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La Grenade Légion

 

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Sujet: Qui aurais crus un jour ?  (Lu 18 fois)

 

P'tit Sapeur
Legio Patria Nostra.
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Qui aurais crus un jour ?
« le: Décembre 16, 2008, 12:25:37 »

 


Bonjour,

Voici le premier article sur notre père à tous Légionnaires.
Amitiés Legio.
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Général Rollet !
Date de Naissance :   20 décembre 1875.  Auxerre dans l’Yonne. France.
Date de décès :   16 avril 1941.   Maroc. Afrique du nord.
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Qui  aurais cru que ce garçon, né deuxième d’une famille de quatre enfants, deviendrais une légende parmis des hommes rudes, qui vont et le vénères encore par de la sa mort !  Enterré parmi sa famille Légion à Sidi-Bel-Abbès, son corps  sera rapatrié en France, en 1962, l’ors ce que la Légion quittera définitivement l’Algérie.

 

Désormais il repose parmi d’autres Légionnaires, et de sa femme qui la rejoint en 1977 à Puyloubier, l’on accompagné dans ce dernier voyage de rapatriement le Prince Aage du Danemark, et le dernier Légionnaire présumé tomber le dernier sur le sol d’Algérie, le Légionnaire de 1er Classe Zimmerman. 
Fils d’officier élève de l’école Polytechnique  Son père sera nommé capitaine en 1871, pour son excellent  comportement  pendant la guerre de 1870/71, et cela à titre exceptionnel. Dans le courant de mai 1875, avec le même grade, il est affecte à Auxerre au  46e Régiment d’Infanterie.

Nous savons que la jeunesse du futur général, que très peu de chose le concernant personnellement. Mais une chose est certaine au vu des échanges des courriers, il existe une véritable complicité familiale entre eux, a travers leur courriers nous constatons qu’a travers de simple mots, les parents on réussit à toujours garder une famille très unie ! Toute leur vie ce passera ainsi, l’on pourrait dire que plus tard le jeune Rollet,  appliquera une paternité envers ses Légionnaires ; d’après ce qu’il apprit de par ses parents concernant leur enfants !

Personnes ne pourrais vous dirent, a quel moment de sa vie, il ressentit de faire le métier des armes. Le plus logique est de croire que sait venu du fait de l’environnement militaire dans le quel il vie. Il y à aussi le fait de l’exemple de son père qui à ses yeux est un héros de la dernière guerre, un père pour qui il à une vénération sincère qui perdurera toute sa vie, il lui servira certainement d’exemple plus tard l’ors ce que il deviendra officier lui-même !
Ses études secondaires serons rude, mais très sérieuses,  son père le poussera vers les mathématiques, il aura raison,  celles si prendrons une grande place dans la vie de son fils. En suite il rentre au Lycée de Sedan, ou il prépare sa classe de préparation pour le concours d’administration à l’école militaire de St Cyr.  Sur six cent candidats admis, il sera classé cinquante sixième, ce qui en soit un exploit.

Le 3 octobre 1894, sait son premier sacre, il rentre à St Cyr, il fera partie de la promotion « Alexandre III »  L’enseignement militaire de l’époque ne semble pas avoir d’effets sur lui, du moins pas grand-chose. Il va à contre sens pour son époque, ou il dénote déjà une forte personnalité.  Il va développer son caractère anticonformiste. Par contre il possède des capacités intellectuelles et d’homme d’action elles n’on pas échappées à ses instructeurs.  Ses notes après ses deux années à St Cyr, laissent une certaine perplexité à ses supérieures. Par son capitaine, il est considéré comme caractère nerveux et très indépendant, il dira aussi de lui que il possède une conduite médiocre, un caractère très renfermée, un e zèle changeant, ainsi qu’un esprit militaire médiocre. Par contre il lui reconnait une très bonne éducation, une tenue soignée, un physique « très bien distingué », une très grande aptitude à la marche, une très grande résistance à la fatigue, de bonnes qualités d’instructeur et de commandement, et possède une très grande énergie.

 

Ce capitaine va jusqu'à pressentir que l’élève officier Rollet, possède un sens aigus d’autoritarisme. L’officier supérieure commandant l’école à l’époque le  général de brigade Jules de Monard : 1893-1896, le juge comme t’elle « Jeune sous lieutenant classé trois cent onzième sur cinq cent quatre-vingt-sept, « comme très bien, doué sur tous les rapports mais compromettant ses qualités par sa légèreté et son fâcheux esprit » ; il estime qu’il devra être « tenu d’une poigne ferme et bien guidé ». Quant à ses perspectives de carrière, il écrit encore « Peut devenir, s’il le veut, un très bon officier, pourrait aussi prendre une mauvaise voie »

A son aspect militaire de sa personnalité peuvent êtres donnés qu’il possède une énorme joie de vivre, les immenses plaisirs de la table, et l’attirance omniprésente qu’il à pour la gente féminine. Le futur général Rollet, tiendra toute sa vie durant des carnets de notes, dans ceux concernant par exemple, les grandes manœuvres de 1897, 1898 et 199, vous pourriez constatez son goût immodéré pour la cuisine, ou il y marque d’ailleurs ses appréciations sur les mets et vins, mais aussi sur les popotes de caserne, mais aussi sur la musique classique que légère, sur les attitudes accueillantes ou négatives, la froideur des serveuses d’hôtel envers les officiers. Allant jusqu'à d’écrire aussi les comportements amoureux des pensionnaires des maisons de tolérance qu’il honorait de ses visites. 

Pour en terminer sur ce chapitre, on pourrait dire tout simplement «  que sa vie fut celle d’un officier qui c’est consacré avec zèle et dévouement  aux taches militaires qui lui furent confiés, mais encore lui reconnaitre qu’il était comme toute autres un homme qui aimais les plaisirs de la vie. Cet homme controversé pour certains à su montré que sa vie militaire ne devait pas être pavée de facilités, d’où un jour il ce portas volontaire pour la Légion étrangère, Légion qu’il ne quittera plus, Légion, ou il pourra s’exprimer militairement et humainement, ou sa force de caractère, son attitude physique, marchant avec ses hommes, et à la tête de ceux si, vivant avec eux, les écoutants comme un père. Monsieur Rollet, n’existait plus, il étais devenus à part entière un homme de la Légion étrangère, un des leurs, un père parmi ses fils.



* Rollet plque memo.jpg (8.29 KB, 131x200 - vu 14 fois.)

« Dernière édition: Décembre 16, 2008, 02:16:15 par P'tit Sapeur »

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