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La Grenade Légion

 

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Auteur

Sujet: L'affaire du P'tit Clamart  (Lu 210 fois)

 

P'tit Sapeur.
Invité


Courriel

L'affaire du P'tit Clamart
« le: Juin 16, 2008, 06:44:04 »

 


Bonsoir à tous

Voici des sites concernant  de ce fameus attentat malheureusement manqué.
Amitiés Legio

---------------------------------------

La préparation de l'attentat.

http://club-acacia.over-blog.com/article-17634414.html

-------------------------------
Un site

http://www.histoire-en-questions.fr/personnages/de%20gaulle%20clamart.html

 

« Dernière édition: Septembre 27, 2008, 09:22:50 par P'tit Sapeur »

Journalisée

dwnvg
Invité


Courriel

Re : La préparation de l'attentat du petit clamart
« Répondre #1 le: Juin 17, 2008, 08:23:51 »

 


Bonjours a tous
Oui sujet complexe et vaste combien de non dit ,de trahisons d'infamie au nom de la grande zora ,combien de braves l'ont payer de leurs vie et n'a ton pas trouver étrange la mort de son frêre le Colonel Phillipe Erulin en 1979 , et comme le dit Dominique Erulin : je cite :  " La torture, qui choquait tant les bonnes âmes au moment de la bataille d'Alger contre les poseurs de bombes, assassins de civils sans défense, ne paraît déranger plus personne quand il s'agit de martyriser les partisans de l'Algérie française. Les Gendarmes Mobiles se distinguent particulièrement dans l'abominable, mais ils sont quand même battus dans l'horreur et l'atroce par le FLN. Je me sens enragé contre ces salauds." et il ne parle pas des méfaits de la police politique du parti gaulien " le SAC" mais beaucoups de choses ont été écrites mais aussi encore tu et caché comme secret d'état
Amitiés Légio More Majorum
Daniel

 

 

Journalisée

kata
Ordre de la Grenade. Métal.
********
Messages: 1524


Re : La préparation de l'attentat du petit clamart
« Répondre #2 le: Juin 18, 2008, 04:13:42 »

 


Comme beaucoups d'autres attentats La Grande zora a eu le cul beni...

Comme quoi les hommes meurent et les salauds survivent...

Je n'ai jamais compris comment il a survecu tant de fois... Il etait protege par Allah...Non Pas par Dieu...

Il ne faut pas oublier que c'etait un peureux qui utilisait des sosies lors de certaine fontions publique...

Tous nos anciens doivent luyi botter le cul ou il est...

Amitiees

Kata

 

 

Journalisée


Les Lions deviennent des Agneaux

dwnvg
Invité


Courriel

Re : La préparation de l'attentat du petit clamart
« Répondre #3 le: Juin 18, 2008, 07:29:53 »

 


Bonjours a tous
oui Mon Lieutenant c'est incroyable de malchance voila un rappel des faits de ce qui s'appelait "  l'opération Charlotte Corday"


Bastien-Thiry est secondé par un autre métropolitain, Alain La Tocnaye, qui considère de Gaulle comme un « cryptocommuniste » au même titre que les Hongrois Lazlo Varga, Lajos Marton et Gyula Sari, eux-aussi farouchement anticommunistes. Le reste du commando est composé de métropolitains et de Pieds-Noirs, ces derniers entendent venger les exactions commises contre leur communauté, notamment la fusillade de la rue d'Isly (80 morts et 200 blessés civils, ainsi que la perte de l'Algérie française.
Le 22 août 1962, aux environs de 20 heures, deux Citroën DS 19 banalisées et escortées de deux motards quittent le palais de l'Élysée pour Colombey-les-Deux-Églises. À bord de la seconde, de Gaulle de retour d'un Conseil des ministres et son épouse ; le colonel Alain de Boissieu, gendre et aide de camp du président, est quant à lui assis à côté du chauffeur.


Alors que le cortège, roulant en direction de Vélizy-Villacoublay où attend l'hélicoptère présidentiel, arrive à hauteur du rond-point de Clamart – lieu-dit du Petit-Clamart –, le commando Bastien-Thiry, dissimulé en guet-apens dans une Renault Estafette, ouvre le feu sur la DS présidentielle.


Ignorant que les pneumatiques du véhicule présidentiel sont à l'épreuve des balles,à hauteur des roues sans succès à l'exception de l'un deux, Georges Watin, qui envoie une rafale de MAT 49 à l'arrière de la voiture où sont assis de Gaulle et son épouse. Anticipant l'assaut in extremis, De Boissieu s'écrie aux de Gaulle de se baisser ce qui leur évite d'être touchés. Sur les 150 balles tirées par le commando, seuls les huit impacts de Watin seront identifiés sur la DS. Réalisant l'échec de l'attaque, Gérard Buisines tente d'éperonner la DS avec l'Estafette tandis qu'à ses côtés Alain de La Tocnaye par-delà la portière tente de mitrailler la DS quand son arme s'enraye.


Lecommando bénéficiaient d'un appui secret au sein de l'Élysée, principalement celui du commissaire Jacques Cantelaube. Ce dernier, contrôleur général de la police et directeur de la sécurité du président, démissionna un peu avant l'attentat. Il éprouvait de l'antipathie envers l'homme dont il était chargé d'assurer la protection suite à sa conduite des affaires algériennes à partir de 1959. Ces complicités ont permis à Bastien-Thiry de connaître l'immatriculation de la DS, la composition du cortège, ainsi que les différents itinéraires empruntés dont celui qui sera choisi au dernier moment par mesure de sécurité
Le 2 février 1963, succédant aux brèves déclarations de ses co-accusés présents lors du procès, le principal inculpé de l’opération Charlotte Corday, Jean Bastien-Thiry, plaida dans un discours fleuve la légitime défense à décharge pour lui et ses « camarades » et à charge contre les « hommes de pouvoir » et en particulier contre le plus puissant d'entre eux, celui que son avocat et futur candidat à la présidence Jean-Louis Tixier-Vignancour surnomma le « Prince».


Constituante de « l'affaire Bastien-Thiry », la déclaration du colonel, que René Wittmann publia à un tirage confidentiel le 20 février 1963 et dont la Serp édita une série de 33 tours la même année, commençait par ses mots :« L'action dont nous répondons aujourd'hui devant vous présente un caractère exceptionnel et nous vous demandons de croire que seuls des motifs d'un caractère également exceptionnel ont pu nous déterminer à l'entreprendre. Nous ne sommes ni des fascistes, ni des factieux mais des Français nationaux, Français de souche ou Français de cœur. Ce sont les malheurs de la patrie qui nous ont conduits sur ces bancs. »
Pour ce qu'il représente et la nature de la déclaration de Bastien-Thiry, ce procès sera vécu à l'époque comme celui de l'OAS et dans une certaine mesure, celui de la guerre d'Algérie. Il inspira nombre d'ouvrages des années 1960 à nos jours, qu'il s'agisse de critiques de la peine de mort, la population française étant alors majoritairement catholique, de témoignages, la famille du condamné œuvre depuis pour sa réhabilitation à travers le « cercle Bastien-Thiry », ou de contre-enquêtes ; dans Bastien-Thiry : Jusqu'au bout de l'Algérie française, Jean-Pax Méfret, grand reporter, s'interroge « Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d'un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? ».


Dans la presse nationale les réactions à « l'affaire Bastien-Thiry », qui débouche à la fois sur la dernière exécution politique en France et sur le dernier fusillé, ne se firent pas attendre. Le remarquable de la situation consiste en trois points : la virulence de la critique de Bastien-Thiry à l'égard de la politique algérienne adoptée par de Gaulle, le fait que les condamnés aient finalement été graciés à l'exception d'un seul, le caractère expéditif de la sentence. Ainsi au lendemain de l'exécution, dans L'Express, Jean Daniel écrivait « En fait, l'humanité du souverain finit par accabler jusqu'à ses partisans », tandis que dans Le Canard enchaîné, sous la plume de Jérôme Gauthier, on pouvait lire « C'est la honte qui rase les murs. Une certaine justice aussi, semble-t-il… » suivi de « Le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est mort, je ne dis pas pleuré, mais plaint par un très grand nombre de Français, même parmi ceux les plus farouchement hostiles à sa cause ».

Amitiés Légio More Majorum
Daniel

 

 

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P'tit Sapeur
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Re : La préparation de l'attentat du petit clamart
« Répondre #4 le: Juin 18, 2008, 12:47:28 »

 


Avé,

On as parlé aussi d'un très haut fonctionnaire impliqué dans l'arttentat contre la grande Zora..Mais celui la ne pus êtres dénoncé publiquement, car le scandale aurait caussé la chute du gouvernement. Aussi resta t'il encore au gouvernement longtemps après zora, il étais jeune parait il ? Donc soit il est à la retraite, soit il est mort ? Je pense qu'il était haut placé dans le ministère de la justice, dans la police peut-êtres, de ce coter il y en avais beaucoup antis zora, il avait pas difgérés le néttoyage fait dans leur service, ou zora, avait placer ses tantes rouge et ses fidèlles p...es de son cloaque politique.

Je sait pas si c'est vrais, et si c'est le cas, je ne sait pas qui sait ? Ce qui est sur cet un bon.

 

 

Journalisée


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