|
P'tit
Sapeur
Legio Patria Nostra.
Transmisions Q.G
0rdre de Louis Philippe !
Messages: 5265
Mon devoir, la mémoire !
|
|
|
1918
et les engagés de 1914.
« le: Février 09, 2009, 05:48:52 »
|
|
Bonsoir
1918 et les engagés de 1914.
-------------------------------------------
Ceux de 14, qui ne virent jamais Sidi-Bel-Abbès, furent tous ces
étrangers qui s’engagèrent pour la durée de la guerre, ceux comme
Ponticelli, qui furent obligés de rejoindre leur pays pour
combattre l’ennemis ailleurs, les blessés, les mutilés, les disparus et
les morts. L’instruction faisait en France et le désengagement ce
faisait en France, bien sur leur dossier ce trouvait à Sidi-Bel-Abbès,
c’est la seule chose qui restait d’eux la bas en Algérie ou ils n’avais
jamais étés.
Ceux qui connurent Sidi-Bel-Abbès
à la fin de la guerre mais jamais avant ou pendant.
D’après des témoignages certains à la fin de cette guerre ce
réengagèrent pour des raisons diverses raisons, avais pris goût à
la vie Légionnaire des tranchées et ne voulais pas quitter ceux qui comme
lui résignait, c’est la fameuse famille des tranchées. D’autres
étais venus chercher du travaille et comme les autres avais suivit l’élan
patriotique, et après en avoir tellement bavés alors pourquoi ne pas
rester et pour d’autres c’étais du travaille assurés une pension à la
clef .
Ceux de de la der des ders, qui arrivèrent à la maison mère avais déjà
une fameuse exp èrience militaire derrière eux ; il y avais
les médaillés aussi, il n’avais certes pas besoin d’instructions non
plus, aussi firent ils les seul qui quant ils arrivèrent à Sidi-
Bel-Abbés à ne pas la suivre, fait unique dans les anales de la
Légion.
Ils y à ceux qui durent quitter
la Légion pour faire la guerre dans leur pays, et qui revinrent en
France, certains devinrent des maffioso, ou des bourgeois, des
chauffeurs de taxis ou des coiffeurs certains devinrent riches d’autres
moururent dans la misère et enfin ceux qui n’ayant rien connus d’autres
que les misères retournèrent à la Légion.
Il parait que la tradition des
engagés à 17 ans dates dés débuts de la Légion, il ne s’agissait pas
alors de l’autorisation parentale, mais d’êtres soit orphelin, soit
étranger et prouver sans famille en France, bien que s’il en avais cette
dernière n’intervenais pas dans la décision, et la Légion ne s’en
préoccupais pas, car depuis longtemps elle savait que
beaucoup trichais sur leur identité et âge.
En 14 on sait que des jeunes de
16 ans s’engagèrent et certains firent carrière dans la Légion.
Voici une anecdote r etrouv ée dans mes archives ; un jeune allemand
appelons le Hans, s’engagea à 16 ans ce présentant comme Alsacien ; en 14
c’étais fréquent, il fit la guerre e de 14, quatre fois blessés, décorés
il résigna et fini après 20 de service adjudant-chef. Quant il sortit
sortis en fin de carrière il avait donc 37 ans pour l’engagement.
Le colonel quant Hans signa d son retour à la vie civil, lui
dit alors, et bien mon cher Hans, te revoilà rajeunis d’un ans, exact
mon colonel, excusez moi d’avoir tricher sur mon âge, mais cela en
valais la peine.
Certainement mon cher Hans,
certainement. Puis je vous poser une question mon colonel ? Par
habitude le colonel lui répondu, allez y adjudant-chef. Depuis quand
savez pour mon âge ? Depuis 5 minutes adjudant-chef, 5 petites
minutes et après tout on s’en fou, n’ece pas ! Toute à fait
mon colonel. Hans devint français et allas vivre en Alsace, devint
employé d’état, ce maria eu des enfants et mouru à 83
ans.
Ce sont c’est petites histoires qui font l’histoire Légion.
-------------------------------------------------------------------------------------
|
Journalisée
Journalisée