P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
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Mon devoir, la mémoire !
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Autres
villes Légion.
« le: Décembre 05, 2005, 12:12:27 »
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villes Légion.
Saida.
D’autres villes dure leur origines et un essor florissant grâce a la
Légion.
Mascara, Geryville construites à partir de 1853 par le grand père du
célèbre commandant Segrétatain du 1er B.E.P tué héroïquement en Indochine,
sont grand père en 1853 était Lieutenant du génie et avait pour prénom
Alexandre. Ain-Sefra, Mecheria sont de ces villes a l’époque, plus tard
In-Sala ou Colomb Béchar. Il y à aussi Saida la ville sainte pour la
Légion ces premières pierres furent posées en 1840.
C’est
l’époque ou Abd-El-Kader est chassé de son Douar d’ou il était
originaire, il du fuir sa capital Mascara. Ce dernier va s’installer sur
plateau rocailleux, bordé par des falaises a pic de la hauteur de
cinquante mètres Abd-El-Kader l’appel Saida ce qui ce traduit par « la
fortunée, la bienheureuse » Le général Bugeaux partit de Mascara marche
vers lui Abd-El-Kader sentant le danger détruit lui même sa nouvelle
capitale du moins en partie car le reste c’est la Légion qui le fera dont
la citadelle, puis s’enfuit. Malgré des ordres opposés en 1844 le général
de La Moricière décide de bâtir un camp permanent.
Ce sera
qu’en automne de la même année que le 1er bataillon de la Légion va s’y
établir, le 1er commandant de la place est donc le Lieutenant-colonel
Mouret du 1er bataillon Légion. Que vont ils voir en arrivant comme a
Sidi-Bel-Abbès tout est a faire car il n’y a rien sauf un magasin pour
les marchands de passage ce magasin est appelé la biscuiterie et un
simple bivouac c’est tout cela sert de base arrière pour ceux qui ce
dirigent vers le sud. Rapidement une redoute va être bâtie sur une croupe
qui ce trouve près d’une source du nom de Ain-Soltan.
Au nord
de Saida ce situe une vaste plaine entourée de djebels il y a aussi des pentes
de forêts bien vertes. Au sud un plateau géant en dégradé qui sageduit
vers le désert. Un pavillon de 16 chambres va y être bpatie a l’usage des
officiers. Comme partout l’armée attirent les foules. Treize maisons sont
déjà dénombrées dans la nouvelle enceinte ce qui fait 17 européens dont 8
français. Ce rajoute 3 musulmans et 10 israélites Saida vient de naître,
a l’ensagetre de Sidi-Bel-Abbès la population ne grandit pas vite. Par
exemple en 1855 la population est de 91 indigènes et 42 indigènes, 35
colons sont établit dabs les environs.
Des
militaires il y en a aussi des militaires des chasseurs, des Spahis, des
zouaves et des Légionnaires.
En 1886 le 1er Etranger est a Bel-Abbès c’est le 2e Etranger qui le
remplace c’est au général Derie que l’on doit ces mutations. Le 2
novembre l’état major et la section hors rang arrive a Saida le 5 le
dépôt suit. Dans l’avenir Saida verra les rotations du 2e étranger
revenant de ses campagnes. En 1926 la ville compte 20000 âmes. Après
14/18 le 2e Etranger restera en garnison quelques années puis
partira au Maroc. En 1921 c’est a Saida que le Royal étranger cavalerie
créera ses premier escadrons qui serons composé de russes blancs.
Si Saida
n’est pas occuper par les Légionnaires partis en campagne, elle abrite la
compagnie d’instruction des engagés volontaires, en 1939 surtout avec les
engagés pour la durée de la guerre. En 1961 a la fin de la guerre
d’Algérie ce sera au 1er R.E.C de faire l’adieu de la Légion a l’une de
ses villes en l’occurrence Saida. Après 76 ans et rendu cette ville
prospère les Légionnaires quitte cette ville définitivement on est le 16
Juin 1962. Saida est laisser dorénavant a sa bonne fortune qui auparavant
était la bienheureuse.
Vue aérienne de Saida.
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