j’ai déposé mes papiers sous une pierre blanche que j’ai ramassé avant d’arriver au bout du chemin qui est derrière moi, les papiers déposés je me suis retourné après un dernier signe d’adieu. Je n’avait nuls craintes le Capitaine et mes camarades m’attendaient, la compagnie reprenait la route mais sans bout de chemin cette fois si, a nouveau van den meersche marchait a mes coter, Brunswick et Bertoloto ne râlaient plus tout était calme. 

Epilogue.

Maman, maman regarde sur la route dans la lumière un soldat, j’ai ramasser ce papier en dessous d’une pierre il la déposer. La femme et l’homme qui était a ses coter regardait vers la lumière, la femme dit mon dieu ce soldat c’est X il nous sourit, regarde il nous fait signe et s’en retourne vers d’autres soldats qui l’attendent, la lumière suivit la route pour disparaître derrière la ferme blanche du petit village.

Moi l’enfant qui a ramasser un jour ce papier je vous raconte l’histoire de mon oncle qui aurai pus être mon père ! Bien sur je suis vieux maintenant, et mon ptit fils est devenu Légionnaire je le sait car je l’ai conduit a un centre de recrutement, j’ai montré mes feuilles jaunies et le cailloux il a lut l’histoire puis a pris une photo ou dessus ce trouvai une Hacienda les murs y étaient troués il compara et dit incroyable monsieur c’est un éclat de mur de l’hacienda de Camerone, incroyable ! Bien que je vous crois monsieur malheureusement personnes ne nous croiras et nous prendra pour des fous, je vous conseille de laisser cela aux Légendes, en ce qui me concerne cette histoire je la garde pour moi, au revoir monsieur une chose est sur ici ont saura que votre petit fils avait un descendant a Camerone mais dans le silence de la Légion. A vous lecteur de croire ce que vous voulez je vais aussi arriver a mon bout de route bientôt !

Le carnet du Légionnaire.
Ex : Légionnaire Trousson Yves.
Bibliothèque Royal Belge : Mars 2004.



* Camerone med 3.jpg (1.83 KB, 67x90 - vu 183 fois.)

« Dernière édition: Avril 20, 2006, 08:34:41 par P'tit Sapeur »

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Lone Star
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Re: Le bout de la route !
« Répondre #1 le: Décembre 28, 2005, 09:37:16 »

 


Une bien belle histoire.

 

 

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Celtic
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Re: Le bout de la route !
« Répondre #2 le: Décembre 30, 2005, 04:59:34 »

 


Une bien belle histoire c'est vrais.
[move][/move] Wink



* walhalla.gif (15.49 KB, 150x126 - vu 168 fois.)

 

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Coeur de Chouan.
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Re: Le bout de la route !
« Répondre #3 le: Janvier 19, 2006, 12:46:38 »

 


Je voudrai félicité P'tit Sapeur pour ses histoires je les trouve très profondes ! Félicitations et merci pour cette histoire et les autres aussi bien sur !  Roll Eyes

 

 

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Thor
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Re: Le bout de la route !
« Répondre #4 le: Janvier 20, 2006, 11:21:18 »

 


Tu a raison il faut le faire !

 

 

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Old Rebs
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Re: Le bout de la route !
« Répondre #5 le: Janvier 20, 2006, 08:33:10 »

 


iréel de fiction, très originale et bien écrit, c'est mon avis personel !

 

 

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anatole117
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #6 le: Mars 02, 2006, 01:15:56 »

 


Je lisait le noms de l'honneur, j' ai pas su répondre car imposible, mais je déduit de tous cela que ce serait intentionel de la part du créateur de ce forum, peut-être a t'il voulut créer un monument aux mort de camerone ?
En tout cas cette histoire d' au de la mort semble réel, comment des personnes peuvent ils écrirent des histoires pareils. Celui qui la écrite semble avoir été dans le feu des faits de cette époque. En tout cas cet une histoire pleines d'émotions, moi qui et fait 40, je n'aurrai jamais penser a écrire une telle histoire pour les copains morts a mes cotés. Bravo falait y penser !

 

 

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g.legionnaire
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La LEGION s'est juste coté B O R D E L !!!!!!!


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Re : Le bout de la route !
« Répondre #7 le: Mars 02, 2006, 01:28:18 »

 


bonjour
et bin s'est bien vrai et s'est une belle histoire

 

 

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Un  Cavalier  ;  Carayon est seul sur sa monture mais alors il éclate de rire !!

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P'tit Sapeur
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #8 le: Mars 04, 2006, 02:47:05 »

 


Je vous remercie tous pour vos avis sur cette histoire; J'ai cette histoire a coeur !

 

 

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Sapeur Bobillot
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #9 le: Mars 11, 2006, 11:39:51 »

 


Il faut le faire de réaliser une si belle histoire imaginaire.  Cheesy

 

 

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Raymond
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #10 le: Mars 18, 2006, 09:19:32 »

 


Je la trouve très touchante.

 

 

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Corsaire
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #11 le: Mars 26, 2006, 07:46:20 »

 


C'est mon histoire preférée. Smiley

 

 

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Antimoine
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #12 le: Mars 26, 2006, 06:32:37 »

 


Que dire de plus sur vos apréciations,.

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #13 le: Mars 27, 2006, 12:16:34 »

 


J' essaye de faire de mon mieux, j'aime bien les lettres imaginaires.

 

 

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Caderasa
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #14 le: Avril 05, 2006, 03:04:04 »

 


Si on croi a la vie d'avant maintnan il dois avoir vécu la vie au mexico pour raconter une histoir si joli.

 

 

Auteur

Sujet: Le bout de la route !  (Lu 1842 fois)

 

 

Alamo
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #15 le: Avril 26, 2006, 10:47:07 »

 


Chaqiue fois que je passe cet histoire à beaucoup de succés ! C'est une histoire fantastique, au fond pourquoi ne serait elle pas vraie, moi pour le plaisir j'y crois.

 

 

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Raymond
Invité


Courriel

Re : Le bout de la route !
« Répondre #16 le: Avril 29, 2006, 11:23:06 »

 


A chacun de mes passages je ne peu m'empexcher de venir lire cette histoire; elle semble si réel, et si la vie après la mort c'était cela ?

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #17 le: Avril 29, 2006, 02:03:39 »

 


Hé,hé les même pensées Alamo et Raymond. Mais merci quand même

 

 

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Antimoine
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #18 le: Mai 04, 2006, 10:02:09 »

 


Un beau Score ce bout du chemin. Cheesy

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #19 le: Mai 05, 2006, 03:51:01 »

 


A mon avis je pense que cette histoire n' aurras jamais de bout de route.

 

 

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Arthur
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Re : Le bout de la route !
« Répondre #20 le: Avril 03, 2007, 03:47:41 »

 


Magnifique de réalité, on s'y croirait.

 

 

 

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