P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Le
bout de la route !
« le: Août 09, 2005, 10:23:28 »
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Le
bout de la route !
Depuis que nous sommes au Mexique nous avons multipliés les missions de
protections. Aujourd’hui notre lieutenant Gans est malade le pauvre nous l’aimons
bien, un autre officier le remplace il s’appel capitaine Danjou. Il est à
présent devant nous l’œil d’aigle nous dévisage par un plis a l’angle de
s’est yeux un regard d’acier. Pas un mot n’a été dit mais a la fin de l’
inspection habituel seul un petit sourire discret soulève c’est moustache
sa touffe finement taillé sous ses lèvres est resté impassible discrétion
d’un capitaine d’apparence de mousquetaires. certainement ne sommes nous
pas enfin de compte des gardes de cette fameuse route royale !
Il fait nuit enfin nous partons et nous ne savons ou nous allons, un
convoi sur la route a protéger après tout ont s’en fou ont va ou ont nous
le dit, mais la routine est ennuyeuses cela manque d’actions encore un
jour comme un autre. Nous sommes en deux colonnes il est une heure du
matin il fait bon mais toute a l’heure a midi il fera chaud c’est pour en
crever quel satané pays pire qu’en Afrique, ptet que le capitaine nous
trouvera un abris a ce soleil de plomb pire que sous celui d’Afrique
nous, nous plaignons de patrie de la maison mère nous Légionnaires
d’Afrique, nous qui avons voulus casser la morosité des djebels, nous qui
marchons sur cette route je pense a Marie a qui un jour j’ai dit
j’reviendrai il y a des années de cela, maintenant je suis a la guerre,
Marie m’attend depuis longtemps, dire que nous pourrions dans l’avenir
avoir une fille appeler Anne Marie.
Bha !
j’ai pas a me plaindre le pays d’ou je vient vie la même misère, ici j’ai
une paie je voit du pays gratuitement en Afrique je risquait plus ma vie
qu’ici ou la routine est quotidienne quel ennuis a quant une bonne
bagarre ?
Le
jour ce lève le soleil aussi mais qu’importe nous marchons quel saloperie
de route, des cailloux encore des cailloux, ils faudrait les compter et
un jour ptet les chanter ! Je me rappel mon pays ou enfant nous foulions
la boue devenue sombre a marcher dedans, ou nos parents nous criait
dessus bref rappel d’un avant goût de mon avenir de cette instruction
reçue a Bel Abbès. Maintenant sur cette route puant l’enfer mes parents
me verrai il dirait que le diable marche avec nous. Bon dieu qu’elle est
belle Eugénie pour qui nous partons mais ici pas de voile pour le vent
inexistant de toute façon ! Comme d’habitude nous emboîtons le pas à nos
aînés, derrière nous les brêles quant un jour enfin il inventerons les
compagnies montées ? Pour l’instant nous sommes des compagnies de marche.
Voilà un pont, bordel il est comme la route foutu et nous voilà occuper a
faire attention encore plus les ornières sont dangereuses de plus le
terrain est glissant, la veille la pluie tombait a sceau. Devant moi
Brunswick jure comme un païen le sergent-major Tonel en rigolant lui dit
de faire plus attention plutôt que de jurer, dieu risque de le rappeler
plus vite pour l’engueuler, Brunswick râle une dernière fois et ce tait,
un sacré gaillard le sergent il est même acteur de théâtre occasionnel un
brave, mais il a raison le moindre faux pas et c’est le grand plongeon en
dessous ce maudit torrent.
Une
compagnie de Légion tien ce pont, une fois traversé notre capitaine c’est
dirigé vers une tour, malgré les halte régulières cette halte est bien
venue. Nous repartons il est deux et demi du matin l’arrêt a fait du
bien.
van den meersche marche de l’autre coter de la route si ont peut appeler
cela une route, rien que poussière et ornières les pierres bien sur.
Cette fois c’est Bertoloto qui râle. Le sergent Morzicky monte et
remonte la colonne il nous parles les autres gradés le font aussi, ils
vérifies les écarts qui ne doivent pas êtres trop écartés en cas
d’attaque ennemie ! Bien sur il y a toujours un caporal derrière je pense
donc qu’ils font cela pour rompre la monotonie, cela ne nous empêche de
pester.
La
chaleur commence a monter et l’uniforme qui est lourd et chaud. Toute a
l’heure des broussailles, des hautes herbes et maintenant le plat et des
hauteurs une chose est sure le danger est partout tantôt on auraient pus
ce faire tirer a bout portant, maintenant ont fait des cibles bien en
vue, nous avançons avec précautions et en silence. Nous avons des
éclaireurs indiens qui régulièrement vienne voir notre capitaine qui
reste impassible. Il impressionne cet officier qui remplace notre
lieutenant malade. Sa main de bois nous a fait poser des questions,
comment va t’il ce battre avec une seul main ? Quel est son temps de
survie en cas de face a face avec un ennemi ? Mais après tout si il est
la les gars c’est qu’il n’est pas manchot ! C’est vrais caporal en plus
il manque pas de courage dit kunassek rajoutant si il est officier de
Légion sa veut tout dire il est donc un excellent officier pour commander
des gars comme nous ! Vous avez tout compris les gars dit le caporal
Magnin allez préparez vous dans une heure départ . Les discutions ce sont
arrêter la.
Nous
l’avons directement adopter. Dans notre marche la plupart du temps c’est
le silence il est devenu notre compagnon de route depuis longtemps, il y
a bien quelques jurons sur un trou ou un cailloux de plus il fait
toujours nuit. Nous arrivons dans un lieu au nom a coucher dehors la
barranca de Paso Ancho ( ravin de Large Pas ) encore plus de
précaution a prendre ont n’est des proie facile surtout en traversant ce
torrent sur cette mince passerelle tout ce fait dans un grand silence, le
bruit du torrent bien que hurlant me rappel aussi les petites de chez
moi, ou avec Marie ont jouaient dans l’eau. Ah ! Marie tu me manque
certainement tu est déjà marié avec Joseph le charpentier ou Hyppolite
aux ambitions politiques non je te verrai plus tôt avec celui qui était
mon meilleur ami le jovial Emile, je t’imagine avec des marmots pleins
les jambes. C’est Camerone un village indien dit une voie au capitaine ma
pensée a été coupée.
Il est environs cinq heure et demi du
matin quatre que l’ont n’est en route, trois heure que l’ont n’a vue âmes
qui vivent. Les villages indiens sont tous pareils nous a ton dis
misérables, la pauvreté ne peut pas y être plus représenté. Toits de
chaume blanche touchant le sol, murs réparés tout y est rafistolés avec
n’importe quoi ont ce demande comment sa tien debout, la main de dieu
sans doute, le village que nous apercevons n’a qu’une dizaines de
vieilles huttes car ces mieux de les appeler ainsi elles sont de chaque
coté de la route, a trois cent mètres de la sortie une grosse Hacienda
j’entant le nom de Trinidad c’est certainement son nom ! Le capitaine
nous envois en reconnaissance. Nous pénétrons dans le bâtiment qui ce
trouve au sud tandis que d’autres rentre dans le bâtiment nord. La ferme
est partagée par la route et est complètement abandonnée nous le
constatons car toutes est en ruine derrière c’est mur qui font bien trois
mètres de hauteur, la cour est carrée c’est le bâtiment des animaux car
nous trouvons des traces de passages, quelques camarades visitais l’étage
en longueur, rien pas de meubles de travailler ou autres, nous trouvons
bien quelques lanières de cuir elles doivent dater de longtemps vu leur
état.
Nous
retournons vers le reste de la compagnie ou les gradés font leurs
rapport, nous entendons que dans l’autre bâtiment il n’y a rien non plus
la quarantaine de mètres de façade constitue les logis une dizaine de
chambres, cuisine salle a manger etc.. Le capitaine Danjou a l’air
satisfait mais est il rassuré pour autant en tout cas il ne le montre pas
car de ce pays les surprises sont nombreuses !
Le capitaine fait partagé la compagnie en trois, une section fera le
flanc droit de la route, l’autre le flanc gauche le tout plus ce rabattra
plus tard sur nous, quand t’a moi je fait partie de l’escouade de
reconnaissance de notre capitaine. Nous partons sur la voie avec les
mules qui ont tout le ravitaillement il est convenu que tous le monde ce
retrouverai a Palo Verde. Nous traversons des bois, des terrains dégagés
et encore des bois. Cela fait plusieurs heures que nous somme en marche, maintenant
il fait chaud encore plus qu’au début de la nuit, j’entend une voie dire
la journée va être très chaude, et je le croit aussi, j’en profite pour
demandé au caporal qu’el jour on est ! 30 avril mon gars ! Merci caporal
, de rien. Le capitaine a désigné une escouade pour aller a la
mare, et des gardes en cas ou ?
Nous vaguons a diverses corvées, certains peuvent ce reposer quand
brusquement vers huit heure. Des gars de la compagnie arrive, parle au
capitaine qui ce met a regarder dans sa lorgnette. Rappelez l’escouade
qui est a la mare, ennemi c’est de la cavalerie puis nous regardant d’un
air désolé ordonne, renversé les marmites. En moins de cinq minutes le
sergent major a envoyer un Légionnaire chercher le caporal Magnin qui
garde l’eau avec quelques gars, les mulets sont rechargés. Après avoir
observer l’ennemi le capitaine décide que nous retournons sur nos
arrières par la droite a couvert des bois, a quoi pense t’il ? Le sergent
major nous dit que le capitaine ne sait pas très bien ce que veut
l’ennemi a t’il l’intention de nous tendre une embuscade dans ce cas
l’hacienda est un bon poste de défense, la mission reste la même le
convoi doit passer ! Il est environs huit heure d’après le soleil nous
allons vers le Nord Ouest, le capitaine a prévu une escouade en
tirailleur devant nous, mais cette forêt ressemble plus a un maquis
tellement la variété de végétations est complexes et différentes de chez
nous en Europe ici les Mexicains appelles cela une Mata. Nous devons même
employer nos baïonnettes pour avancer dans cet imbroglio, la marche n’est
pas pour autant rafraîchissante sous les arbres, nous transpirons en plus
la marche n’est pas facilitée vivement l’hacienda ptet que l’ont pourra
ce reposer et ne pas subir d’attaque avant.
Je
vois que souvent notre capitaine consulte son plant nous savons tous que
ce n’est qu’un dessin sans plus mais nous faisons confiances a nos
officiers. Nous marchons depuis un petit bout de temps quarante minutes
je pense quand nous arrivons a une rivière aux bords escarpés nous
rendons aussi que ce n’est pas le chemin de l’hacienda Trinidad. Les
officiers jugent trop dangereux de traversé, cette fois ci nous le savons
nous retournons a Camerone. Le chemin est tout aussi pénible un
pressentiment m’étreint.
Sortant de ce bois nous sommes sur la route enfin mais le soleil est de
plomb face a nous a trois cent mètres Trinidad enfin, quand brusquement
un coup de feu, Conrad tombe il est touché. Le capitaine a gardé comme a
son habitude gardé son sang froid et l’œil avisé a vu le tireur situé a
une fenêtre assez haute placée, il ordonne une charge et nous y allons.
Je suis dans le groupe de droite de la route l’autre est a gauche le
capitaine marche sur le bas coté il est accompagné de son ordonnance et
de José un Mexicain qui s’occupe personnellement de son cheval, il est
raide et avance sans peur on le croirai invincible.
Nous
contournons le bâtiment pour arriver sur son arrière le but est d’avoir
ce tireur embusqué. Nous fouillons les baraquements rien personnes, arriver
dehors certains attende l’arme au pied, d’autres reviennent la mine
dépitée la rivière ou il ont été et si ont peut appeler cela comme cela
disent celle si a sec, les gourdes de la plupart d’entre nous sont vides.
Le capitaine nous fait retourné vers Paso del Macho afin de prévenir le
capitaine Saussier. Mais nous n’allons pas loin sur nos arrières des
Lanciers Mexicains s’apprêtent a nous charger sabre au poing. Nous
réalisons que le tireur qui a blessé a la hanche notre ami Conrad n’a
fait que prévenir les siens de nôtres présences ! Notre capitaine
n’hésite pas il va montrer a ces cavalieros comment nous Légionnaires ont
sait se battre. Légionnaires baïonnette au canon, tambour bat la
charge. Alors aux pas cadencé nous avançons l’ennemi est surpris il
reculent, une chose nous frappent ils reculent oui mais a distance de
portée de tir de nos armes, le capitaine a reconnu leurs drapeau c’est
celui des Lanciers d’Orizaba commandé par un officier d’expérience le
Chef d’escadron Joachim Jimnez. Mais il s’arrêtent pour ce diviser
en deux groupes qui ce mettent a descendre vers nous, ma parole ils
veulent nous encercler. Le Capitaine réagit formez le carré crie t’il,
nos chefs de sections les lieutenants Vilain et Maudet ainsi que les
quatre sergents nous placent mais les muletiers n’arrivent pas a calmer
les mules effrayés par tout ce vacarme nous devons bien les laisser
s’échapper devant l’air dépité du sergent major Tonel qui a tout essayer
pour les en empêchées adieu ravitaillements et munitions !
Nous
sommes en carré maintenant un officier Mexicain s’avance vers nous,
derrière lui les Lanciers ils font cercle autours de nous ils ne sont
plus très loin cinquante, soixante mètre le plus important c’est qu’ils
arrivent a porté de nos fusils. Celui qui semble être Jimenez a son sabre
en main s’arrêtant un instant j’ai l’impression que son regard d’aigle
nous transperce tous en une fois, puis levant son sabre le rabaissant
immédiatement en criant en avant, exactement au même moment notre
capitaine donne l’ordre de tirer sur les cavaliers qui ce sont mis aux
galops. Nous tirons sans discontinuer, combien de temps cela dure, mais
ils reculent abandonnant le terrain plat ils reculent en désordres. Le
capitaine a profité de ce répit provisoire pour nous faire reculer
derrière une haie mais il sait la protection précaire, l’ennemi reviendra
ces sure il le sait le terrain nous est pas favorable contre de la
cavalerie, Jimenez le sait ! Le capitaine a vu un talus avec une haie de
cactus en la regardant ont diraient une clôture mais elle va jusque
l’Hacienda, le capitaine nous explique en vitesse que nous devons passer
la haie puis essayer de rejoindre les bois en suite nous essayerons de
rejoindre sous son couvert Paso del Macho, la cavalerie ne pourra pas
nous poursuivre a cheval.
Pourquoi
pas nous, nous disons ! Nous, nous y lançons. Mais l’ennemi a changer ses
plants une partie de l’escadron a comme prévu le capitaine heurter contre
la haie de cactus les pauvres chevaux refusent de sauter, de ce coter la,
la charge est brisé mais déjà le capitaine a ordonné a nouveau le carré
un deuxième groupes nous charge, quel diable d’homme ce Jimenez on dirait
qu’il lis dans la tête de notre chef ! Ce dernier ne pense cas sauver ses
hommes mais il connaît l’importance du convoi venant de Vera cruz les
Mexicains peuvent lui tendre une embuscade n’importe ou ! Les officiers
et sous officiers gardent leur sang froid ainsi les ordres nous arrivent
avec calme, le capitaine sait que nous tiendrons quoi qu’ils arrivent.
Nous avons tous sans exceptions le plus grand respect pour lui. Ce diable
d’homme a compris la situation il faut tenir coûte que coûte jusque
l’arrivée des renforts, nous pensons tous que le capitaine Saussier doit
être au courant de notre situation, il va accourir avec ces grenadiers et
nous sortir de ce guêpier. Le capitaine nous dit « Légionnaires la route
vers la forêt est trop loin mettons nous a l’abris dans les bâtiments de
l’hacienda jusqu'à l’arrivé des renforts »
Nous
profitons de ce nouveau répit pour suivre les sous lieutenants Maudet je
suis dans celui du sous lieutenant villain, nous arrivons par l’ouest de
l’hacienda les portes n’existes plus nous, nous engouffrons dedans pour
arriver dans la cour carré, nous avons mieux constater la hauteur des murs
ils font bien trois mètres. Ce qui est frappant ce sont ces murs qui font
faces a chaque point cardinaux.
Le capitaine forme des escouades deux vont tentés de contenir les
Mexicains nous, nous barricadons le maximums de trou je me retrouve même
a une ancienne porte assez grande pour laisser passer un lancier avec son
cheval, puis tout va très vite l’infanterie est arrivée, assauts après
assauts nous tenons, nous avons soif il fait torride, par les murs
les mexicains ouvrent des brèches, Le capitaine est mort, nous avons fait
serment de tenir jusqu'à la fin. A mes cotés van den meersche a râler de
douleur, plus loin d’autres je ne sais plus qui sait sont morts ou
blessés, ils arrivent de partout.
J’en
ai tuer le plus que je pouvait maintenant j’entend des voix, mettez les
baïonnettes, ils sortent a cinq, face a moi des têtes noirs je ressent
des douleurs ce sont des baïonnettes, je tombe je voit encore les yeux
ouvert de van den meersche puis plus rien, en suite une lumière dans ce
tunnel je me trouve au pays, je vois Marie et Joseph il y a un enfant qui
courre vers moi j’ai déposé mes papiers sous une pierre blanche que j’ai
ramassé avant d’arriver au bout du chemin qui est derrière moi, les
papiers déposés je me suis retourné après un dernier signe d’adieu. Je
n’avait nuls craintes le Capitaine et mes camarades m’attendaient, la
compagnie reprenait la route mais sans bout de chemin cette fois si, a
nouveau van den meersche marchait a mes coter, Brunswick et Bertoloto ne
râlaient plus tout était calme.
Epilogue.
Maman, maman regarde sur la route dans la lumière un soldat, j’ai
ramasser ce papier en dessous d’une pierre il la déposer. La femme et
l’homme qui était a ses coter regardait vers la lumière, la femme dit mon
dieu ce soldat c’est X il nous sourit, regarde il nous fait signe et s’en
retourne vers d’autres soldats qui l’attendent, la lumière suivit la
route pour disparaître derrière la ferme blanche du petit village.
Moi
l’enfant qui a ramasser un jour ce papier je vous raconte l’histoire de
mon oncle qui aurai pus être mon père ! Bien sur je suis vieux
maintenant, et mon ptit fils est devenu Légionnaire je le sait car je
l’ai conduit a un centre de recrutement, j’ai montré mes feuilles jaunies
et le cailloux il a lut l’histoire puis a pris une photo ou dessus ce
trouvai une Hacienda les murs y étaient troués il compara et dit
incroyable monsieur c’est un éclat de mur de l’hacienda de Camerone,
incroyable ! Bien que je vous crois monsieur malheureusement personnes ne
nous croiras et nous prendra pour des fous, je vous conseille de laisser
cela aux Légendes, en ce qui me concerne cette histoire je la garde pour
moi, au revoir monsieur une chose est sur ici ont saura que votre petit
fils avait un descendant a Camerone mais dans le silence de la Légion. A
vous lecteur de croire ce que vous voulez je vais aussi arriver a mon
bout de route bientôt !
Le carnet du Légionnaire.
Ex : Légionnaire Trousson Yves.
Bibliothèque Royal Belge : Mars 2004.
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