P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
   
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Mon devoir, la mémoire !

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Aux
noms des légendes !
« le: Mai 12, 2007, 06:03:51 »
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Aux
noms des légendes !
Salut Camarades, je vient parler
En votre nom, vous qui n’avez jamais
pus le faire au moment de votre trépas
et moi qui y suis passé temps de fois
à coté, mais pas dans les même
combats, les miens étant ceux contre
le général Tension de Thrombose,
je vous et rencontrez, et écoutez,
dans l’un des tunnel blanc comme nosKépis,
je sait que certains me prendrons pour fou,
qu’importe, du moment que les autres m’écoutes
Ou me lisent, de toutes façons nous ne vivons
Pas comme eux dans un monde superficiel.
je ne suis point poète, mais je vais essayer
que puis je dire ! parlez de mort, non
vous la fréquentez déjà, elle est inodore,
non pas comme votre histoire.
Salut, c’est moi qui vous parle !
Chaque, 30 avril, la haut nous défilons de part
dessus le monde.
Au pas nous marchons, défilons, à vos cotés.
Vous aussi dans nos cœur, chose que nous
N’avons jamais perdu, de part cette mort
Qui ne nous sépare jamais.
Les ennemis d’antan est sous nos talons,
Écrasez par nos esprits victorieux, entendez
Leur plaintes de désespoirs, de n’avoir pus
Nous vaincrent, nous les attendions aux tournants,
La haut, embuscades victorieuses aidez du diable,
Qui marche avec nous, les mortifiants de sa fourche.
entendez nos chants à travers le vent léger
souffles que seul vous ressentez, nous vivons
à travers vous camarades aux képi blanc.
Nos talons, résonnent à travers vos pas
Que nous aussi avons connus, si martiaux
Mais si majestueux !
De par nous, avant nous et après nous,
Vous êtes les préservateurs d’un avenir
des devoisr transmis.
Un légionnaire à parler de fleurs, il est avec nous
Cultivant de ses poèmes les fleurs symboles
De notre éternité.
En poème, un autre un officier cette fois, un de ceux
Que l’ont en enfer, pour preuve comme les autres
Trop nombreux à citer est avec nous, officier ayant
Créer une prière à ses homme, fière d’un de
ses légionnaire, tomber mortellement devant lui
un trou dans son cœur, quelque part dans un lieu
appelé Tonkin, un légionnaire est mort pour moi,
Mon souffle et mon dernier sera pour la Légion étrangère,
et à vous vous ses Légionnairesayant aussi respectez
son vœux en 1962.
Beaucoup d’entre nous non eus un dernier regard à sa mère,
Un regard à sa patrie lointaine, qu’un jour il à quitté et jamais revus.
Vous ceux du début bien avant d’êtreConnus, et encore connus par un
Avenir encore bien incertain de 18..Chabel, Camerone, Tuyeng Quang,
Et combien d’autres endroits Biens trop souvent inconnus,
Pour des inconnus d§ un sol d’adoption
Mourir nuls parts nous avons parfois pas choisis.
Mais quel importance après tout aucuns
Regrets nos âmes sont en paix.
Nuls haines nous habite, envers ceux qui
Nous ont trahis, non juste un regret
C’est que la ou ils rôtissent l’éternité
Est trop courte, Degueldre et Dodevar
Vous le disent à travers ce frère d’arme,
Parlant et écrivant pour nous, il n’est
Point fou, interprète tout simplement.
Il est temps pour nous de rejoindre,
Les Limbes de la chaleur de vos souvenirs,
pour un encore un an, Salut à vous
camarades, c’est moi le capitaine Danjou
qui ce souvient aussi de vous.
Que l’esprit des Camerone, reste sur terre
Éternellement, ils réchauffent nos
Ames. A qui porte ma main, sache
Que pour moi, c’est un honneur,
Honneur qu’un jour te rendrait
Quand tu nous rejoindra la haut,
Sur notre voie sacrée.
Merci à tous ceux qui pensent
Ét écrivent pour nous, la plume
Et l’encre ne sont elles pas aussi
Des armes du devoir ! Au revoir
Camarades,nous vous saluons.
Capitaine Danjou, par l'intermédiaire
de P'tit Sapeur !
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